Métamorphose.
Le nez en l'air
la tête dans les étoiles ;
dans mes artères
les couleurs d'une toile.
Elle est née consanguine,
elle esquisse l'amour,
rougissante assassine
éclaboussant mes jours.
D'une saveur aniline
elle palpite en mon coeur
et l'avenir qu'elle dessine
se courbe de couleurs.
Cæruleum, infinis,
prunelles de mes envies
qui m'emportent loin d'ici,
à l'aube de mes nuits
ou se perdent mes contrés
verdoyant paysage,
oasis de mes pensées,
d'un bien heureux présage.
Puis le sable sous mes pieds
qui égraine chaque instant,
l'éternel sablier
à suspendu le temps ;
A tes lèvres rougis
d'un désirs chrysalide,
au cocon qui prend vie
sous l'oeil des euménides.
Iah-hel
Métamorphose
Started by iahhel, Nov 21 2006 04:33 PM
1 reply to this topic
#1
iahhel
-
- TLPsien
- 269 posts
.............................
- Interests:Internet, l'ecriture, ma fille, ma femme, ma famille, enfin mes passions et le voyage comme seul prison...
- Publications:http://www.centmotsdire.com/versets/
Posted 21 November 2006 - 04:33 PM
#2
JSCQE
-
- TLPsien
- 305 posts
.............................
Posted 21 November 2006 - 07:27 PM
Citation (iahhel @ Nov 21 2006, 04:33 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Métamorphose.
Le nez en l'air
la tête dans les étoiles ;
dans mes artères
les couleurs d'une toile.
Elle est née consanguine,
elle esquisse l'amour,
rougissante assassine
éclaboussant mes jours.
D'une saveur aniline
elle palpite en mon coeur
et l'avenir qu'elle dessine
se courbe de couleurs.
Cæruleum, infinis,
prunelles de mes envies
qui m'emportent loin d'ici,
à l'aube de mes nuits
ou se perdent mes contrés
verdoyant paysage,
oasis de mes pensées,
d'un bien heureux présage.
Puis le sable sous mes pieds
qui égraine chaque instant,
l'éternel sablier
à suspendu le temps ;
A tes lèvres rougis
d'un désirs chrysalide,
au cocon qui prend vie
sous l'oeil des euménides.
Iah-helJe t'ai adressé un message pour faire suite.Attente réponse.le vieux
Le nez en l'air
la tête dans les étoiles ;
dans mes artères
les couleurs d'une toile.
Elle est née consanguine,
elle esquisse l'amour,
rougissante assassine
éclaboussant mes jours.
D'une saveur aniline
elle palpite en mon coeur
et l'avenir qu'elle dessine
se courbe de couleurs.
Cæruleum, infinis,
prunelles de mes envies
qui m'emportent loin d'ici,
à l'aube de mes nuits
ou se perdent mes contrés
verdoyant paysage,
oasis de mes pensées,
d'un bien heureux présage.
Puis le sable sous mes pieds
qui égraine chaque instant,
l'éternel sablier
à suspendu le temps ;
A tes lèvres rougis
d'un désirs chrysalide,
au cocon qui prend vie
sous l'oeil des euménides.
Iah-helJe t'ai adressé un message pour faire suite.Attente réponse.le vieux
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