Tout en couleur j'ai rêvé de toi;
Tu étais Delphinide près de moi,
Allongée de toute ta beauté
Sous un voile alors je t'ai goûté.
L'horizon c'est couché aux rivages,
Alanguit, du bruit de l'océan,
Et nos corps ont scellé le mariage
De l'amour, à l'étreinte du temps.
Pendant que je te déshabillais
Tour atour, pour ton corps entrevoir
L'astre qui nous regardait, ascendait,
habillant l'aube de rouge et de moire.
Puis, mes mains ont cherché ce trésor
sur ta peau, esquissant le plaisir
Sur la toile de nos nuits éclore,
D'une envie, effleurant nos désirs
Ombre et lumière laissaient deviner,
Un paysage somptueux, vallonné,
Vacillant aux courbes de tes seins
Reflétant, l'échancrure de tes reins.
Aux rythmes cadencés des vagues
Corps à corps enlacés, éternels;
Sur le sable qui absorbe la vague
De l'onde marine, perpétuelle....
Embrumé, je glisse jusqu'à ta chute,
Aux douceurs pour lesquelles je lutte
Et n'enivre à tes lèvres marines,
Au triangle de tes ondes cyprines.
Iah-hel
Onde Cyprine
Started by iahhel, Nov 02 2006 12:06 PM
2 replies to this topic
#1
Posted 02 November 2006 - 12:06 PM
#2
Posted 02 November 2006 - 12:42 PM
De bleu et d'or, le bouton est l'interrupteur, l'ouvreur des mondes.
C'est un parfum et pas un mot, a moins que les voyelles n'aurifère et que les consonnes bleuisent alors la chute est infini, puisque rien ne saurait avoir commencé.
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C'est un parfum et pas un mot, a moins que les voyelles n'aurifère et que les consonnes bleuisent alors la chute est infini, puisque rien ne saurait avoir commencé.
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#3
Posted 04 November 2006 - 11:55 PM
"Et n'enivre à tes lèvres marines,"
je suis pas sûr qu'elle apprécie que tu lui dises qu'elle sent la marée
je suis pas sûr qu'elle apprécie que tu lui dises qu'elle sent la marée
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