Vallée
#1
Posted 16 January 2006 - 11:54 AM
Derrière le mur aux oiseaux
Là où poussent les pommiers sauvages,
Les petits bouts de bonheur
Qui dévalent les pentes,
Ceinturent les corps,
Déboulonnent les statues
Vois,
Cette fenêtre au milieu du ciel
Et ces maisons ocres et roses
Il n'est plus d'heure
Fermons les yeux
#2
Posted 16 January 2006 - 11:58 AM
J'ai aime ce vois. Un bel impératif.
Henri
#3
Posted 16 January 2006 - 12:12 PM
#4
Posted 16 January 2006 - 12:30 PM
j'ai senti un vent chaud me parcourir, et puis des rires au loin, merci Carla !
#5
Posted 16 January 2006 - 12:47 PM
Doucement sensuel
Je l'ai lu avec sérénité
Bien que la nature m'angoisse
C'est dire si je l'ai trouvé beau
Bises pour toi
#6
Posted 16 January 2006 - 01:46 PM
Un impératif, oui, celui de partager ces instants avec...
Merci Henri.
#7
Posted 16 January 2006 - 01:52 PM
Martine
#8
Posted 16 January 2006 - 03:01 PM
#9
Posted 16 January 2006 - 04:28 PM
#10
Posted 16 January 2006 - 06:59 PM
#11
Posted 16 January 2006 - 10:27 PM
#12
Posted 16 January 2006 - 10:33 PM
et moi ... qui ne connais que les couleurs de ton poème, serai-je déçu?
#13
Posted 17 January 2006 - 11:08 AM
Dji, Dji, je t'emmène aussi...Je ne sais pas comment vous ferez pour rentrer tous les 5 dans ma voiture à pédales, mais bon, c'est un problème dérisoire!...
#14
Posted 17 January 2006 - 12:39 PM
Paysages.
Mélancolie!
Certitude!
L'accoutumance!
Oui ... l'accoutumance.
C'est à cela que je pense en lisant ton poème, Carla.
Voyageur
#15
Posted 17 January 2006 - 12:44 PM
#16
Posted 17 January 2006 - 01:41 PM
#17
Posted 17 January 2006 - 02:03 PM
y'a quelqu'un qui me demande ?
Qui dévalent les pentes
...et voui......
#18
Posted 17 January 2006 - 04:09 PM
#19
Posted 17 January 2006 - 05:27 PM
Mais oui, avec plaisir chère Carla.
Lorsque je lis que tes couleurs sont chaudes et lentes, cela me rappelle un matin ensoleillé d’hiver après de longues journées de neige. Ces neiges qui fondent lentement, et se mêlent à la terre, avec une vitesse qui a le rythme d’une certaine accoutumance. Des moments où rien ne presse.
Rien ne presse non plus derrière le mur aux oiseaux , là où poussent les pommiers sauvages que l’on a probablement vu grandir. Là aussi, il y a un parfum d’accoutumance.
Ces petits bouts de bonheur qui dévalent les pentes comme les ombres des collines qui elles aussi dévalent les mêmes pentes depuis des lustres, illustrent à leur façon cette accoutumance qui gazouille ci et là !
Cette fenêtre (donnant sur l’azur) au milieu du ciel (quelque peu nuageux), et ces maisons ocres et roses donnent, par leur beauté, la certitude que c’est cela le bonheur véritable. Ce bonheur qu’il faut savourer en fermant les yeux.
Voilà la raison pour laquelle j’ai pensé à ces deux mots, chers Carla. et Pierre-Yves.
Cordialement à vous,
Voyageur
#20
Posted 17 January 2006 - 06:06 PM
c'est de l'acharnement
ce texte est tranquillou
il ne mérite quand même pas ça
tu n'auras pas ton "merci voyageur"
toi
#21
Posted 17 January 2006 - 06:39 PM
c'est de l'acharnement
ce texte est tranquillou
il ne mérite quand même pas ça
tu n'auras pas ton "merci voyageur"
toi
Vallée,
Je me dois de justifier ma réponse.
C'est plus honnête comme ça, non ?
En tout cas tout le monde sait que j'admire Carla.
Voyageur
#22
Posted 17 January 2006 - 06:57 PM
#23
Posted 17 January 2006 - 07:46 PM
#24
Posted 17 January 2006 - 07:48 PM
Ensuite, j'aime la lire.
#25
Posted 18 January 2006 - 09:08 AM
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