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[regard blanc]

Je n’y peux pas grand chose.
Il y’as en moi une voix impressionnante
Qui désire
Se noyer
Voix qui ronronne comme un moteur
Autodestructeur.

Envie de mourir
Envie de disparaître
Poussé par la curiosité
Poussé par un sentiment
A rendre précieux les instants présent
Je les ressens comme un répit
Un temps qui m’est offert malgré tout
Malgré mes mauvaises habitudes
Mes défauts, mes mensonges, mes interminables parties
De cache-cache en famille.
Malgré toutes ces erreurs de vie
Vis-à-vis des sagesses que l’on imagine à la science

Je suis encore la, et encore, et encore.
Je suis vivant, et d’un instant à l’autre
Pour des raisons que la raison de l’homme
Ignore inévitablement
Ma vie peut prendre fin.

En moi habites un assassin
Il veut me tuer
Me faire la leçon.
La leçon de ma vie.
Vivre dans le présent.

[mistral]

Touchée par ton poème.
Belle description de l'irrépressible tentation d'autolyse.
Merci aussi d'avoir mis quelques mots réconfortants derrière mon petit texte naïf.
Martine

[peltador]

l'ensemble du poeme à un impact fort
et on sent bien l'intensité profonde de ce que tu veux écrire.
continue :!!:

[strofka]

-


..



jette(z) quand même un oeil
à l'occasion
dans un traité de métrique.



[habite sans s]


-

[regard blanc]

merci pour votre feedback,

je sais j'ai fait du bon, du moind bon et du mauvais.

en ce qui concerne le traité de mes triques, je n'en aies qu'une de trique

et ce ne sera pas toi qui la traitera. Na