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[.ds.]

Et si la mer m'avait donnée
autrement, j'oublierais certainement
ces majuscules

C'est ce que je m'emploie à faire
Mon amour est ailleurs
il n'est pas
il aurait aimé me dire
le corbeau était las
ces allées n'étaient plus les siennes
Je n'ai jamais oublié
Ces mots que je n'ai jamais reçus
Je n'ai jamais oublié de l'aimer


Mon amour où es-tu ?

[leprincedomeya]

L'éloignement, comme, un filigrane,

Car je m'en vais faire jaillir sur tes yeux

la métamorphose, de ce coeur qui transcend


Par ma courte chevauchée, je dresse sur ton corps un nappé soyeux que tu déclineras

Pour ne point décider d'ainsi te conjuguer

Et ainsi nous flétrirons ensemble les décors de cette absence

que je nommerai Nous/

Mais le nous bâtira, d'ardente le composer du verbe Aimer

Le Prince d'Omeyya

Salim al Sabbah

[.ds.]

Pourquoi conjuguer Prince d'Omeyya
Salam in's bah
Inch'allah
Sabbah fin :

Le jour où tes rêves rejoindrons les miens
Ils seront loins encore
Car vois-tu j'aime l'absence
Celle de mon futur époux
Il reviendra
Alors
(je ne sais plus quoi dire)
halikou salam

(.ds. ; celle qui n'est rien)

[leprincedomeya]

Nous pouvons également

Nous composer d'absence

Il faut faire vivre l'espèrance

elle fait triompher des doutes et serment

Bisous le prince d'Omeyya

Tu n'es pas Rien

Car tu es tout

cette essentielle qui fait que tu es toi

[serioscal]

Et si la mer m'avait donnée
autrement, j'oublierais certainement
ces majuscules

C'est ce que je m'emploie à faire
Mon amour est ailleurs
il n'est pas
il aurait aimé me dire
le corbeau était las
ces allées n'étaient plus les siennes
Je n'ai jamais oublié
Ces mots que je n'ai jamais reçus
Je n'ai jamais oublié de l'aimer
Mon amour où es-tu ?

Quel poème. J"en reste coi.

[iahhel]

Et si la mer m'avait donnée
autrement, j'oublierais certainement
ces majuscules

C'est ce que je m'emploie à faire
Mon amour est ailleurs
il n'est pas
il aurait aimé me dire
le corbeau était las
ces allées n'étaient plus les siennes
Je n'ai jamais oublié
Ces mots que je n'ai jamais reçus
Je n'ai jamais oublié de l'aimer
Mon amour où es-tu ?

Superbe j'en reste sans mots !
heuuu.... ou presque.


Par delà l'horizon qui s'embrase de tes maux,
Qui brûlent ta passion et qui reste sans mot,
Par delà les saisons, froides de ces silences
Qui givrent sur les monts, de la non existence.

Je viendrais te chercher pour t'offrir une danse,
Une longue chevauché entrelacé d'absence,
Et nous volerons le temps de langoureux orgasmes
Délphinides rougissants, éructant de ce spasme.





iah-hel

[heloise]

Très beau ma Douce
Je suis encore là pour te lire
Mais invisible
Je cherche moi aussi
Désespérément

[Voyageur]

Et si la mer m'avait donnée
autrement, j'oublierais certainement
ces majuscules

C'est ce que je m'emploie à faire
Mon amour est ailleurs
il n'est pas
il aurait aimé me dire
le corbeau était las
ces allées n'étaient plus les siennes
Je n'ai jamais oublié
Ces mots que je n'ai jamais reçus
Je n'ai jamais oublié de l'aimer
Mon amour où es-tu ?

Pour une fois, je fais le difficile contrairement à l'auditoire totalement conquis !
(Parce que je suis quelque peu énervé ce soir, c'est sans doute pour cela ...)

J'ai fait plusieurs fois le tour de ce "machin poème", je n'ai pas su en détecter le sens.
Non mais Douce Amie, c'est quoi ce charabia ? Hein??


"Et si la mer m'avait donnée
autrement, "
Donnée quoi ? et autrement comment ?? Non mais franchement c'est du n'importe quoi ça!! Si c'est tout le temps à moi de deviner ce que tu veux dire, ça sert à quoi que ce soit toi qui signe le texte ? Non c'est trop facile !


"j'oublierais certainement
ces majuscules "
Mais quelles majuscules ? Dois-je encore les deviner ?? Dis-le alors que c’est une dictée sans prononciation !! C’est bien ça ?


"Mon amour est ailleurs
il n'est pas
il aurait aimé me dire ... "
... te dire quoi ???????? Je dois attendre un siècle avant de le savoir ?


"le corbeau était las "
Alors là, je ne comprends rien moi. Mais le corbeau, on n'en a rien à faire! C'est un témoin quelconque effaçable au moindre coup de pinceau de l'artiste. Alors .... pourquoi s'apitoyer sur son sort ?


"ces allées n'étaient plus les siennes "
Quelles allées ? Il me semble que ce "ces" suppose qu'on en a déjà parlé auparavant, mais plus je cherche et moins je trouve. Non mais tu as décidé de rendre les gens paranoïaque Douce Amie ?
(Je dis Douce Amie car je n'ai pas encore digéré ta prétention de te comparer à une Déesse ! Primo telle que je te connais, cela ne te ressemble pas parce que je sais que tu es une fille qui ne manque jamais d'humilité, et deuxièmement j'ai horreur des blasphèmes à deux balles en guise de provocation. Il y’en a déjà assez comme ça, tu ne le crois pas ?)


"Je n'ai jamais oublié
Ces mots que je n'ai jamais reçus"
Là franchement, tu te fous de notre gueule à tous!! Avoue-le!



"Je n'ai jamais oublié de l'aimer
Mon amour où es-tu ?"

Là, pour une fois, je suis rassuré car je comprends le sens de ces deux phrases. Mais alors ... pourquoi en avoir rajouté d'autres? Ces deux têtes de mules auraient suffi à décorer ton poème. Non ?



Voyageur

PS. Ne m'en veux pas, il fallait que cela arrive un jour ou l’autre entre nous, mais cela n'enlève rien de tout ce que je t'ai déjà écrit. Je reste fan, mais il y a des limites ...

[.ds.]

Merci !

Que dire à hier, je n'ai pas pris le soin de relever ce que tu avais dit, mais j'ai retenu, et ô combien je me rends compte que je suis folle à tout jamais. La seule chose qui me vient, et tu m'en vois extrêment désolée, c'est de pleurer je ne vois pas comment faire, à moins que cet épouventail change de forme. J'ai donné à vivrre, et je ne puis retirer... C'est ainsi... il me reste sans doute à dire, à dire quoi, rien, car je n'ai rien à dire ! Nan pourquoi t'en voudrais-je ? tu parles avec moi depuis si longtemps maintenant... J'essaierai de corriger mon amertume, et te dire que tout va bien désormais !

Le veux-tu ?

[Voyageur]

Merci !

Que dire à hier, je n'ai pas pris le soin de relever ce que tu avais dit, mais j'ai retenu, et ô combien je me rends compte que je suis folle à tout jamais. La seule chose qui me vient, et tu m'en vois extrêment désolée, c'est de pleurer je ne vois pas comment faire, à moins que cet épouventail change de forme. J'ai donné à vivrre, et je ne puis retirer... C'est ainsi... il me reste sans doute à dire, à dire quoi, rien, car je n'ai rien à dire ! Nan pourquoi t'en voudrais-je ? tu parles avec moi depuis si longtemps maintenant... J'essaierai de corriger mon amertume, et te dire que tout va bien désormais !

Le veux-tu ?

Corriger l'amertume ?
Repasser tous ses plis ?
Est-ce ainsi qu'on assume
Le fruit des insomnies ?

Est-ce ainsi que les femmes vivent ?
L'élan de leur folie ?

Est-ce ainsi que les femmes vivent ?
Le prix d'être jolies ?

...

Corriger un regard ?
Qui vient d’une envie
Fustiger le hasard
Pour dire que c'était lui ?


Est-ce que ainsi que les femmes vivent ?
Leur douce mélancolie ?



Voyageur

[.ds.]

nan
Et combien je sais repasser
Mais j'avais entendu dire que peut-être
Me voir sourire t'aurait fait plaisir

Je n'ai pas de coutumes
Mais te voir sourire alors vui

T'en souviens-tu ?


Je n'aime pas ne pas aimer
Je déteste à dire
Enfin hummm
Je me tairai à ce sujet
Sinon
même toi viendrais à me détester

Je t'aime mon Ami

[Voyageur]

La première fois que j'ai entendu cette phrase, ça m'avait surpris ... je me souviens très bien.
La deuxième fois, je me disais que c'était peut-être vrai après tout.
La troisième fois, j'ai eu un doute … Qui étais-je pour mériter cela ?
La quatrième fois, je l'ai approuvé par accoutumance, sans réfléchir.
La cinquième fois, je me suis dit que c'est tellement bon de se sentir aimé.
La sixième fois, j’ai pensé soudain que cela n'avait aucun sens.
Et la septième fois ...
Eh bien c'est là que j'ai compris qu'aimer c’est notre 7ème Sens !



Voyageur

[.ds.]

Attendre attendre pour aimer
J'avoue que ça fait peur
Mais pourquoi craindre
Je ne sais et si combien
même le 7ème sens était celui
qui dit :

"aimez"

Je ne l'ai jamais entendu
Tout ceci est bien inutile
Moi, je dis que je t'aime
et c'est bien ainsi
Aurais-tu à dire ?

[Voyageur]

T'aimer ?



Voyageur

[.ds.]

C'est pas possible d'aimer ?

[Voyageur]

D'aimer ?
Ou ... de t'aimer ?



Voyageur

[.ds.]

De m'aimer... Aussi...
Certains sont à la lucarne à s'évader
Il m'arrive, si je le puis
d'être là
et dire que j'aime et c'est vrai
Ce dernier étage du grenier fait
étrangement peur
mais la vie ; où est-t'elle
Est-elle sur un fil qui rejoint les étoiles
moi, je ne sais
Je m'interroge
Non visionnaire j'aime
sans me poser de questions


...

Tout cela est bien triste parfois !

[Voyageur]

De m'aimer... Aussi...
Certains sont à la lucarne à s'évader
Il m'arrive, si je le puis
d'être là
et dire qu j'aime et c'est vrai
Ce dernier étage du grenier fait
étrangement peur
mais la vie ; où es-t'elle
Est-elle sur un fi qui rejoint les étoiles
moi, je ne sais
Je m'interroge
Non visionnaire j'aime
sans me poser de questions
...

Tout cela est bien triste parfois !

La vie ne pèse que quelques grammes
Le reste, n'est que nos envies

...


Voyageur

[.ds.]

J'aime nos envies
Les grammes n'ont qu'à bien se tenir !
Je n'ai d'autres souvenirs !


Et toi ?

[Voyageur]

J'aime nos envies
Les grammes n'ont qu'à bien se tenir !
Je n'ai d'autres souvenirs !
Et toi ?

Et moi aussi, j'ai beaucoup envie
De chatouiller, croquer cette vie
D'aller courir sous les jupes des filles ...

Et moi aussi, j'ai très peu changé
Je reste toujours le même étranger
Que rien au monde ne peut déranger
Quand il s'agit de venir vendanger
Ces bons raisins qu’on ira manger.

Et toi non plus ... tu n'as pas changé
Toujours le même ... parfum ... léger ...

Tu n'as pas changé ...


Voyageur

[.ds.]

Vui, je te reconnais bien là
à chatouiller et à nous ennuyer
à nous faire rire

Mais tu sais mon Ami
As-tu trouvé épouse au fait

Peut-être
C'est qui


Hein qu'on rigole bien
la calanque est un remède
dont nous saurions nous passer

[Voyageur]

J'ai épousé la plus belle fille
La plus belle fille des étoiles
Elle embellit ma vie la nuit
Quand elle est là, je n'ai plus mal


J'ai épousé la plus belle fille
Que je voyais de ma fenêtre
Elle a de ces yeux qui brillent!!
Quand elle regarde dans mon être


Elle est la reine des galaxies
Et gardienne de mes secrets
Et si mon cœur s'assombrit
Elle le rallume par décret


J'ai épousé la plus belle rose
Du champ immense des étoiles
Elle a ses paupières, mi-closes
C'est la plus belle des femmes fatales


...

(Aide-moi à continuer ce texte Douce Amie)



Voyageur

[Voyageur]

votre échange est très beau... je l'effleure simplement du regard des coulisses... chut...

Un beau regard sur quelques modestes mots ...

Merci ~wldp~ !




Voyageur