Les poutres,
La putain.
Les ailes que les garçons n’ont pas.
Double tranchant.
Don du ciel,
Le ciel à ne pas nommer, ainsi.
Apprivoiser.
Cette rousseur douce du renard.
Un froid de rose.
GESTALT.
Par l’odeur du fer, une assurance.
Par pression, les fluides trament une carte.
Et la complexion surgissant du néant.
L’assassin enverra mon palpitant par la poste.
Tu pourras te branler avec.
Froid
Started by Cami, May 10 2006 08:52 AM
6 replies to this topic
#1
Posted 10 May 2006 - 08:52 AM
#2
Posted 10 May 2006 - 09:27 AM
Cami,
Il ya certes là, quelque chose à développer. Mais je ne sens pas le texte "entier".
Tu vois, tes énumérations et tes listes, tu les utilises d'habitude à construire des textes mieux articulés, plus solides.
Or celui-ci a vraiment de beaux reflets.
Et puis moi, les gestalten... formes et autres perceptions... ça m'évoque quelque chose !
Félice.
Il ya certes là, quelque chose à développer. Mais je ne sens pas le texte "entier".
Tu vois, tes énumérations et tes listes, tu les utilises d'habitude à construire des textes mieux articulés, plus solides.
Or celui-ci a vraiment de beaux reflets.
Et puis moi, les gestalten... formes et autres perceptions... ça m'évoque quelque chose !
Félice.
#3
Posted 10 May 2006 - 09:36 AM
J'allais dire quelque chose de semblable.
Il y a comme d'habitude une réelle originalité dans ces vers. Mais le début du poème manque cruellement de verbes. Il faudrait le travailler un peu pour qu'il soit aussi bon que les 4 derniers :
et tu pourras obtenir un poème plus complet, un Gestalt (dont tu parles justement parce que tu l'as senti toi aussi...).
Un autre conseil (perso, et qui est mon point de vue à moi) : supprime la ponctuation (libère tes vers, laisse-les vivre leur vie, suivre le rythme de tes mots )
Amicalement (et un peu admirativement aussi)
Christophe
Il y a comme d'habitude une réelle originalité dans ces vers. Mais le début du poème manque cruellement de verbes. Il faudrait le travailler un peu pour qu'il soit aussi bon que les 4 derniers :
Citation
Par pression, les fluides trament une carte
Et la complexion surgissant du néant
L’assassin enverra mon palpitant par la poste
Tu pourras te branler avec
Et la complexion surgissant du néant
L’assassin enverra mon palpitant par la poste
Tu pourras te branler avec
et tu pourras obtenir un poème plus complet, un Gestalt (dont tu parles justement parce que tu l'as senti toi aussi...).
Un autre conseil (perso, et qui est mon point de vue à moi) : supprime la ponctuation (libère tes vers, laisse-les vivre leur vie, suivre le rythme de tes mots )
Amicalement (et un peu admirativement aussi)
Christophe
#4
Posted 10 May 2006 - 08:19 PM
Dac!
Kiss-kiss!
Kiss-kiss!
#5
Posted 12 May 2006 - 02:35 AM
j'aime bien le début
#6
Posted 12 May 2006 - 06:51 AM
Syntoniser des matraques à la trique cosmique.
Une compulsion de métriques étouffe le tout.
C’est l’algésie performative en réalité :
C’est une compulsion en étouffe performative-
Syntoniser des algésies en matraques cosmiques-
Réalité performative des triques, c’est à des (Hades)-
Le tout à la compulsion de syntoniser-
L’algésie de métriques en étouffe tout-
Trique cosmique en réalité à syntoniser : Est-
En réalité des matraques, algésie performative-
Cosmique à compulsion étouffe le Syntoniser-
Performative en métriques de l’algésie : Tout-
P.S : en l’occurrence une tresse.
Une compulsion de métriques étouffe le tout.
C’est l’algésie performative en réalité :
C’est une compulsion en étouffe performative-
Syntoniser des algésies en matraques cosmiques-
Réalité performative des triques, c’est à des (Hades)-
Le tout à la compulsion de syntoniser-
L’algésie de métriques en étouffe tout-
Trique cosmique en réalité à syntoniser : Est-
En réalité des matraques, algésie performative-
Cosmique à compulsion étouffe le Syntoniser-
Performative en métriques de l’algésie : Tout-
P.S : en l’occurrence une tresse.
#7
Posted 18 May 2006 - 02:01 PM
Citation (Cami @ May 12 2006, 07:51 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Syntoniser des matraques à la trique cosmique.
Une compulsion de métriques étouffe le tout.
C’est l’algésie performative en réalité :
C’est une compulsion en étouffe performative-
Syntoniser des algésies en matraques cosmiques-
Réalité performative des triques, c’est à des (Hades)-
Le tout à la compulsion de syntoniser-
L’algésie de métriques en étouffe tout-
Trique cosmique en réalité à syntoniser : Est-
En réalité des matraques, algésie performative-
Cosmique à compulsion étouffe le Syntoniser-
Performative en métriques de l’algésie : Tout-
P.S : en l’occurrence une tresse.
Une compulsion de métriques étouffe le tout.
C’est l’algésie performative en réalité :
C’est une compulsion en étouffe performative-
Syntoniser des algésies en matraques cosmiques-
Réalité performative des triques, c’est à des (Hades)-
Le tout à la compulsion de syntoniser-
L’algésie de métriques en étouffe tout-
Trique cosmique en réalité à syntoniser : Est-
En réalité des matraques, algésie performative-
Cosmique à compulsion étouffe le Syntoniser-
Performative en métriques de l’algésie : Tout-
P.S : en l’occurrence une tresse.
Ah oui une tresse, hum, hum....
A compulsion syntonique dites vous, hum hum...
Une tripe cosmique.... heinh khun....
Bon ben moi j'ai plus frois du tout du coup...
On sent l'explosion, un big-bang ou un poum-tac...
Flux et reflux qui connaît la symétrie, puisque le un engendre le deux, le deux le trois,
et le trois le huis-clos.
C'est toujours dans la sonorité que se taille le véritable, au dela des fixations plus ou moins réussie des mots, selon l'air du temps, bouillant ou pas.
J'en reprendrai encore un doigt sioux play.
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