Ah oui... et ou est-il ce poème?
Humm... mais lequel est mieux écrit d'ailleurs?
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In Topic: Le Naufragé
29 November 2005 - 11:22 PM
In Topic: Le Naufragé
29 November 2005 - 07:38 PM
Et bien... peut-ètre oui. Mais...comment dire... un instant, ça peut durer combien de temps au juste?
In Topic: Vibrations
05 November 2005 - 10:52 PM
Mots évaporés dans l'espace silencieux
Qui jamais ne résonneront ici-bas
Paroles perdues parmi les Mânes
Jusqu'au foyer de l'abyssale solitude
Musique stérile aux fréquences irréelles
Esclave de sourdines à l'infini pouvoir
Hurlent en moi à chaque instant, et à jamais
Ces amères symphonies à l'espoir estropié.
Qui jamais ne résonneront ici-bas
Paroles perdues parmi les Mânes
Jusqu'au foyer de l'abyssale solitude
Musique stérile aux fréquences irréelles
Esclave de sourdines à l'infini pouvoir
Hurlent en moi à chaque instant, et à jamais
Ces amères symphonies à l'espoir estropié.
In Topic: Amours Carnassières
18 October 2005 - 10:41 PM
J'ai parcouru les espaces vierges, hurlant ton nom au mépris du silence
Les poches vides et les poings serrés, j'ai marché pour trouver l'oubli
Mais plus j'avançais et plus ton souvenir devenait pesant, sourde violence
La faim s'était évanouie, à mesure que le mal embrassait l'impensable
Vagues glacées qui jamais ne se lassent d'engloutir les chateaux de sable
Suspendu aux spasmes de mes nerfs, j'ai marché et n'ai jamais dormi.
Sur l'écran de brûme, ton image apparait, félin qui joue avec sa proie
Je le sais desormais, ce passereau condamné c'est moi.
Les poches vides et les poings serrés, j'ai marché pour trouver l'oubli
Mais plus j'avançais et plus ton souvenir devenait pesant, sourde violence
La faim s'était évanouie, à mesure que le mal embrassait l'impensable
Vagues glacées qui jamais ne se lassent d'engloutir les chateaux de sable
Suspendu aux spasmes de mes nerfs, j'ai marché et n'ai jamais dormi.
Sur l'écran de brûme, ton image apparait, félin qui joue avec sa proie
Je le sais desormais, ce passereau condamné c'est moi.
In Topic: Procession
09 October 2005 - 11:42 PM
A vous, pénétrés d'un desespoir bien au-delà des sons articulés
A vous, qui vous tenez droits au fond d'impensables précipices
A vous , qui êtes la corde sympathique du ciel, gris et vide
A vous, dont le dos est brisé et le coeur embastillé
A vous, enfin, qui depuis tant d'années hurlez derrières les carreaux épais
J'offre mes nerfs, mon sang, et mes lendemains infirmes
A vous, qui vous tenez droits au fond d'impensables précipices
A vous , qui êtes la corde sympathique du ciel, gris et vide
A vous, dont le dos est brisé et le coeur embastillé
A vous, enfin, qui depuis tant d'années hurlez derrières les carreaux épais
J'offre mes nerfs, mon sang, et mes lendemains infirmes
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