S’user sur des êtres sans fin, crier, parfois hurler à la nuit
Le mot doit être magique faire pleurer, puis rire, le mot est la vie
Des grandes dents blanches dénominateur commun de notre humanité
Qui se découvrent.
Le mot encore des hurlements, des souffrances
Hébété, raide, les doigts gourds sans vie
Je suis mais ne suis-je pas mort ?
Suis-je encore celui que je crois encore
Me répète ma vie
Le mot, cet amour, ce bonheur
Un soleil, un ciel bleu
Toi oui je te vois ce miracle
Face à toi bras ballant sans mot
Mon mot, mon enfant
Je te dirai mes larmes
Du plus fort que j’ai en moi
Mont mot ce que j’aimerai dire
Montagne de mes mots
Mon mot
Que je ne sais éructer
Ce mot
J’en ai peur.
Edited by uiox, 31 August 2006 - 05:11 AM.