Souviens-toi de ces heures de tendresse
Où le temps volatile s'enfuyait
Moments où nos corps alourdis de paresse
S'effleuraient puis chaudement se mêlaient.
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Effusions d'ivresses douces et charnelles
Où une soif insatiable de toi
M'envahissait pour me mettre en émoi.
De ton corps j'ai aimé chaque parcelle.
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Ces moments pourtant si lointains traversent
Encore mon esprit, tels de douces
Volutes s'élevant. Ils ignorent
Que le passé ne date que d'hier.
Edited by Presse, 14 February 2006 - 12:46 PM.
