Je me souviens qu’elle portait une robe transparente
Qui laissait l’apparence à toutes ses rondeurs
Qui attiraient même ceux qui fuyaient les sentes
Des envies qui sont difficiles à éviter avec les leurres.
Ses petits seins tenaient de l’assise leur belle forme
Qui tirait sa typique ressemblance des pommes ;
Ses hanches dévalaient bien moulées leur solidité
Reposante sur ses belles jambes aussi bien sculptées.
Je n’en avais pas à l’oeil toutes ses formes uniques
Qui rajeunissaient avec ces moments féeriques.
Elle n’en avait pas au cœur la chaleur qui gruge
L’envie recherchant ailleurs un nouveau refuge,
Et au sommet du délire je fermais cet oeil pour mûrir
En attendant avec l’image qui volait mes regards
Mais l’offrande des moments féeriques à retenir,
Ne revenait pas avec la réalité, sa décence et son art.
"ortie"
L'image.
Started by ortie, Dec 21 2006 04:39 PM
5 replies to this topic
#1
Posted 21 December 2006 - 04:39 PM
#2
Posted 22 December 2006 - 02:11 AM
Je ne sais pas qui est la femme dont tu parles mais moi en tout cas je me reconnais dans certains de tes mots et au travers se ce poème tu met vraiment bien en valeur la beauté et le charme de la femme plantureuse.
Merci !!!
Merci !!!
#3
Posted 22 December 2006 - 02:20 AM
C'est un très beau poème énergique qui et je m'en excuse, ne m'a, à aucun moment, fait penser à cette femme plantureuse, non, un vague à l'âme de surcroit très réaliste, bien sympa à lire, malgré la forme ^^
#4
Posted 22 December 2006 - 02:27 AM
Ah ben desolé je ne suis pas une experte, moi je l'ai ressentie comme cela et ce poème m'a touchée de cette façon...
#5
Posted 22 December 2006 - 02:30 AM
Tout comme j'ai dû le ressentir et que nous n'avions pas les mêmes pensées, et on peut dire que demain en sera encore autrement : non, très bon poème !
#6
Posted 22 December 2006 - 05:52 PM
Citation (ortie @ Dec 21 2006, 04:39 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je me souviens qu’elle portait une robe transparente
Qui laissait l’apparence à toutes ses rondeurs
Qui attiraient même ceux qui fuyaient les sentes
Des envies qui sont difficiles à éviter avec les leurres.
Ses petits seins tenaient de l’assise leur belle forme
Qui tirait sa typique ressemblance des pommes ;
Ses hanches dévalaient bien moulées leur solidité
Reposante sur ses belles jambes aussi bien sculptées.
Je n’en avais pas à l’oeil toutes ses formes uniques
Qui rajeunissaient avec ces moments féeriques.
Elle n’en avait pas au cœur la chaleur qui gruge
L’envie recherchant ailleurs un nouveau refuge,
Et au sommet du délire je fermais cet oeil pour mûrir
En attendant avec l’image qui volait mes regards
Mais l’offrande des moments féeriques à retenir,
Ne revenait pas avec la réalité, sa décence et son art.
"ortie"
Qui laissait l’apparence à toutes ses rondeurs
Qui attiraient même ceux qui fuyaient les sentes
Des envies qui sont difficiles à éviter avec les leurres.
Ses petits seins tenaient de l’assise leur belle forme
Qui tirait sa typique ressemblance des pommes ;
Ses hanches dévalaient bien moulées leur solidité
Reposante sur ses belles jambes aussi bien sculptées.
Je n’en avais pas à l’oeil toutes ses formes uniques
Qui rajeunissaient avec ces moments féeriques.
Elle n’en avait pas au cœur la chaleur qui gruge
L’envie recherchant ailleurs un nouveau refuge,
Et au sommet du délire je fermais cet oeil pour mûrir
En attendant avec l’image qui volait mes regards
Mais l’offrande des moments féeriques à retenir,
Ne revenait pas avec la réalité, sa décence et son art.
"ortie"
merci à vous !
j'ai rimé comme j'ai voulu rimer sans toutefois compter mes syllabes.
la forme n'a rien avoir avec le classique du moment que les vers ne se reposent pas sur 12 pieds.
les césures ne sont pas vraiment bonnes avec les rimes féminines, masculines plurielles et riches etc.
je n'irai pas loin avec mes remarques pour rester un peu loin de ceux qui veulent percer certains mystères...
moi "ortie"
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