Dans l’illusion de nos misères
nous pouvons croire en l’avenir
Les anges que nous côtoyons
nous les répudierons
leurs nobles sentiments nous auront bien servi
Nos industries nous répartissent
la mort nous confondra
Nous pouvons l’invoquer, c’est toujours par défaut
Et tous nos chapelets ne forment qu’un vertige
La mort, n’y croyons pas, enfin
Elle est solide, notre impardonnable dieu
Le bégaiement d’un homme suffit-il
à ce que naisse le néant ?
Vénération Des Postulats
Started by bart, Aug 01 2006 06:23 PM
3 replies to this topic
1 user(s) are reading this topic
0 members, 1 guests, 0 anonymous users