PERCEPTION
Dans un monde où le beau n’est plus légion,
Où même le strass ne fait plus illusion,
Notre bravoure faisant défaut,
Dans la pénombre, nous avançons.
Triste spectacle, pauvre de nous !
Cachés derrière ce voile épais.
Triste spectacle ! le regard flou,
Poussés vers l’uniformité.
Sourires fébriles, modestes gloires,
Dépassés par nos propres pas.
Visages figés, tel un miroir,
Le futile édictant nos lois.
Et si à l’aube d’un nouveau jour,
Le beau semblait nous revenir ?
J’ai souvent souhaité son retour,
Pour le futur…pour l’embellir !
Par delà les codes de conduite
Qu’on aura voulu m’imposer ;
Je n’ai jamais choisi la fuite !
Résistant, même au moindre fait.
Dans un monde où le beau n’est plus légion,
Où même le strass ne fait plus illusion,
Ma bravoure ne fait plus défaut…
Car j’en appelle à ma raison.
Charles Monzat
Dans un monde où le beau n’est plus légion,
Où même le strass ne fait plus illusion,
Notre bravoure faisant défaut,
Dans la pénombre, nous avançons.
Triste spectacle, pauvre de nous !
Cachés derrière ce voile épais.
Triste spectacle ! le regard flou,
Poussés vers l’uniformité.
Sourires fébriles, modestes gloires,
Dépassés par nos propres pas.
Visages figés, tel un miroir,
Le futile édictant nos lois.
Et si à l’aube d’un nouveau jour,
Le beau semblait nous revenir ?
J’ai souvent souhaité son retour,
Pour le futur…pour l’embellir !
Par delà les codes de conduite
Qu’on aura voulu m’imposer ;
Je n’ai jamais choisi la fuite !
Résistant, même au moindre fait.
Dans un monde où le beau n’est plus légion,
Où même le strass ne fait plus illusion,
Ma bravoure ne fait plus défaut…
Car j’en appelle à ma raison.
Charles Monzat