Rafales, mires, famines
La découverte m'est si fade.
J'ai fait le noeud,
Les farces et les intrigues.
Mes désirs ont brisés leurs miroirs.
Ce qui me reste a de la couleur.
Je n'aime pas nier l'amour,
Gravité de dérisoire mêlée.
Solitaire et de dépit
Ma naïveté renforce ses armées,
Mes dociles élans
Que j'aime avec adresse répéter !
Mes nuits à des ordres chantent,
Mon langage abonde, ) de chimères (
Surface surface, subtile
Je soutiens tes odeurs les plus dures.
Retour aux vices, j'y reviens.
L'oeil de la spirale taille ses ris,
J'étale ses feus sur mon image
Pourri de certitudes, à l'intérieur
Une rose
Etrangle mon souffle.
L'esthétisme des soupirs m'appelle,
Très fort, sentez vous !
Je me trompe de direction.
Sans plus de sang raboté,
J'offre ni rires ni bien ni mal,
Mais mon ascèse
À l'ampleur d'une cage.
Mon regard mou crève l'espoir
Une litanie presque belle
Vaque vaque sans s'occuper.
Avec quelques soucis
De rimes pauvres
Que je m'éteigne enfin.
C.M