Encore une st valentin  passez tout seul
Encore un 14 février passez sans ta gueule
Et jusqu'à la fin de l’année, repense a celui qu’on  enfante
Celui qu’est mort sans être né, même pas une vie décente
Enfant d’une union de champion raté
Enfant d’une nation de sales cons fâchés
On capte de temps en temps la douleur d’une pensé
On capte de temps en temps la couleur du passé
Attrape le temps avant qui te chope avant qui te sert  
Avant qui te sert comme un kondé bien venner
Avant qui te sert comme la meuf quand tu passe par derrière
Avant  qui te sert la même merde bien trop ordinaire
Avant qui te sert la même merde que l’année dernière
Et je devient mauvais, les jours ou le ciel  vire au rouge
Et je devient malsain, mais sans ça plus rien ne bouge
Et je vend la meuka, baka* tu crois que je mouille
De vendre la mort, de subir la trouille de leur douille
Qu’il tapent craké, avant de craqué pour une fouille de trop
Ouais y’en a marre de l’humiliation de ses outres a kro
Putain de kondé, squatte dans les RER bondé
Et je rêve de bondage me branlé sur ton visage
Aligné les lignes de came sur ton dos blanc
Et je tape ma blanche de  ton cul a la  manche
Et pendant que je brûle deux trois truc dehors
Y a des costard anonymes qui décident de notre sorts
Optimiste devant leurs milices,
Pessimiste les soirs mystiques
Que je passe tout seul a combattre la dépression
Qui me lasse jusqu’au seuil de l’insurrection
Qui me casse et  me pousse a m’abattre
Enfiévré, de solitude, et une haine toujours a la une
Tous les jours qui passent me rendent un peu plus :
enfiellé, fielleux, malfaisant, malveillant, mauvais, méchant, pervers, rancuneux, venimeux,
et après ça tu peux encore dire que tu m’aime
si y te reste juste un peu d’amour va si amène
j’aimerais voir si il résistera a ma haine




*baka: crétin en japonais.

Une génération perdu ,éperdu sur la guedro
éperdu sur le bédo substitution d' préoccupations
pas de limite plus d'attention on n'y fait plus attention
passe la journée a baver devant la TV d'ado
enfumé dans le terre enfermé dans le T.E.R
par au boulot moi je tize au goulot la rebié et mon terre pour mes frère
je suis pas l'enfant des immigrés
mais ça change pas que je vie aujourd'hui
une vie sans échange noir, comme la suie
sans échange de money ni de bon procédé
sans échange d’amour un mec ma précédé
nul part ou allez, chez moi c'est partout
français comme Assan étranger comme julien même pas de liens d’amitié
j'ai pas d'unité, pas d'assoce pas d'Assedic
pas de frontières ni d’ mère patrie ,une république française
qui ma jeter, et les jeunes dans les cités ,depuis le fossé
creusé par le racisme et l'extrémisme, qui me relègue au rang de
bollos babtout qui gueulent l’anarchie ,pas foutu bouger leur cul
les balances de bollos qui trahissent leurs sosses pire que des faut-culs



Pour combattre le fascisme certains parlent d’une révolution musical
la seul musique que je veux entendre c'est l’hurlement animal
le tchac tchac de la lame et le bong bong des têtes qui tombent
le tchac tchac de la lame de fond qui emportent les dirigeants
le tchac tchac de l’ak47 c’est engageant
je suis pas affligé mais c’est affligeant
tout ces enculé de récupérateur qui fouille dans nos poubelle aussi mauvais qu’essentiels pour cette société qui a asservie a ces pieds ses ennemis pour la servir
pour récupérer l'art des banlieues l'art des nomades récupérer un style musical
récupérer un keupon ,mortifié un skinhead pour qui se prennent un coup frontale
aussi un style vestimentaire mais s'habillez en kaki pour être dans le coup c'est mentir
mentir sur ta façons de pensé, moi je veux pas bosser je veux pas faire de crédits
je veux pas être une star je veux pas juste être un bollos ni un banquier ni un vendeur
je veux pas de tuning être au casting pas super platine des dents en platine un délire a la Staline
égocentrique idolâtre sois même, amour de soi regard dans la glace ces pd kiff leur reflet



Mais moi je veux apprécié mes pamphlets même si ils sont haineux, la rage de mon système haineux qui coule dans mon système veineux
qui me marque le visage, cerne mon profil et ma face qui se prend des baffes de la part des kondé des kaira mauvais karma
je suis pas pacifique je ne suis pas pleurnichard je suis l'Serrurier qui ouvre les porte de la vérité c'est ma vertu ma verrue au milieu du visage qui te montre
les trais viscéral de cette société, vicieuse haineuse qui creuse une tranché de haine entre les peuples entre les communautés qui squattent le conseil municipal
ligne Maginot du racisme, on attaque les islamiste on attaque les voilées, mais regarde les prêtres pédo les juifs pourris je suis pas antisémite je suis anti euphémisme
contre les calomnie, je voudrait que les gens remarque qui sont les menteurs, qui son les meneur, qui sont les voleur, regarde mec on a pas fêté l'anniversaire d’ l'abolition de l'esclavage ,reconnaissance pour mes frère renoi est ce d’un autre ages ?
on re-fête chaque année les millions de juif gazé en oubliant les gazo tzigane gazés pareil pour les communiste les anarchiste, les prisonniers de guerre et tout leur frère de misère
est ce que il faut mourir juif pour mourir martyr je suis pas pour l'antisémitisme je suis juste pour la véracité ver les rat de cité, céfran soyez reconnaissant au peuples du moyen orient
c'est eux qui on reconstruit la France après la deuxième guerre et , même dans la première c'est pas leur misère ni leur mère patrie
ma vie c'est sin city pas sim city




Je tien juste a dire que je n’ai pas été à l’école très longtemps et que j’aime la poésie, mais que je n’y connaît a vrai dire rien du tout. Je connais de grand auteurs mais j’ai très peu d’idée sur les règles de l’écriture. Et je pense franchement que maintenant jamais je n’écrirait en appliquant toutes ces règles, je me suis trop habitué a écrire a ma façon.
Enfin bref dites moi ce que vous en pensez, et je voudrait juste signaler qu’il faut gratter la surface haineuse de mon texte, mes mots son parfois fort mais jamais gratuit.
Je ne suis pas antisémite, ni pour la violence gratuite.