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Quand mes pluies sont assassines
Sous mes cils je n'ai d'yeux pour personne
Le vent découpe les sourires
Désaxés mes yeux à rien s'abandonnent
Quand mes pluies sont assassines
Dans mon sang je n'ai de vie qui résonne
Les flots innondent les sourires
La nature a joué dans nos vies qu'elle immole
Au loin du monde
Le néant s'illumine
En mensonges
Loin du monde
Des morceaux de tableaux
Des déceptions
Au son des cloches
Dure réalité
Brusque et morne
Dieu c'est moche
D'extasier les corps
Des morts blottis en nous
L'aube des réveils semblables
Le soleil est là pour luire sur le vide
Au diable les pâles sourires
Je veux voir me lècher tes douces flammes
L'aube des réveils semblables
Revêt sa brume d'images déçues
Au diable les tristes parades
Éternels recommencements de la torture
Edited by Emporio, 16 June 2006 - 05:37 PM.
