j’ai réalisé j’ai désiréla dernièrement
que machinalement depuis mes pubères années
je ne faisait pas ou plutôtement faisant
la fainéante attitude je me défaisait
Mais grandissant et l’altitude aidant
La précipitation et l’apaisante heure
Faisait que mon nez, mon blair, mon reniflant
S’était enflé comme vers la blaisseure
Louchant de bas en haut en bas désir
Et laissant les feutres déportionner
Les fragment et guenilles s’en partallaient
A la tragique allégresse qu’est vieillir
Depuis une fraction centenaire, une décédénie
Plus ou moins un touffle de vie d’envie
D’où l’on ne pense pas qu’on est plus ou moins
Je m’habrigassais à n’envisager les lendetrains
Et je pris les trailles des trippes d’entrecouture
J’enchancrai les cris, les krolls de vergetirures
Et m’étalai là, à contemployer le déploiement
D’une architecture sans grand effétimissant
D’une fois de plus ou moins encore baba bouche bée
J’entrepren’ammasai la déferlente désinvoliture
Pour guérir d’un rien dont on ne sait qu’il est
Et qu’on entretitine pour s’en bouleverser l’asur
J’encaparisais pour un temps plus ou moins probable
La baladie pestilentiel et les nuages sans rien savouriser
Et me laissant ballant, ballancer du nouvel accable
Je me pendais presque et pourtant le mouvement intuitif de la pensée, l’idée, le bon gré, le cœur la vie et l’effet, la rage, l’affactavité, la vision l’ouie le trouché, ma tendresse, ma moue, ma mie mon intérêt, ma fièvre de libannais, ma vie mon train ma survie
Et là, grand dieu, las comme un coing dans les lilas
Le printemps de ta bouille à verre en gidouille
Me donnai le vertige de l’entrecourouille
Et j’entrevisais, j’écrevissais la conille et le bas
Ha ! j’ai réalisé j’ai désiréla dernièrement
Combien l’activatiré fait détonner le temps
Comment le printemps pris dans le vent
Me lance dans le bonheur, Pondieusement ….
J’ai réalisé, j’ai désiréla
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