Ecole Et Rat
Started by regard blanc, Mar 29 2006 06:32 PM
12 replies to this topic
#1
Posted 29 March 2006 - 06:32 PM
Le monde
N’a pas été fait
Pour moi.
Ni pour
Des gens
Comme
Moi.
Le monde
Serait un autre endroit
S’il avais été fait
Pour m’accompagner
Et m’éduquer.
Je suis un mal éduqué.
Je suis un rebelle
Riant
Devant des moulins a vents.
Je suis un idiot du village
Je suis un mal adapté.
L’école.
Le début de ma vie sociale.
Chemin qui s’allumera
Devant ma nudité de différence.
Il à dit et écris
Je suis né nu.
Camarades de rire
Qui sont donc ces esprits comiques
Qui emplissent les tableaux de mots explicatifs
Les espaces sonores de vérités autoritaires.
Camarade qui avec moi
Partage l’enfance et ses difficultés
Incompréhension de son manque de conscience
Que ces adultes à conseils semblent posséder.
Ils sont conscients de la réalité
Qui les entoures
Avec des chiffres
Des lettres
Des mots
Des images
Des sons
Ils vont nourrir nos consciences
De sciences partagées.
Moi
C’est
Mon meilleur ami qui m’a vôlé un bonbon
C’est ce groupe qui est en guerre contre l’autre
Ce sont les camps que j’ai du choisir
Ce sont les maladroites cruautés de l’insouciance
Que vous envoient d’autre enfant
-je viens d’arriver, je ne connais pas encore
Les coins du monde dont sont faits ces autruis
Moi c’est cette fille que les mots mon donné
A nommer, ma première petite amie
Et des tant de rires éparpillés entre nous
Que quelqu’un devra venir balayer derrière.
Moi à l’école
Qui n’était pas faite pour moi
Parce qu’infesté de clowns adultes
Qui veulent tricoter des sciences
Dans mon jeune cerveau.
Moi
C’est l’ignorance et l’imprévisible
De ceux qui vous entourent.
Amis, amis, l’école, ensemble, qu’est ce qu’on a rigolé
Les jours en fille indienne, des mystères qui se suivent.
Apprendre par cœur ?
Par cœur ? Ces chiffres, ces mots, ces images ?
Mais je ne suis pas d’accord avec vos explications.
Je les trouve laides vos interprétations des natures
de l’histoire, des structures, des axiomes, des éléments.
Par cœur alors qu’un inconnu formidable et immense
Est la couverture de mon destin.
Par cœur pour faire semblant qu’il y’a des certitudes
Des événements réellement déroulés dont il faut se souvenir
Et d’innombrables événements qui ne méritent que l’oubli.
Mais moi, je veux apprendre
A ne pas avoir peur
De ce déplacement de mon corps et âme
Dans cet élément si riche
qu’il est le mieux vécu en ignorance.
L’école.
Un local de classe
Un professeur qui tiens dans sa main
une craie.
Il trace sur un tableau vert
Les mots avec lesquels il se cache de son ignorance
Et nous invite à nous diriger
Classe d’élèves
Vers une conscience
A l’aide des luminosités adoucissantes
Que sont les informations irréfutables
Du programme scolaire.
On m’a acheté des livres d’école
Je cries ; Mais qui vous à dit que je voulais être le produit
Intellectuel d’une école.
Je veux voler la ou les majorités ont peur.
Je veux être le moule de moi
Self-made avec ma créativité.
Des livres d’écoles.
Adjectifs :
Ennuyeux. Répétitifs. Incomplets.
Mal rédigé. No suspense.
Je ne les veux pas vos livres.
Ils puent l’idée fade.
Presque pas une odeur.
Une intuition.
Bouquins scolaires
Requins pour plaire
Au mensonges fruits de nos peurs du vide.
Vous apprenez, vous apprenez.
Vous comprenez, vous ne comprenez pas.
Vous écoutez, vous n’écoutez pas.
Bon élève.
Moi je suis un cancre.
Qu’ils sont beaux les nuages.
Et pour rien au monde je vous échangerai
Mes livres, ceux tombés sous ma main
Par les fruits du hasards et du choix
Parmi tant et tant de livres.
Livre scolaires
Rédigés par des anonymes
Dont les noms sont inscrits sur la couverture.
Et vous voulez que j’apprenne par cœur
Ce texte qui me fait pleurer tant il est dénué
De tout ces charmes dont usent les grands auteurs.
Il y’a de grands auteurs a tout sujet.
Et puis l’intérrogation.
Questions sans goût
Que je ne me pose pas.
Les noms de guerriers ?
Les noms de dirigeants ?
La formule de Pi ?
La parabole du renard ?
Le processus de photosynthèse ?
Des questions à vous boucher les couloirs des croyances.
Des avertissements de dangers,
Des monstres à vous faire passer l’envie d’explorer au travers
vos trompe-l’œil de réalité.
Fermement ancrés dans le sol du savoir commun.
Des gardiens qui souvent se moquent des idées nouvelles
Que fait grandir nôtre ignorance.
Mon ami, pourquoi est tu parti avec celle que j’aimais ?
Pourquoi est ce que Bertrand m’a fait ce compliment ?
Qui est donc cette fille que j’ai croisée dans le couloir ?
L’école.
Petit con bourreur de crâneries
Toutes ces informations qui sont
Inévitablement d’une façon ou d’une autre contredit.
ECOOOOOOOLE
Apprends moi l’ignorance.
La légèreté effrayante
De ces surprenants événements.
Le vertige de mes impuissances.
L’envol de joie de mes influences
Sois à côté de moi
Les lèvres patientes
Lorsque je développerai mes outils.
Ma façon de comprendre. Ma façon de faire.
Ma façon d’apprendre.
Professeurs
Taisez vous plus souvent.
L’enfant crois
Qu’il est venu pour vous apporter des trésors.
Qu’il as une intuition pour les savoirs.
Des sens pour les apprentissages.
Et dans son cerveau, encore en état de rêve
Encore inaccessible
La science infuse
Des outils à l’image de ses capacités.
L’école,
Mon meilleur ami qui me regarde pleurer
Le père que j’ai perdu
Une tape sur l’épaule
Il me dit que je suis courageux.
N’a pas été fait
Pour moi.
Ni pour
Des gens
Comme
Moi.
Le monde
Serait un autre endroit
S’il avais été fait
Pour m’accompagner
Et m’éduquer.
Je suis un mal éduqué.
Je suis un rebelle
Riant
Devant des moulins a vents.
Je suis un idiot du village
Je suis un mal adapté.
L’école.
Le début de ma vie sociale.
Chemin qui s’allumera
Devant ma nudité de différence.
Il à dit et écris
Je suis né nu.
Camarades de rire
Qui sont donc ces esprits comiques
Qui emplissent les tableaux de mots explicatifs
Les espaces sonores de vérités autoritaires.
Camarade qui avec moi
Partage l’enfance et ses difficultés
Incompréhension de son manque de conscience
Que ces adultes à conseils semblent posséder.
Ils sont conscients de la réalité
Qui les entoures
Avec des chiffres
Des lettres
Des mots
Des images
Des sons
Ils vont nourrir nos consciences
De sciences partagées.
Moi
C’est
Mon meilleur ami qui m’a vôlé un bonbon
C’est ce groupe qui est en guerre contre l’autre
Ce sont les camps que j’ai du choisir
Ce sont les maladroites cruautés de l’insouciance
Que vous envoient d’autre enfant
-je viens d’arriver, je ne connais pas encore
Les coins du monde dont sont faits ces autruis
Moi c’est cette fille que les mots mon donné
A nommer, ma première petite amie
Et des tant de rires éparpillés entre nous
Que quelqu’un devra venir balayer derrière.
Moi à l’école
Qui n’était pas faite pour moi
Parce qu’infesté de clowns adultes
Qui veulent tricoter des sciences
Dans mon jeune cerveau.
Moi
C’est l’ignorance et l’imprévisible
De ceux qui vous entourent.
Amis, amis, l’école, ensemble, qu’est ce qu’on a rigolé
Les jours en fille indienne, des mystères qui se suivent.
Apprendre par cœur ?
Par cœur ? Ces chiffres, ces mots, ces images ?
Mais je ne suis pas d’accord avec vos explications.
Je les trouve laides vos interprétations des natures
de l’histoire, des structures, des axiomes, des éléments.
Par cœur alors qu’un inconnu formidable et immense
Est la couverture de mon destin.
Par cœur pour faire semblant qu’il y’a des certitudes
Des événements réellement déroulés dont il faut se souvenir
Et d’innombrables événements qui ne méritent que l’oubli.
Mais moi, je veux apprendre
A ne pas avoir peur
De ce déplacement de mon corps et âme
Dans cet élément si riche
qu’il est le mieux vécu en ignorance.
L’école.
Un local de classe
Un professeur qui tiens dans sa main
une craie.
Il trace sur un tableau vert
Les mots avec lesquels il se cache de son ignorance
Et nous invite à nous diriger
Classe d’élèves
Vers une conscience
A l’aide des luminosités adoucissantes
Que sont les informations irréfutables
Du programme scolaire.
On m’a acheté des livres d’école
Je cries ; Mais qui vous à dit que je voulais être le produit
Intellectuel d’une école.
Je veux voler la ou les majorités ont peur.
Je veux être le moule de moi
Self-made avec ma créativité.
Des livres d’écoles.
Adjectifs :
Ennuyeux. Répétitifs. Incomplets.
Mal rédigé. No suspense.
Je ne les veux pas vos livres.
Ils puent l’idée fade.
Presque pas une odeur.
Une intuition.
Bouquins scolaires
Requins pour plaire
Au mensonges fruits de nos peurs du vide.
Vous apprenez, vous apprenez.
Vous comprenez, vous ne comprenez pas.
Vous écoutez, vous n’écoutez pas.
Bon élève.
Moi je suis un cancre.
Qu’ils sont beaux les nuages.
Et pour rien au monde je vous échangerai
Mes livres, ceux tombés sous ma main
Par les fruits du hasards et du choix
Parmi tant et tant de livres.
Livre scolaires
Rédigés par des anonymes
Dont les noms sont inscrits sur la couverture.
Et vous voulez que j’apprenne par cœur
Ce texte qui me fait pleurer tant il est dénué
De tout ces charmes dont usent les grands auteurs.
Il y’a de grands auteurs a tout sujet.
Et puis l’intérrogation.
Questions sans goût
Que je ne me pose pas.
Les noms de guerriers ?
Les noms de dirigeants ?
La formule de Pi ?
La parabole du renard ?
Le processus de photosynthèse ?
Des questions à vous boucher les couloirs des croyances.
Des avertissements de dangers,
Des monstres à vous faire passer l’envie d’explorer au travers
vos trompe-l’œil de réalité.
Fermement ancrés dans le sol du savoir commun.
Des gardiens qui souvent se moquent des idées nouvelles
Que fait grandir nôtre ignorance.
Mon ami, pourquoi est tu parti avec celle que j’aimais ?
Pourquoi est ce que Bertrand m’a fait ce compliment ?
Qui est donc cette fille que j’ai croisée dans le couloir ?
L’école.
Petit con bourreur de crâneries
Toutes ces informations qui sont
Inévitablement d’une façon ou d’une autre contredit.
ECOOOOOOOLE
Apprends moi l’ignorance.
La légèreté effrayante
De ces surprenants événements.
Le vertige de mes impuissances.
L’envol de joie de mes influences
Sois à côté de moi
Les lèvres patientes
Lorsque je développerai mes outils.
Ma façon de comprendre. Ma façon de faire.
Ma façon d’apprendre.
Professeurs
Taisez vous plus souvent.
L’enfant crois
Qu’il est venu pour vous apporter des trésors.
Qu’il as une intuition pour les savoirs.
Des sens pour les apprentissages.
Et dans son cerveau, encore en état de rêve
Encore inaccessible
La science infuse
Des outils à l’image de ses capacités.
L’école,
Mon meilleur ami qui me regarde pleurer
Le père que j’ai perdu
Une tape sur l’épaule
Il me dit que je suis courageux.
#2
Posted 29 March 2006 - 09:35 PM
le plus dangereux pour moi dans l'école, c'est la cour de récré
le reste ne m'a pas plus derangé que ça
le reste ne m'a pas plus derangé que ça
#3
Posted 29 March 2006 - 10:27 PM
C'est trop long, Regard. Pour moi.
Il y a des éclairs "être le moule de moi-même", "des questions à vous boucher les couloirs des croyances". C'est giga !
Et puis sur le sens de ce que je comprends : au départ, j'me suis dit que ouais, y'en a marre de ces moules hyper standards, ces leçons qu'il faut apprendre et que zut. Et puis... d'un coup, ça m'a fait peur.
Professeurs, taisez-vous un peu plus souvent... même si je crois comprendre ce que tu veux dire, c'est quand même dangereux. Enfin... à double tranchant, quoi.
Félice.
Il y a des éclairs "être le moule de moi-même", "des questions à vous boucher les couloirs des croyances". C'est giga !
Et puis sur le sens de ce que je comprends : au départ, j'me suis dit que ouais, y'en a marre de ces moules hyper standards, ces leçons qu'il faut apprendre et que zut. Et puis... d'un coup, ça m'a fait peur.
Professeurs, taisez-vous un peu plus souvent... même si je crois comprendre ce que tu veux dire, c'est quand même dangereux. Enfin... à double tranchant, quoi.
Félice.
#4
Posted 01 April 2006 - 06:51 AM
Citation (Félice @ Mar 29 2006, 11:27 PM) <{POST_SNAPBACK}>
C'est trop long, Regard. Pour moi.
Il y a des éclairs "être le moule de moi-même", "des questions à vous boucher les couloirs des croyances". C'est giga !
Et puis sur le sens de ce que je comprends : au départ, j'me suis dit que ouais, y'en a marre de ces moules hyper standards, ces leçons qu'il faut apprendre et que zut. Et puis... d'un coup, ça m'a fait peur.
Professeurs, taisez-vous un peu plus souvent... même si je crois comprendre ce que tu veux dire, c'est quand même dangereux. Enfin... à double tranchant, quoi.
Félice.
Il y a des éclairs "être le moule de moi-même", "des questions à vous boucher les couloirs des croyances". C'est giga !
Et puis sur le sens de ce que je comprends : au départ, j'me suis dit que ouais, y'en a marre de ces moules hyper standards, ces leçons qu'il faut apprendre et que zut. Et puis... d'un coup, ça m'a fait peur.
Professeurs, taisez-vous un peu plus souvent... même si je crois comprendre ce que tu veux dire, c'est quand même dangereux. Enfin... à double tranchant, quoi.
Félice.
@Gaston, dans le poeme ou dans la vie ?
@Félice, merci pour le com, je sais que c'est dangereux...mais c'est un de mes rêves qui me brules...je veux être dangereux...faudra encore que j'apprenne a retravailler mes écrits pour que les mots soient plus tranchant...pour que mes mots avancent comme des tanks devant des armées d'idées établies...
Shabbat Shalom.
Regard Blanc
entre les lignes
#5
Posted 01 April 2006 - 10:55 AM
Shabbat shalom, mon frère de Tel-Aviv.
Oui, travaille et retravaille. Les mots ne sont pas des tanks mais des tapis volants qui t'emmèneront au dessus de tout ça.
Et l'école t'apprend à apprendre... c'est un luxe de pouvoir écrire le texte que tu as posté là. Pour remettre en cause l'école, il faut déjà y avoir accès.
C'est pour ses faiblesses que j'aime ton texte.
Félice.
Oui, travaille et retravaille. Les mots ne sont pas des tanks mais des tapis volants qui t'emmèneront au dessus de tout ça.
Et l'école t'apprend à apprendre... c'est un luxe de pouvoir écrire le texte que tu as posté là. Pour remettre en cause l'école, il faut déjà y avoir accès.
C'est pour ses faiblesses que j'aime ton texte.
Félice.
#6
Posted 01 April 2006 - 10:58 AM
Je t'aime
Et tu sais pourquoi
Et tu sais pourquoi
#7
Posted 01 April 2006 - 12:21 PM
C'est vrai que c'est long... A l'école...
Bonjour enfant rebelle !
Pascale
Bonjour enfant rebelle !
Pascale
#8
Posted 01 April 2006 - 05:41 PM
@ Félice.
shavuah Tov ma Soeur de ??? Paris ? pour ce qui est des mots je crois qu'on à chacun son imagerie à soi...c'est beau des tapis volant...et pourtant moi lorsque j'écris j'ai l'impression de partir en guerre contre les ordres établis que l'on m'a nourri...
ces croyances qui induisent l'homme en erreur et qui lui font lever les armes à tuer l'autre...l'intelligence ce n'est pas de tuer l'autre, c'est de massacrer les mots qui lui font passer aux armes...je suis un militaire des mots... et ce n'est pas au dessus que je veux être avec eux, c'est en dedans que je veux pénetrer...
C beau des tapis volants...je te souhaite Mille et une nuits soyeuses.
mes poèmes sont parfois long et je m'en excuse...j'apprendrai et c'est un peu grace au TLPiens qui veulent bien m'accompagner.
@Hélo...moi aussi j'ai un penchant pour toi...si tu passe en Israel c'est avec plaisir qu'on ira boire un café latté (le café Israélien par excellence).
@Pascale...oui c'est long, pour moi l'école c'était de 8 heures du mat à 5 heures de l'aprèm...
shavuah Tov ma Soeur de ??? Paris ? pour ce qui est des mots je crois qu'on à chacun son imagerie à soi...c'est beau des tapis volant...et pourtant moi lorsque j'écris j'ai l'impression de partir en guerre contre les ordres établis que l'on m'a nourri...
ces croyances qui induisent l'homme en erreur et qui lui font lever les armes à tuer l'autre...l'intelligence ce n'est pas de tuer l'autre, c'est de massacrer les mots qui lui font passer aux armes...je suis un militaire des mots... et ce n'est pas au dessus que je veux être avec eux, c'est en dedans que je veux pénetrer...
C beau des tapis volants...je te souhaite Mille et une nuits soyeuses.
mes poèmes sont parfois long et je m'en excuse...j'apprendrai et c'est un peu grace au TLPiens qui veulent bien m'accompagner.
@Hélo...moi aussi j'ai un penchant pour toi...si tu passe en Israel c'est avec plaisir qu'on ira boire un café latté (le café Israélien par excellence).
@Pascale...oui c'est long, pour moi l'école c'était de 8 heures du mat à 5 heures de l'aprèm...
#9
Posted 01 April 2006 - 06:15 PM
J'habite à peu près à Paris. Je suis de Strasbourg. Les cousins, cousines sont à Ashkelon.
Je disais juste qu'on sent beaucoup d'impulsivité dans ton texte. Beaucoup d'émotion. Et comme l'a dit Heloise au sujet d'un de ses textes... parfois tous les mots qu'on y a mis sont nécessaires, on les veut tous.
Or je crois que ton texte gagnerait à se réduire un petit peu, pour donner plus d'impact.
Quand on écrit, c'est tout notre être qui parle. Notre histoire, le contexte dans lequel on vit. Aussi.
J'attends tes prochains écrits, frère.
Félice.
Je disais juste qu'on sent beaucoup d'impulsivité dans ton texte. Beaucoup d'émotion. Et comme l'a dit Heloise au sujet d'un de ses textes... parfois tous les mots qu'on y a mis sont nécessaires, on les veut tous.
Or je crois que ton texte gagnerait à se réduire un petit peu, pour donner plus d'impact.
Quand on écrit, c'est tout notre être qui parle. Notre histoire, le contexte dans lequel on vit. Aussi.
J'attends tes prochains écrits, frère.
Félice.
#10
Posted 02 April 2006 - 05:37 PM
Citation (Félice @ Apr 1 2006, 07:15 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'habite à peu près à Paris. Je suis de Strasbourg. Les cousins, cousines sont à Ashkelon.
Je disais juste qu'on sent beaucoup d'impulsivité dans ton texte. Beaucoup d'émotion. Et comme l'a dit Heloise au sujet d'un de ses textes... parfois tous les mots qu'on y a mis sont nécessaires, on les veut tous.
Or je crois que ton texte gagnerait à se réduire un petit peu, pour donner plus d'impact.
Quand on écrit, c'est tout notre être qui parle. Notre histoire, le contexte dans lequel on vit. Aussi.
J'attends tes prochains écrits, frère.
Félice.
Je disais juste qu'on sent beaucoup d'impulsivité dans ton texte. Beaucoup d'émotion. Et comme l'a dit Heloise au sujet d'un de ses textes... parfois tous les mots qu'on y a mis sont nécessaires, on les veut tous.
Or je crois que ton texte gagnerait à se réduire un petit peu, pour donner plus d'impact.
Quand on écrit, c'est tout notre être qui parle. Notre histoire, le contexte dans lequel on vit. Aussi.
J'attends tes prochains écrits, frère.
Félice.
j'ai connu des gens de strasbourg, je ne savais pas qu'ils vendaient des plumes d'écrivain la-bas, enfin , le monde est plein de surprises...
reduire, reduire, pour que cela aies plus d'impact, dire que c'est mon métier.
c'est toi sur la photo (elle ne m'est pas inconnue, c pas colette?)
#11
Posted 02 April 2006 - 05:42 PM
Citation (regard blanc @ Apr 1 2006, 07:51 AM) <{POST_SNAPBACK}>
@Gaston, dans le poeme ou dans la vie ?
je disais dans la vie
le poéme ? je suis Félice dans ce qu'elle en dit
mais je n'ai jamais été rebelle en classe
je croie que là bas, on joue surtout le rebelle pour la popularité
les vrais, eux, ils écoutent et réagissent ailleurs
ou alors ils dorment
c'est fatiguant aussi, faut pas croire
#12
Posted 02 April 2006 - 06:16 PM
lol je suis à mon tour Gaston dans ce qu'il dit. Dormir pour réussir à se protéger du brouhaha du moulage, c'est hyper crevant !
Ce n'est pas moi sur la photo ! Mon Dieu...
C'est Zarah Leander. Etrange personnage.
Félice.
Ce n'est pas moi sur la photo ! Mon Dieu...
C'est Zarah Leander. Etrange personnage.
Félice.
#13
Posted 02 April 2006 - 09:30 PM
j'ai également passé beaucoup d'heures a dormir sur les bancs de classe.
Faut dire qu'au départ ce n'est pas confortable, mais on s'y fait...
seulement voila, lorsque je me réveillais, je faisais ma petite terreur...
pas pour la popularité, peut être une demande d'attention, c'est possible; mais également parce que je n'étais pas d'accord avec ce qui se disait comme conneries par des adultes mals éduques à leur tour par des livres scolaires.
Oui certains profs préferaient m'avoir en sommeil qu'en éveil dans leur classe.
la nuit j'écrivais...jusqu'a tard...même parfois la nuit était blanche, mais je le masquais avec l'encre de mes mots.
je noircissais nombre de pages, ainsi je parvenais à des clairs obscurs entre nuit noire et nuit blanche...
pour être exact, je passais des nuits grises.
Faut dire qu'au départ ce n'est pas confortable, mais on s'y fait...
seulement voila, lorsque je me réveillais, je faisais ma petite terreur...
pas pour la popularité, peut être une demande d'attention, c'est possible; mais également parce que je n'étais pas d'accord avec ce qui se disait comme conneries par des adultes mals éduques à leur tour par des livres scolaires.
Oui certains profs préferaient m'avoir en sommeil qu'en éveil dans leur classe.
la nuit j'écrivais...jusqu'a tard...même parfois la nuit était blanche, mais je le masquais avec l'encre de mes mots.
je noircissais nombre de pages, ainsi je parvenais à des clairs obscurs entre nuit noire et nuit blanche...
pour être exact, je passais des nuits grises.
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