Martelée, la nuit s’est éteinte en vingt ans
Ta bouche sentais le creux de la fente s’offrant à elle
Creux lisse et insu juste cri de pluie fragmentant les barrières
Résonance de bouche
Comme un pieu nuit a dressé nuit et les étoiles y durent
Crucifiée en lambeaux de chairs incontestable pas nous
Crissons sur nos arbre à yeux grommelant de nos doigts
En ton œil , tu pétri le futur d’un clavier assain
7:36
Started by i-i, Sep 22 2006 06:38 AM
1 reply to this topic
#1
Posted 22 September 2006 - 06:38 AM
#2
Posted 23 September 2006 - 12:24 PM
Il devrait peut-être passer par le salon de correction, non ? Surtout que le salon de socque a récemment pris un tour sado-maso, hum. La force de l'image est nettement diminuée par le rythme semi-énumératif, pas très constant. D'un vers l'autre, la lecture accumule les énoncés sans les relier bien l'un à l'autre. Pourtant le poème recèle ses merveilles
Image osée et brûlante mais suave, ou
"Beau désordre", pour dire comme Boileau.
Dernière critique : l'adjectif systémtique est un poid mort pour le poème. Le poème pour accéder à la beauté incompréhensible a besoin de légèreté, il me semble.
Citation
Martelée, la nuit s’est éteinte en vingt ans
Ta bouche sentait le creux de la fente s’offrant à elle
Ta bouche sentait le creux de la fente s’offrant à elle
Image osée et brûlante mais suave, ou
Citation
Crucifiée en lambeaux de chairs incontestable pas nous
Crissons sur nos arbres à yeux grommelant de nos doigts
Crissons sur nos arbres à yeux grommelant de nos doigts
"Beau désordre", pour dire comme Boileau.
Dernière critique : l'adjectif systémtique est un poid mort pour le poème. Le poème pour accéder à la beauté incompréhensible a besoin de légèreté, il me semble.
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