Périr l’unique nova qui veillait longtemps
Sur son écuyer galopant tout autour des rangs
Que la reine redressait pour enclore les vues.
Entre les inanimés qui attendaient l’aurore, nus,
Il s’était allongé pour berner le mécontent
Qui affermissait les nouvelles réactions du temps,
Mais il a fini par perdre son ton entre les mues.
Les galops qu’il avait à l’oreille, assourdissants
Etaient ceux du jour qui fuyait languissant
L'iniquité des soldats qui lui volaient l’élan ;
La prison dépendait de la nuit scindant l’effort
Du jour qui se déployait sur ses chemins, lent
Et l’éclaireur mourant est noir, sous son tort.
moi farid khenat
non ! ni kamel ni noël ni le temps ou autres akli, rabah, mohamed ahmed, smail, amar sammuel et orange ici . désolé !
moi farid khenat.
Edited by vent, 08 December 2006 - 04:40 PM.