Toi qui brillais dans l’instant de l’unique évasion
Qui me laissait évasive pour plaire à mes délires,
Toi le chasseur habile sur l’accent de ma raison,
Je ne t’en voudrais point, si tu repartais demain
Refaire tes mots où les maux doraient leur plainte
Au côté des flammes qui contraignaient leur Fin.
Toi qui faisais battre mon coeur, si tu lâchais l’amarre
Du regard barricadant les belles rives de tes yeux,
Pour en faire un appât, un amuser et un long écart
Où tes conceptions repeignaient l’amour et les vœux.
Je ne te laisserais pas déchirer le courroux des flots
Qui émergeait gris avec les remontées les tissant en nattes
Et je ne lâcherais jamais l’amarre du regard où les eaux
Se froissaient habilement pour déplaire à la quiétude
Des colères les déchirant à chaque remontée aux larges,
Mais pour te dire je t’aime, où rougissait l’habitude,
Toi qui faisais rougir l’amour, je t’offrirais ses belles pages.
dorothée cochard, farid khenat
Enregistré le 17 Mai 2006 à 19:14
par 1807657
Oeuvre Originale
Auteur :
dorothée cochard par moi farid khenat.
je suis encore là moi hamid khenat.
Edited by vent, 13 December 2006 - 09:14 PM.