S’t’enfoiré
S’est envolé
À bord de son hélico
Nous les cocos
On les bouffe par centaine
Les ricains et ricaines
Vont bien s’marrer
Quand bien profond
on leur foutra Leur branlée
Vont bien ricanner
quand du fond des bois
On les dégagera
Z’avez qu’à pas
Utiliser l’agent orange
Aussi crasseux que le Gange
Contre la force de libération
De la vallé du Mékong
On leur foutra dans le fion
Leur putain de libéralisation
El niño's Content
There have been 13 items by El niño (Search limited from 28-April 23)
#274371 dernier gi
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on 02 December 2005 - 02:57 PM
in
Salon de publication principal
#274365 variations autour de Boggie
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on 02 December 2005 - 02:46 PM
in
Salon de publication principal
ça renifle les odeurs de fumé de bars et de papier mouillé sur le trotoir
ça daube l'odeur d'échapement et la peur des passants
enfin ça sent la rue couleur sépia, genre photo oublié d'une trop brelle nana
Parka luisante, réverbères et traction arrière
ça fleur bon !
ça daube l'odeur d'échapement et la peur des passants
enfin ça sent la rue couleur sépia, genre photo oublié d'une trop brelle nana
Parka luisante, réverbères et traction arrière
ça fleur bon !
#274096 Il pleut
Posted by
on 01 December 2005 - 04:46 PM
in
Salon de publication principal
Tant qu'il pleut et que c'est pas un raz de marrée.
Simple certes, mais j'aime.
Simple certes, mais j'aime.
#274069 Ce soir, c'est la récolte
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on 01 December 2005 - 02:22 PM
in
Salon de publication principal
Drapée de noir
Elle glisse
Sur le pavé
Tapissé
De roses urbaines
De lueurs mondaines
Le long de sa hanche
Sous son manteau
Une arme blanche
Un long couteau
Elle va récolter
Sa pitance de chair
Et les âmes grises
De la masse prolétaire
Affamé
Assoiffée
Ce soir, le marché sera fructueux
C’est jour de fête
Dansez, bandes de gueux
Ça ira vite
Son coupe-gorge
Camarade de sang
Est bien malin
Il saura valser avec entrain
Sur votre nuque
Son gagne-pain
Drapé de noir
Elle glisse sur le trottoir
Pauvres cafards
Tremblez !
Ce soir
Vous y passez !
Elle glisse
Sur le pavé
Tapissé
De roses urbaines
De lueurs mondaines
Le long de sa hanche
Sous son manteau
Une arme blanche
Un long couteau
Elle va récolter
Sa pitance de chair
Et les âmes grises
De la masse prolétaire
Affamé
Assoiffée
Ce soir, le marché sera fructueux
C’est jour de fête
Dansez, bandes de gueux
Ça ira vite
Son coupe-gorge
Camarade de sang
Est bien malin
Il saura valser avec entrain
Sur votre nuque
Son gagne-pain
Drapé de noir
Elle glisse sur le trottoir
Pauvres cafards
Tremblez !
Ce soir
Vous y passez !
#273795 Harry fuck the roy
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on 30 November 2005 - 04:12 PM
in
Salon de publication principal
Ouai ! ! ! Encore ! c'est du tout bon ça. Bonne ambiance, bien fendard, j'ai entendu une guitar qui ronflait à mes oreilles pendant la lecture.
#273746 crepuscule
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on 30 November 2005 - 02:04 PM
in
Salon de publication principal
Décadence du monde blanc.
Bien sympas.
Bien sympas.
#273703 APA l'Edmond du Caire
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on 30 November 2005 - 11:53 AM
in
Salon de publication principal
ouai ! moi j'aime bien.
#273690 Farandole
Posted by
on 30 November 2005 - 10:37 AM
in
Salon de publication principal
Les lois de l’attraction
Vastes champs de récréation
Comme neige au balcon
Gauche, droite
Mystérieux jargon ou symphonie maladroite ?
Énergie vaporeuse dissidente ou folie désagrégée désespérante ?
Aliénation vagabonde ou Maison close immonde ?
Ces démentes lois
Asile hystérique
Dansent une farandole shamanique
Au milieu de cet hiver froid
#273668 Le spectateur
Posted by
on 30 November 2005 - 09:30 AM
in
Salon de publication principal
Merci merci.......................
#273480 Le spectateur
Posted by
on 29 November 2005 - 04:10 PM
in
Salon de publication principal
Le spectateur
Je ne peux, avec ma bouche
Donc, avec mes mains
Sur le papier je couche
Ces lignes devenant écrin
Tes lunes de cristal
Réveillent en moi
Cette impression fatale
De n’être ni sot, ni roi
Juste banal
Et si maladroit
Ta peau de rose
D’ange de nuit
Brille, et si j’ose
La regarder ainsi
Je sens, qui s’interpose
L’espace, cet inpuni
Ton odeur sucrée
M’enivre jusqu’à l’infini
Je voudrais y goûter
Mais les cartes de la vie
Ont mal été distribuées
Quelle triste ironie
Je ne devrais pas espérer
attendre le temps
Où je cesserais
De n’être qu’un frôlement
Enfin je pourrais
T’effleurer tendrement
Alors je reste
Un simple spectateur
Et je peste
Avec tant de rancoeur
De ne pas avoir la veste
Du beau parleur
Je ne peux, avec ma bouche
Donc, avec mes mains
Sur le papier je couche
Ces lignes devenant écrin
Tes lunes de cristal
Réveillent en moi
Cette impression fatale
De n’être ni sot, ni roi
Juste banal
Et si maladroit
Ta peau de rose
D’ange de nuit
Brille, et si j’ose
La regarder ainsi
Je sens, qui s’interpose
L’espace, cet inpuni
Ton odeur sucrée
M’enivre jusqu’à l’infini
Je voudrais y goûter
Mais les cartes de la vie
Ont mal été distribuées
Quelle triste ironie
Je ne devrais pas espérer
attendre le temps
Où je cesserais
De n’être qu’un frôlement
Enfin je pourrais
T’effleurer tendrement
Alors je reste
Un simple spectateur
Et je peste
Avec tant de rancoeur
De ne pas avoir la veste
Du beau parleur
#273476 Pourquoi ?
Posted by
on 29 November 2005 - 03:53 PM
in
Salon de publication principal
Sympas, j'aime beaucoup
#273466 Amour de comptoir
Posted by
on 29 November 2005 - 03:23 PM
in
Salon de publication principal
L'alcool débloque les inhibitions, mais nous fait perdre aussi le contrôle. Qui n'a pas vécu cela...
#273398 Amour de comptoir
Posted by
on 29 November 2005 - 12:41 PM
in
Salon de publication principal
Bon, bonjour... et voici donc un premier jet sur ces pages digitales.
Amour de comptoir
Au milieu des bobos et des gars Jo
La scène se répète mille fois
Chaque soir, dans chaque ville
Un gars, une fille tiennent concile
Et se regardent tant, qu'ils croient
Que l'amour coulera à flot
Quelques fumés sous la toiture
Quelques goûtes impures
Au milieu de la foule
Tous deux échangent des banalités
Jouent avec l'espace qui les séparent
Ils oublient le chemin qu'ils préparent
Danse de séduction mainte fois épuisée
Bordé d'averse, d'orage et de houle
Quelques notes sur la mesure
Quelques brèves impostures
Plus tard ils comprendront leur douleur
L'alcool n'est pas bon conseiller
Encore moins les rythmes frénétiques
Mais que faire, l'ambiance est magique
Alors ils se mentent et se laissent aller
Oubliant leurs corps et leurs peurs
Quelques phrases en hachures...
Ils finiront, triste coût du sort, en une infinité de brisures
Amour de comptoir
Au milieu des bobos et des gars Jo
La scène se répète mille fois
Chaque soir, dans chaque ville
Un gars, une fille tiennent concile
Et se regardent tant, qu'ils croient
Que l'amour coulera à flot
Quelques fumés sous la toiture
Quelques goûtes impures
Au milieu de la foule
Tous deux échangent des banalités
Jouent avec l'espace qui les séparent
Ils oublient le chemin qu'ils préparent
Danse de séduction mainte fois épuisée
Bordé d'averse, d'orage et de houle
Quelques notes sur la mesure
Quelques brèves impostures
Plus tard ils comprendront leur douleur
L'alcool n'est pas bon conseiller
Encore moins les rythmes frénétiques
Mais que faire, l'ambiance est magique
Alors ils se mentent et se laissent aller
Oubliant leurs corps et leurs peurs
Quelques phrases en hachures...
Ils finiront, triste coût du sort, en une infinité de brisures
