Citation (LisAbelle @ Dec 19 2006, 07:10 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Enfin vous revoilà !
Bien amicalement.
Lisa.
Bien amicalement.
Lisa.
Bonsoir LisAbelle !
En voilà un accueil, comme on va me jalouser...
Merci de votre lecture.
Amitié
Hauteur
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#363714 Gouttes
Posted by
on 20 December 2006 - 07:22 PM
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Salon de publication principal
Bonsoir LisAbelle !
En voilà un accueil, comme on va me jalouser...
Merci de votre lecture.
Amitié
Hauteur
#363511 Gouttes
Posted by
on 19 December 2006 - 05:13 PM
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Salon de publication principal
Citation (Félice @ Dec 19 2006, 01:48 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Sans doute un texte qui vient du ventre.
Heureuse de votre retour, cher, j'ose espérer que vous n'en doutiez point.
Félice.
Heureuse de votre retour, cher, j'ose espérer que vous n'en doutiez point.
Félice.
Bonjour Chère,
Du ventre ?
Né du ventre, et de l'âme, je trahis ma faiblesse,
Les décors en carton dont je m'entoure sans cesse.
Du fin fond de l'orgasme éclatant d'un orage,
Ce texte sort du trou d'où l'a tiré ma rage.
Sans doute est-ce importun, peut-être cavalier,
S’éveiller un matin sans l’envie de porter
Cet énorme fardeau avec lequel on croit
Pouvoir courir ainsi sans en sentir le poids !
Comme s’il suffisait de bien fort, y penser…
Au nom de tous les siens, de ceux qu’il faut porter,
Qui vous toisent de haut, sûr de votre santé,
Ces branches qu’à jamais, les arbres porteront…
S’oublier jusqu’au point de n’être plus qu’un tronc.
Un retour, Chère ?
En fait je n’en sais rien, Hauteur dormait en moi à l’ombre de ses rêves.
Peut-être n’est-ce qu’un bâillement…
Cela dit, je ne doute pas un instant, non, que vous en fussiez heureuse, vous ne m’avez jamais voulu plus de mal que je ne vous en aie voulu, je pense !
Mes hommages, Chère.
Amitiés,
Hauteur
#363509 Gouttes
Posted by
on 19 December 2006 - 04:31 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Paname @ Dec 19 2006, 11:34 AM) <{POST_SNAPBACK}>
ça, c'est de l'Amour ou je ne m'y connais pas !
Sublime déclaration...
Juste un petit bémol : j'aurais plutôt vu "...et j'en mourrais, sinon.", car vous avez manifestement en tête un conditionnel, et non un imparfait.
Bien à vous, et en Hauteur,
Paname.
(permettez-moi de guetter, et sans malice, la répose de Balila, votre muse adorée)
[i]
Sublime déclaration...
Juste un petit bémol : j'aurais plutôt vu "...et j'en mourrais, sinon.", car vous avez manifestement en tête un conditionnel, et non un imparfait.
Bien à vous, et en Hauteur,
Paname.
(permettez-moi de guetter, et sans malice, la répose de Balila, votre muse adorée)
[i]
Bonjour Paname
Votre bémol est sur une blanche pointée...
J'ai corrigé, et vous remercie, oeil de lynx...
Votre passage me fait du bien, l'ami.
Au plaisir.
Amitié
Hauteur
Citation (Artemisia @ Dec 19 2006, 12:59 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Hauteur, votre retour est un enchantement.
J'aime l'inéluctable de votre (re) transformation en eau bienfaisante...
Cette pluie de vos vers, douce et fluide, glisse à l'oreille
telle un torrent , inéluctable... comme l'amour quand il nous captive et nous capture...
Amitié
Artemisia
J'aime l'inéluctable de votre (re) transformation en eau bienfaisante...
Cette pluie de vos vers, douce et fluide, glisse à l'oreille
telle un torrent , inéluctable... comme l'amour quand il nous captive et nous capture...
Amitié
Artemisia
Bonjour Artémisia,
Votre joli commentaire coule lui aussi ! ...
Merci à vous
Amitié
Hauteur
#363442 Gouttes
Posted by
on 19 December 2006 - 11:07 AM
in
Salon de publication principal
Gouttes
Et je redeviens pluie, inéluctablement,
Quand mon état liquide a traversé les feuilles,
Labyrinthe où le temps semble prendre son deuil
De trop de frondaisons pour que j’arrive à temps…
A Temps pour éviter mon évaporation
Au feu qui vient de vous, qui dessèche mes lèvres,
Je dois rester de l’eau, pour éteindre la fièvre,
J’ai trop d’amour pour vous et j’en mourrais, sinon.
Et je redeviens pluie, inéluctablement,
Quand mon état liquide a traversé vos yeux,
Qu’une perle salée tombe sur les cheveux
Dont vous cachez vos mains et tous leurs tremblements.
Et je redeviens pluie, inéluctablement,
Quand mon état liquide a traversé mon corps
Pour entrer dans le vôtre, où je pénètre encore,
En suivant le chemin que prendra notre enfant…
Hauteur
Et je redeviens pluie, inéluctablement,
Quand mon état liquide a traversé les feuilles,
Labyrinthe où le temps semble prendre son deuil
De trop de frondaisons pour que j’arrive à temps…
A Temps pour éviter mon évaporation
Au feu qui vient de vous, qui dessèche mes lèvres,
Je dois rester de l’eau, pour éteindre la fièvre,
J’ai trop d’amour pour vous et j’en mourrais, sinon.
Et je redeviens pluie, inéluctablement,
Quand mon état liquide a traversé vos yeux,
Qu’une perle salée tombe sur les cheveux
Dont vous cachez vos mains et tous leurs tremblements.
Et je redeviens pluie, inéluctablement,
Quand mon état liquide a traversé mon corps
Pour entrer dans le vôtre, où je pénètre encore,
En suivant le chemin que prendra notre enfant…
Hauteur
#346767 Rêve.
Posted by
on 28 September 2006 - 06:30 PM
in
Salon de publication principal
Citation (balila @ Sep 23 2006, 11:13 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Entre rêve et réalité, entre mirage et désert, la muse vagabonde dans l'oasis...
J'aime beaucoup le commentaire d'Artémisia, entre pureté et indécence, je ressens aussi cela.
Mais j'ai une préférence pour les derniers vers. Le "tu" apparaît, ce n'est plus "elle", j'aime cette cassure finale, Hauteur, qui se fait dans la douceur.
balila
J'aime beaucoup le commentaire d'Artémisia, entre pureté et indécence, je ressens aussi cela.
Mais j'ai une préférence pour les derniers vers. Le "tu" apparaît, ce n'est plus "elle", j'aime cette cassure finale, Hauteur, qui se fait dans la douceur.
balila
Merci à vous Princesse.
Amitié
Hauteur
#345901 Rêve.
Posted by
on 24 September 2006 - 08:42 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Artemisia @ Sep 22 2006, 03:24 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Joli rêve, jolie valse
je trouve que ça balance bien !
ça se balance
entre pureté et
indécence
et ce qui est le plus beau
c'est toujours le désir
le désir
Artemisia
je trouve que ça balance bien !
ça se balance
entre pureté et
indécence
et ce qui est le plus beau
c'est toujours le désir
le désir
Artemisia
Oui le désir, Artémisia.
Merci d'être venue. Vraiment.
Amitié
Hauteur
#345475 Rêve.
Posted by
on 22 September 2006 - 01:50 PM
in
Salon de publication principal
Rêve.
Insomnies… Matins tant espérés…
Mon corps fatigué commençait à sombrer,
Mais elle vint près de moi.
Ma muse… Etait-ce toi, cette Femme inconnue ?
Confesser ce que sa bouche a fait ?
…
Avec ses longs doigts, les portes qu’elle ouvrit ?
…
Il a plu de la soie,
Elle m’est apparue nue.
Ma muse était-ce toi, alors si court vêtue ?
Sous ses seins galbés
Savourer des ombrages
Leurs pointes dressées tracent des sillages
Sur la fine rosée qui couvre ma poitrine,
Aussitôt effacés d’une langue mutine
Mon doigt ne fut pas sage.
Il s’en alla là-bas,
Vers l’humide rivage où jamais on ne va.
Les cités interdites
Me menant aux limites où germe l’indécence.
Ma hanche à ce moment était emprisonnée.
Les rythmes lancinants imprimés par ses reins
Menèrent à l’orage
Puis vite aux tempêtes.
Ma muse, est-ce un mirage, étais-tu à la fête ?
Au matin,
Comme mort,
J’ouvris enfin les yeux.
Après tant de transports, allions nous être deux ?
Près de moi tu es là,
Tu t’étires,
Etonnée…
Ma muse, dis-moi… Que je n’ai pas rêvé…
Hauteur
Insomnies… Matins tant espérés…
Mon corps fatigué commençait à sombrer,
Mais elle vint près de moi.
Ma muse… Etait-ce toi, cette Femme inconnue ?
Confesser ce que sa bouche a fait ?
…
Avec ses longs doigts, les portes qu’elle ouvrit ?
…
Il a plu de la soie,
Elle m’est apparue nue.
Ma muse était-ce toi, alors si court vêtue ?
Sous ses seins galbés
Savourer des ombrages
Leurs pointes dressées tracent des sillages
Sur la fine rosée qui couvre ma poitrine,
Aussitôt effacés d’une langue mutine
Mon doigt ne fut pas sage.
Il s’en alla là-bas,
Vers l’humide rivage où jamais on ne va.
Les cités interdites
Me menant aux limites où germe l’indécence.
Ma hanche à ce moment était emprisonnée.
Les rythmes lancinants imprimés par ses reins
Menèrent à l’orage
Puis vite aux tempêtes.
Ma muse, est-ce un mirage, étais-tu à la fête ?
Au matin,
Comme mort,
J’ouvris enfin les yeux.
Après tant de transports, allions nous être deux ?
Près de moi tu es là,
Tu t’étires,
Etonnée…
Ma muse, dis-moi… Que je n’ai pas rêvé…
Hauteur
#344664 Les Récifs.
Posted by
on 17 September 2006 - 08:00 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Artemisia @ Sep 6 2006, 07:02 PM) <{POST_SNAPBACK}>
La musique des mots
Souligne à merveille
Celle des vagues
Et du ressac,
Comme une respiration
Un peu
Irrégulière.
Et les images nous emportent.
Elles m'ont ramené
Un soir près de Roscoff.
Un soir tranquille,
Sous le vent
Et dans le parfum de l'iode,
Juste à écouter
Sans rien dire
Et regarder le soleil
Sombrer.
Nous étions des montagnes...
Si fragiles
En fait
Comme des millénaires
Qui passent au loin...
Amitié
Artemisia
Souligne à merveille
Celle des vagues
Et du ressac,
Comme une respiration
Un peu
Irrégulière.
Et les images nous emportent.
Elles m'ont ramené
Un soir près de Roscoff.
Un soir tranquille,
Sous le vent
Et dans le parfum de l'iode,
Juste à écouter
Sans rien dire
Et regarder le soleil
Sombrer.
Nous étions des montagnes...
Si fragiles
En fait
Comme des millénaires
Qui passent au loin...
Amitié
Artemisia
Artémisia,
Vos vers sont une caresse...
Merci à vous
Amitié
Hauteur
#344662 Poétesses.
Posted by
on 17 September 2006 - 07:56 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Sep 12 2006, 12:12 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Mounette va adorer
Si elle était une femme, sûrement !
#344663 Guerres…
Posted by
on 17 September 2006 - 07:54 PM
in
Salon de publication principal
Guerres…
Dans la cour du château, le bruit des armes croît.
Terminés les tournois, les joutes élégantes,
Où tous les jouvenceaux disaient à leurs amantes
L’amour qu’ils déposaient, d’un baiser, sur leurs doigts
Toutes les garnisons suivent la même loi :
Les chevaux harnachés aux couleurs chatoyantes,
Tous les fiers Chevaliers, aux armures brillantes,
Qui partent ce matin pour rejoindre le Roy.
Vers combien de tournois, de carnages encore,
Serais-je condamné à mutiler des corps,
Et mener au trépas mes fidèles amis ?
La folie de ce monde aura t-elle une fin ?
Les hommes seront-ils un jour prochain guéris ?
Dans cent ans, plaise à Dieu, la guerre aura pris fin…
Hauteur
Dans la cour du château, le bruit des armes croît.
Terminés les tournois, les joutes élégantes,
Où tous les jouvenceaux disaient à leurs amantes
L’amour qu’ils déposaient, d’un baiser, sur leurs doigts
Toutes les garnisons suivent la même loi :
Les chevaux harnachés aux couleurs chatoyantes,
Tous les fiers Chevaliers, aux armures brillantes,
Qui partent ce matin pour rejoindre le Roy.
Vers combien de tournois, de carnages encore,
Serais-je condamné à mutiler des corps,
Et mener au trépas mes fidèles amis ?
La folie de ce monde aura t-elle une fin ?
Les hommes seront-ils un jour prochain guéris ?
Dans cent ans, plaise à Dieu, la guerre aura pris fin…
Hauteur
#344306 Poétesses.
Posted by
on 15 September 2006 - 03:44 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Zapiski id podpolia @ Sep 11 2006, 11:50 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Camarade serieux cest abuser
Et puis ca
Au nom de tous les vrais poètes qui vous lisent…
ca camarade cest obscene
Et puis ca
Au nom de tous les vrais poètes qui vous lisent…
ca camarade cest obscene
Bonjour Zapiski.
je n'ai pas tout compris, mais en tous cas vous êtes venu me lire, alors mes amités.
Hauteur
#344303 Vacarmes
Posted by
on 15 September 2006 - 03:41 PM
in
Salon de publication principal
Citation (LisAbelle @ Sep 15 2006, 01:24 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Hauteur
Je me souviens de ces jours anciens…
De ces Chevaliers blagueurs de ces Dentellières
Je me souviens de ces Valeureux joutant à qui mieux mieux
Je me souviens précisément de la haute lignée de ces Dames
Je me souviens de ces Braves aiguisant avec habileté leur lame profilée
Je me souviens que La joute avait la saveur d’une liqueur de miel
Je me souviens l’avoir absorbée et m’en être imprégnée avec excès
Aujourd’hui semblable à ‘Chanson d’automne’, aujourd’hui… Oui, je me souviens… !
Lisa.
Lisez ici mon estime et mon attachement à l'égard de tous ceux et toutes celles avec qui j’ai partagé ces précieux moments.
Je me souviens de ces jours anciens…
De ces Chevaliers blagueurs de ces Dentellières
Je me souviens de ces Valeureux joutant à qui mieux mieux
Je me souviens précisément de la haute lignée de ces Dames
Je me souviens de ces Braves aiguisant avec habileté leur lame profilée
Je me souviens que La joute avait la saveur d’une liqueur de miel
Je me souviens l’avoir absorbée et m’en être imprégnée avec excès
Aujourd’hui semblable à ‘Chanson d’automne’, aujourd’hui… Oui, je me souviens… !
Lisa.
Lisez ici mon estime et mon attachement à l'égard de tous ceux et toutes celles avec qui j’ai partagé ces précieux moments.
Dame LisAbelle.
Vous aviez, en ces temps, soigné mes preux soldats,
Sans compter votre peine, ainsi que votre temps
Mettant votre douceur au service des gens
Qui, pauvres et tremblants, n’entendaient que le glas…
C’est à ces champs d’honneur que vous vînt la noblesse
Celle qui ne prend pas sa source aux héritages,
Mais qui vient pour parer tous ces grands personnages
Dont vous fûtes, ma Dame, en devenant Princesse.
Mes hommages.
Hauteur
#344052 Poétesses.
Posted by
on 14 September 2006 - 12:33 PM
in
Salon de publication principal
Citation (LisAbelle @ Sep 11 2006, 10:19 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Merci Hauteur de cette confidence nous ne pouvons qu’être touchées…
Merci de voir en nous comme vous le faites et comme si bien vous le publiez.
! tiordne’l ed srevne’l sulp siannocer en ej ,ertê'l siod ej eélbuorT
Lisa.
Merci de voir en nous comme vous le faites et comme si bien vous le publiez.
! tiordne’l ed srevne’l sulp siannocer en ej ,ertê'l siod ej eélbuorT
Lisa.
Bonjour LisAbelle,
Content de avoir touchée...
Amitié
Hauteur
#343864 Vacarmes
Posted by
on 13 September 2006 - 09:52 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Zapiski id podpolia @ Sep 12 2006, 11:27 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Jen ai encore froid dans le dos tres cher Hauteur
Ce poeme me parle
Moi aussi quand je fais des batailles de Playmobils je me crois le maitre supreme
Bien a vous
Zapiski
Ce poeme me parle
Moi aussi quand je fais des batailles de Playmobils je me crois le maitre supreme
Bien a vous
Zapiski
C'est un peu la même chose !
Sauf que dans mes rêves, je peux même être Dieu.
Merci d'être venu me lire, Zapiski.
Amitié
Hauteur
#343863 Poétesses.
Posted by
on 13 September 2006 - 09:49 AM
in
Salon de publication principal
Citation (balila @ Sep 11 2006, 09:23 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Vous remercier, simplement, Hauteur, de ces mots douceurs sur nos coeurs de femmes.
balila
balila
Douce balila,
Vous êtes Princesse, parmi les Princesses, et vous rendre hommage est toujours un plaisir.
Le plaisir que vous sentiez mes regards, et mon respect.
Bonheurs..
Hauteur
#343756 Ton Amoureuse
Posted by
on 12 September 2006 - 04:31 PM
in
Salon de publication principal
Dame Erre,
De mystères en chemins, l'amante se perd dans ce texte magnifique.
Grande Dame Erre, poétesse...
Amitié
Hauteur
De mystères en chemins, l'amante se perd dans ce texte magnifique.
Grande Dame Erre, poétesse...
Amitié
Hauteur
#343731 A Peine Un Désordre
Posted by
on 12 September 2006 - 12:09 PM
in
Salon de publication principal
Douce balila,
Dans la maison du peintre, dans sa vie, dans son œuvre, vous promenez un regard déchiré si criant de la vérité de ses sensibilités.
De ses doutes, vous faites un mélodie, ça n’était pas gagné.
Grand plaisir j’ai eu à vous découvrir dans un autre registre, grande poétesse vous êtes.
Vous m’étonnerez toujours, de talent et de sensibilité, ravissez moi longtemps…
Amitiés
Hauteur
Dans la maison du peintre, dans sa vie, dans son œuvre, vous promenez un regard déchiré si criant de la vérité de ses sensibilités.
De ses doutes, vous faites un mélodie, ça n’était pas gagné.
Grand plaisir j’ai eu à vous découvrir dans un autre registre, grande poétesse vous êtes.
Vous m’étonnerez toujours, de talent et de sensibilité, ravissez moi longtemps…
Amitiés
Hauteur
#343727 Poétesses.
Posted by
on 12 September 2006 - 12:03 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Artemisia @ Sep 11 2006, 04:08 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Artemisia
Artémisia,
Joli commentaire !
Merci à vous, poétesse.
Amitié
Hauteur
#343726 Vacarmes
Posted by
on 12 September 2006 - 12:02 PM
in
Salon de publication principal
Citation (LisAbelle @ Sep 10 2006, 11:41 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Parce que j'ai aimé le sentiment qui se dégageait de cet ensemble...
Hop ! D'un élan de coeur je fais remonter l'intégralité.
Amitiés à vous ici autant que vous êtes.
Au plaisir de vous lire.
Bonne soirée.
Lisa.
Hop ! D'un élan de coeur je fais remonter l'intégralité.
Amitiés à vous ici autant que vous êtes.
Au plaisir de vous lire.
Bonne soirée.
Lisa.
Bonjour LisAbelle.
Plaisir de vous revoir, depuis la joute, et plaisir que vous ayez aimé.
Amitié
Hauteur
#343562 Poétesses.
Posted by
on 11 September 2006 - 11:55 AM
in
Salon de publication principal
Poétesses.
Vous toutes qui, ici, déposez vos écrits
Sans vous préoccuper de flatter votre ego,
Vous empêchez l’endroit d’être ce marigot
Que sans vous des faquins auraient déjà pourri.
Parmi ces sans-talent ne se trouve une femme !
Se prétendant modernes au lieu de faux-poètes,
Ce qui leur convient mieux, pourtant, comme épithète,
Ils ne sont que des Goths, sans génie et sans âme.
Poétesses, vos vers, si j’en prends les moins bons,
Restent remplis de charme et de féminité.
Vous lire est un plaisir qui me fait supporter
Les médiocres ébats de tous ces trublions.
Surtout ne changez pas, gardez ce que la femme
A de tous temps porté, qui nous tire les larmes.
La noblesse est en vous réfugiée aujourd’hui,
Quelques hommes encore, dont je suis, l’ont compris
Mesdames permettez, elles riment si bien,
Qu’avec tout mon respect j’embrasse ainsi vos mains.
Au nom de tous les vrais poètes qui vous lisent…
Et qui savent juger que vous êtes exquises.
Hauteur
Vous toutes qui, ici, déposez vos écrits
Sans vous préoccuper de flatter votre ego,
Vous empêchez l’endroit d’être ce marigot
Que sans vous des faquins auraient déjà pourri.
Parmi ces sans-talent ne se trouve une femme !
Se prétendant modernes au lieu de faux-poètes,
Ce qui leur convient mieux, pourtant, comme épithète,
Ils ne sont que des Goths, sans génie et sans âme.
Poétesses, vos vers, si j’en prends les moins bons,
Restent remplis de charme et de féminité.
Vous lire est un plaisir qui me fait supporter
Les médiocres ébats de tous ces trublions.
Surtout ne changez pas, gardez ce que la femme
A de tous temps porté, qui nous tire les larmes.
La noblesse est en vous réfugiée aujourd’hui,
Quelques hommes encore, dont je suis, l’ont compris
Mesdames permettez, elles riment si bien,
Qu’avec tout mon respect j’embrasse ainsi vos mains.
Au nom de tous les vrais poètes qui vous lisent…
Et qui savent juger que vous êtes exquises.
Hauteur
#342835 Les Récifs.
Posted by
on 07 September 2006 - 04:16 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Carla. @ Sep 6 2006, 05:25 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Toujours cette belle écriture. Les images vous emportent.
Bonjour Carla. Merci d'avoir laissé une marque de votre passage.
Amitié
Hauteur
#342831 Amnésie Familiale
Posted by
on 07 September 2006 - 04:03 PM
in
Nouvelles
Pffffff !!!
Elle sait tout faire...
J'en sorts essoufflé, mais mes yeux ont devallé ce texte comme quand cela descend trop et qu'on coure :
Ca s'emballait, je perdais contrôle.
Douce balila, vous savez tout faire.
Amitié
Hauteur
Elle sait tout faire...
J'en sorts essoufflé, mais mes yeux ont devallé ce texte comme quand cela descend trop et qu'on coure :
Ca s'emballait, je perdais contrôle.
Douce balila, vous savez tout faire.
Amitié
Hauteur
#342656 Les Récifs.
Posted by
on 06 September 2006 - 04:13 PM
in
Salon de publication principal
Citation (.ds. @ Sep 5 2006, 10:01 PM) <{POST_SNAPBACK}>
"Ici plus rien ne bouge.
Le ressac estimant qu’il en a assez fait.
Il cesse de vomir les dessous de dentelle
Dont l’écume se pare en battant les rochers."
Je ne retiendrais que ce passage, et quoiqu'on en dise, il me parle...
Je connais moins bien l'océan et ses frasques, mais il règne une plénitude non négligeable dans cette atmosphère fort bien menée.
Un bel oeuvre !
à bientôt
Le ressac estimant qu’il en a assez fait.
Il cesse de vomir les dessous de dentelle
Dont l’écume se pare en battant les rochers."
Je ne retiendrais que ce passage, et quoiqu'on en dise, il me parle...
Je connais moins bien l'océan et ses frasques, mais il règne une plénitude non négligeable dans cette atmosphère fort bien menée.
Un bel oeuvre !
à bientôt
Bonjour Nath.
Ton commentaire me touche d'autant plus que je ne te voyais plus en faire de tel.
Merci de me dire quand tu aimes, et ce que tu aimes.
Amitié
Hauteur
#342465 Les Récifs.
Posted by
on 05 September 2006 - 09:17 PM
in
Salon de publication principal
Citation (balila @ Sep 5 2006, 09:55 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Lorsque la mer vous inspire et vous aspire, je deviens cette promeneuse qui s'asseoit là, sur le rocher, et regarde votre paysage défait, riche d'histoire et d'érosion, sous votre regard embrasé mais endolori.
Alors je ferme les yeux, et j'entends le ressac au loin, en imaginant la dentelle qui s'échappe et s'évanouit, mais qui reviendra, c'est sûr, dans mille ans peut-être, caresser un autre sable, d'autres pieds...
Il y a un poids dans tout ça, et particulièrement à la fin, dans cette force qui vous a quittée...
Beaucoup d'émotion à vous lire, Hauteur.
balila
Alors je ferme les yeux, et j'entends le ressac au loin, en imaginant la dentelle qui s'échappe et s'évanouit, mais qui reviendra, c'est sûr, dans mille ans peut-être, caresser un autre sable, d'autres pieds...
Il y a un poids dans tout ça, et particulièrement à la fin, dans cette force qui vous a quittée...
Beaucoup d'émotion à vous lire, Hauteur.
balila
Douce balila,
Votre lecture si sensible donne vie à mon texte. Elle l’entoure d’un voile blanc, le rend aérien. Ecrire pour vous doit être un délice.
Le poids n’est rien, ce qui le rend lourd est ce qui en découle : La force qu’il faut pour le porter.
Grâce à vous, il est bien plus léger, ma Dame.
Mes hommages, Douce Princesse.
Hauteur
#342321 Les Récifs.
Posted by
on 05 September 2006 - 11:56 AM
in
Salon de publication principal
Citation (comtedormestconti @ Sep 5 2006, 05:40 AM) <{POST_SNAPBACK}>
C'est tres beau!
On nous mele ici ou la, un peu ou la vague voudra...
Et la chute nous eleve les yeux et la pensée...
Le tout dans un style fleuve bien maitrisé!
J'aime...
On nous mele ici ou la, un peu ou la vague voudra...
Et la chute nous eleve les yeux et la pensée...
Le tout dans un style fleuve bien maitrisé!
J'aime...
Bonjour cher Comte.
Un style fleuve pour parler de la mer ? Je n'y avais pas pensé...
Merci d'être venu déposer un paraphe sur mon livre.
Amitié
Hauteur
