Ennemi certain des nuits sans lune
Tu es tapi dans mon cerveau
Guettant mon âme de ta dune
Tu m'envahis comme un cours d'eau
Je t'écarte d'abord rageusement
Dépitée, car je sais que je perds mon temps
Ta patiente n'a pas de limite
Tu t'insinues plus je t'évite
Plus corrosif que l'esprit de sel
Tu brûles en moi comme du fiel
Plus tu prends de place
Plus ma colère grandit
Nous voilà donc en face à face
Ma belle assurance a pâli
Tu me nargues comme si de rien n'était
Imperméable que tu es
A ma douleur à mon chagrin
Tu assassines mes certitudes
Tu terrorises ma solitude
Tu détruit mes histoires d'amour
Tu me poursuis jour après jour
Ennemi que je crée de toute pièce
Mais que je ne peux éliminer
Jouet de ma tête perverse
Mon oeuvre sans cesse modifiée
Pâle reflet de mes angoisses
Témoin de mes incertitudes
De ma tristesse tu es une face
Tu y puises ta plénitude
Doute cependant tu passes
Mais tu restes pourtant présent
Caché au bout de mon impasse
Tu attends le meilleur moment
Pour enfin reprendre ta place
Et me laisser dans tes tourments
Doute
Started by Dolce66, Nov 27 2006 08:55 PM
1 reply to this topic
#1
Posted 27 November 2006 - 08:55 PM
#2
Posted 27 November 2006 - 09:42 PM
Citation (Dolce66 @ Nov 27 2006, 08:55 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ennemi certain des nuits sans lune
Tu es tapi dans mon cerveau
Guettant mon âme de ta dune
Tu m'envahis comme un cours d'eau
Je t'écarte d'abord rageusement
Dépitée, car je sais que je perds mon temps
Ta patiente n'a pas de limite
Tu t'insinues plus je t'évite
Plus corrosif que l'esprit de sel
Tu brûles en moi comme du fiel
Plus tu prends de place
Plus ma colère grandit
Nous voilà donc en face à face
Ma belle assurance a pâli
Tu me nargues comme si de rien n'était
Imperméable que tu es
A ma douleur à mon chagrin
Tu assassines mes certitudes
Tu terrorises ma solitude
Tu détruit mes histoires d'amour
Tu me poursuis jour après jour
Ennemi que je crée de toute pièce
Mais que je ne peux éliminer
Jouet de ma tête perverse
Mon oeuvre sans cesse modifiée
Pâle reflet de mes angoisses
Témoin de mes incertitudes
De ma tristesse tu es une face
Tu y puises ta plénitude
Doute cependant tu passes
Mais tu restes pourtant présent
Caché au bout de mon impasse
Tu attends le meilleur moment
Pour enfin reprendre ta place
Et me laisser dans tes tourments
.Tu es tapi dans mon cerveau
Guettant mon âme de ta dune
Tu m'envahis comme un cours d'eau
Je t'écarte d'abord rageusement
Dépitée, car je sais que je perds mon temps
Ta patiente n'a pas de limite
Tu t'insinues plus je t'évite
Plus corrosif que l'esprit de sel
Tu brûles en moi comme du fiel
Plus tu prends de place
Plus ma colère grandit
Nous voilà donc en face à face
Ma belle assurance a pâli
Tu me nargues comme si de rien n'était
Imperméable que tu es
A ma douleur à mon chagrin
Tu assassines mes certitudes
Tu terrorises ma solitude
Tu détruit mes histoires d'amour
Tu me poursuis jour après jour
Ennemi que je crée de toute pièce
Mais que je ne peux éliminer
Jouet de ma tête perverse
Mon oeuvre sans cesse modifiée
Pâle reflet de mes angoisses
Témoin de mes incertitudes
De ma tristesse tu es une face
Tu y puises ta plénitude
Doute cependant tu passes
Mais tu restes pourtant présent
Caché au bout de mon impasse
Tu attends le meilleur moment
Pour enfin reprendre ta place
Et me laisser dans tes tourments
avertissement ! mensonge de haut en bas.
je veux juste être seul un moment, ni plus ni moins.
je ne dépends pas de toi et je n'ai pas perdu ma place pour la reprendre. je tate le terrain avant de tirer fort.
ma patiente ? je ne suis pas médecin.
mais je suis le patient de ma patience qui n'a pas de limites.
moi farid khenat en solitaire.
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