L’envie d’amour qui fuyait nue chaque moment
Que j’accordais béant à l’ampleur du sentiment.
Je cherchais vaillamment mon âme débonnaire
Entre leurs galops pour l'accoler avant sa chute
Aux creux des sommes qui refoulaient ma lute.
Le chemin qu’ils sillonnaient fortement austères
Finissait souvent noir sous le rideau de la nuit
Qui recelait l’effort générant les saillants bruits.
L’allure qu’ils multipliaient avant les douaires,
Sur leur aspérité, se redessinait belle et rebelle,
Et la lenteur sous leurs pieds clopinait vénielle
Pour épouser le naissant silence d’un autre air.
J’entendais souvent les hurlements des morts
Qui, sous leurs tombes recherchaient l’accord
Rechignant l’harmonie qui pourrait leur plaire.
Je recherchais hardiment ma pensée en l’hadal
Des bruits qui se taisaient avec la chute sidérale
Pour percer leurs morts d’une vision prolifère,
Mais je m’heurtais souvent tremblotant de peur
Face au néant vibrant tout autour des clameurs,
Qui résonnaient stridentes devant mes repères,
Et entre les pieds des résipiscences mordantes
Je cherchais mon allure pour clore la descente.
Ils me Rattrapaient souvent ces remords derrière
L’envie d’amour qui fuyait nue chaque moment
Que j’accordais béant à l’ampleur du sentiment,
Pour épouser le naissant silence d’un autre air,
mais je criais à ma manière ma mort et ces morts
Qui, sous leurs tombes recherchaient l’accord.
moi farid khenat en solitaire.
" je ne laisserai personne continuer la course avec ce que j'écrirai.
je reprends ma solitude et bon ou mauvais ça n'engage que ma personne
merci "
moi farid khenat en solitaire.
Edited by vent, 27 November 2006 - 09:29 PM.