Citation (Zapiski id podpolia @ Nov 30 2006, 11:36 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Avoue-le, c'est du Fabian.
Merci Frank, ça fait chaud au coeur ce genre de p'tit commentaire!
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#360603 Il Suffira D'une Larme
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on 30 November 2006 - 06:23 PM
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Merci Frank, ça fait chaud au coeur ce genre de p'tit commentaire!
#360422 Il Suffira D'une Larme
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on 29 November 2006 - 10:50 PM
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Doux, parfumés, réconfortants.
Incertains, faibles et enivrants.
Mais qu’est ce que je ressens ?
La nuit, le jour elle est là.
Dans ma tête dans mon cœur elle est là.
Spontané, victimes d’un instant ?
Pourtant si vrais et si troublants…
Je la vois, à la portée d’un regard.
Elle s’en va. Inscrite dans ma mémoire,
Je retrouve son parfum entêtant.
Mais ils ne sont pas acceptés,
Refoulés par des mots des pensées,
Enrôlés par nos rêves.
Amenés à une trêve.
Je l’adore, je l’aime, je l’ignore,
J’en souffre, j’en pleure, je l'implore.
Imperturbables, ils vont, viennent.
Insoupçonnable marée de mon cœur,
Qui s’échoue dans la peine,
Se perd dans l’abyme des mes rancoeurs.
Il suffira d’une larme...
Incertains, faibles et enivrants.
Mais qu’est ce que je ressens ?
La nuit, le jour elle est là.
Dans ma tête dans mon cœur elle est là.
Spontané, victimes d’un instant ?
Pourtant si vrais et si troublants…
Je la vois, à la portée d’un regard.
Elle s’en va. Inscrite dans ma mémoire,
Je retrouve son parfum entêtant.
Mais ils ne sont pas acceptés,
Refoulés par des mots des pensées,
Enrôlés par nos rêves.
Amenés à une trêve.
Je l’adore, je l’aime, je l’ignore,
J’en souffre, j’en pleure, je l'implore.
Imperturbables, ils vont, viennent.
Insoupçonnable marée de mon cœur,
Qui s’échoue dans la peine,
Se perd dans l’abyme des mes rancoeurs.
Il suffira d’une larme...
#360417 Le Vieil Homme Et L'oiseau,
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on 29 November 2006 - 10:37 PM
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Citation (didier @ Nov 29 2006, 05:54 PM) <{POST_SNAPBACK}>
L'oiseau dit:
« J’étais revenu me poser
très doucement juste à côté
de ce vieil homme fatigué,
il n’avait pas du tout
deviné ma présence,
j’ai lu dans ses pensées
et je lui ai parlé… »
Vieil Homme,
Tous ces visages enfouis
que cache ton visage,
ceux que tu as été,
ceux que tu as aimés,
tranquille auprès du feu
un souvenir, puis deux…
Jamais depuis longtemps,
le souvenir de l’enfant
n’était aussi vivant,
tu te revois jouant,
courant, criant, sautant,
et riant aux éclats.
Tu revis la substance
de ces étés sans fin,
la fraîcheur des couleurs,
la pertinence des sons,
et toutes les odeurs
que tu croyais perdues.
Es tu moins maintenant,
vieil homme, est tu plus ?
On a toujours l’humain
sur le bout de la langue,
comme une chose difficile
à bien se rappeler.
Vieil homme, as-tu vraiment
dans l’ordinaire des pertes
tout habillé de gris ?
Je devine au travers
tes visages de couleur
et toutes ces mémoires.
Elles forment en souterrain
un joyau mystérieux,
une graine en attente,
un abondant trésor
que tu gardes en secret
dans ce temps de l’hiver.
« Je suis encore venu, »
dis tu, « laver mon front
dans l’eau vive du ruisseau,
je me suis rafraîchi
de longues marches lentes
à travers la forêt.
En compagnie des biches
j’ai parcouru les champs,
vu les clochers au loin.
Je me suis rénové
de la pluie et du vent
et du feu du soleil.
L’orage m’a parlé
du changement du monde,
il ne tardera pas !
J’ai vu ici et là
des graines de beauté,
je sais que c’est certain.
Toutes les eaux en final
s’en iront à la mer,
et là, s’étant nourries
des rayons du soleil,
s’envoleront, s’égailleront,
pour que tout recommence. »
De temps en temps survient
dans le courant rapide,
l’émergence soudaine
d’étincelants joyaux,
parfois ce sont des gerbes
vives et des myriades.
Où étaient ces joyaux ?
et pourtant ils renaissent,
ils brillent de nouveau,
ces mémoires, ces richesses,
ces visages engrangés
cachés par ton visage.
Le feu éteint révèle,
l’écran noir de la nuit
alors que tu émerges
de ton rêve silencieux,
les yeux un peu humides
et le front dégagé.
Une graine a germé
dans ton cœur apaisé
d’un regain de tendresse,
d’un sourire d’amitié,
pour tes proches, et les autres,
toute l’humanité.
On a toujours l’humain
sur le bout de la langue,
comme une chose difficile
à bien se rappeler,
et pourtant…
[color=#3366FF]
mes images poème
« J’étais revenu me poser
très doucement juste à côté
de ce vieil homme fatigué,
il n’avait pas du tout
deviné ma présence,
j’ai lu dans ses pensées
et je lui ai parlé… »
Vieil Homme,
Tous ces visages enfouis
que cache ton visage,
ceux que tu as été,
ceux que tu as aimés,
tranquille auprès du feu
un souvenir, puis deux…
Jamais depuis longtemps,
le souvenir de l’enfant
n’était aussi vivant,
tu te revois jouant,
courant, criant, sautant,
et riant aux éclats.
Tu revis la substance
de ces étés sans fin,
la fraîcheur des couleurs,
la pertinence des sons,
et toutes les odeurs
que tu croyais perdues.
Es tu moins maintenant,
vieil homme, est tu plus ?
On a toujours l’humain
sur le bout de la langue,
comme une chose difficile
à bien se rappeler.
Vieil homme, as-tu vraiment
dans l’ordinaire des pertes
tout habillé de gris ?
Je devine au travers
tes visages de couleur
et toutes ces mémoires.
Elles forment en souterrain
un joyau mystérieux,
une graine en attente,
un abondant trésor
que tu gardes en secret
dans ce temps de l’hiver.
« Je suis encore venu, »
dis tu, « laver mon front
dans l’eau vive du ruisseau,
je me suis rafraîchi
de longues marches lentes
à travers la forêt.
En compagnie des biches
j’ai parcouru les champs,
vu les clochers au loin.
Je me suis rénové
de la pluie et du vent
et du feu du soleil.
L’orage m’a parlé
du changement du monde,
il ne tardera pas !
J’ai vu ici et là
des graines de beauté,
je sais que c’est certain.
Toutes les eaux en final
s’en iront à la mer,
et là, s’étant nourries
des rayons du soleil,
s’envoleront, s’égailleront,
pour que tout recommence. »
De temps en temps survient
dans le courant rapide,
l’émergence soudaine
d’étincelants joyaux,
parfois ce sont des gerbes
vives et des myriades.
Où étaient ces joyaux ?
et pourtant ils renaissent,
ils brillent de nouveau,
ces mémoires, ces richesses,
ces visages engrangés
cachés par ton visage.
Le feu éteint révèle,
l’écran noir de la nuit
alors que tu émerges
de ton rêve silencieux,
les yeux un peu humides
et le front dégagé.
Une graine a germé
dans ton cœur apaisé
d’un regain de tendresse,
d’un sourire d’amitié,
pour tes proches, et les autres,
toute l’humanité.
On a toujours l’humain
sur le bout de la langue,
comme une chose difficile
à bien se rappeler,
et pourtant…
[color=#3366FF]
mes images poème
LAisse moi te dire combien je suis admiratif! J'adore ton écriture, il y a quelques traits simples naïfs qui laissent aller les mots, le sens vient clairement, c'est un plaisir de le lire...Bravo
#360171 Les Quatres éléments
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on 28 November 2006 - 08:13 PM
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Salon de publication principal
Citation (WARGNIER @ Nov 28 2006, 08:10 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ecoutes elle n'a que 17 ans et tu as vu les insultes auxquelles elle est soumise si moi je ne prend pas sa défense qui le fera . Car vous n'étes pas aveugle vous voyez bien ce qui se
passe sur le site il se connaissent tous d'en haut jusqu'en bas. cela me fait penser a la guerre ou colaborer ou être resistant et moi je ne suis pas de la premiére catégorie.Pourquoi personne ne se plaind par peur d'être la cible de ce que l'on subit aujourd'hui . Moi j'ai un grand doute sur la bonté de chacun. La politique de l'autruche je ne connais pas
passe sur le site il se connaissent tous d'en haut jusqu'en bas. cela me fait penser a la guerre ou colaborer ou être resistant et moi je ne suis pas de la premiére catégorie.Pourquoi personne ne se plaind par peur d'être la cible de ce que l'on subit aujourd'hui . Moi j'ai un grand doute sur la bonté de chacun. La politique de l'autruche je ne connais pas
Ok, je voyais pas les choses comme ça, qd on me dit que ce que j'écris c'est fuir l'art il faut l'accepter parfois, mais bon soit, je ne connais pas ce à quoi elle a eu droit...
#360163 Les Quatres éléments
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on 28 November 2006 - 08:01 PM
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Citation (WARGNIER @ Nov 28 2006, 05:18 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il n'y a pas que du mauvais ici(le site).Ce poême là me touche et à juste titre. Et de plus il a l'approbation de ma fille.LE VIEUX.
J'aime bien le texte, mais Wargnier, je t'estime parceque tu sais écrire bien, que tu es tjs là pour donner ton avis, faire progresser les autres, mais c'est vrai que vis à vis de Noiraude 35, je trouve ça une peu trop "appuyé", je ne te fais aucune critiu, j'en ai pas le droit, c'est juste ce que j'en pense....
#360160 Minuit...
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on 28 November 2006 - 07:47 PM
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Je trouves ça tellement bien écrit! Bravo et merci
#360159 Ode Aux Femmes Rondes
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on 28 November 2006 - 07:44 PM
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J'adore! Je trouve ce poème trés original et je suis à fond pour!
#360149 Distance Infinie Entre Deux étoiles,
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on 28 November 2006 - 07:22 PM
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Citation (bernardo @ Nov 28 2006, 07:16 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Distance infinie entre deux étoiles,
Cela me demeurera si cher à moi, cet immense paysage,
Et cette silhouette lointaine, qui se ferme a ma vue,
Alors, il y aura beaucoup d’horizons ultimes,
Qui s’ouvrira à mon regard.
Mais enfin, je m’assiérais, et je contemplerais, ici,
La nuit profonde, de ce corps endormi
Dans ma pensée la plus profonde,
Je créerais des mondes interminables,
Dans ces plus grands silences humains,
Où le mal de civilisation, s’enfonce plus profondément
Apaise, mon amour, apaise ma douleur.
Où le coeur manque à peine, de se terrifier .
Lorsque j'entends l’alizé, qui souffle sa chevelure,
Je m’en vais, comparant ce silence,
À celui des morts, dans l'infini des choses.
Avec ces voix, et ses plaintes, d’outre-tombe,
Et parfois, je me souvenais de l’éternel,
Cet infini immense, des plaines du ciel,
Où se répercutent, tous mes rêves.
Sur des saisons mortes, contre la vie et le présent vivant,
Mais enfin, dans cette immensité où je me perds
Mes pensées seront englouties, dans ce naufrage
Qu’elle me paraissait si douce, cette mer agonisante
Amour ! Venez dans notre linceul commun.
Cela me demeurera si cher à moi, cet immense paysage,
Et cette silhouette lointaine, qui se ferme a ma vue,
Alors, il y aura beaucoup d’horizons ultimes,
Qui s’ouvrira à mon regard.
Mais enfin, je m’assiérais, et je contemplerais, ici,
La nuit profonde, de ce corps endormi
Dans ma pensée la plus profonde,
Je créerais des mondes interminables,
Dans ces plus grands silences humains,
Où le mal de civilisation, s’enfonce plus profondément
Apaise, mon amour, apaise ma douleur.
Où le coeur manque à peine, de se terrifier .
Lorsque j'entends l’alizé, qui souffle sa chevelure,
Je m’en vais, comparant ce silence,
À celui des morts, dans l'infini des choses.
Avec ces voix, et ses plaintes, d’outre-tombe,
Et parfois, je me souvenais de l’éternel,
Cet infini immense, des plaines du ciel,
Où se répercutent, tous mes rêves.
Sur des saisons mortes, contre la vie et le présent vivant,
Mais enfin, dans cette immensité où je me perds
Mes pensées seront englouties, dans ce naufrage
Qu’elle me paraissait si douce, cette mer agonisante
Amour ! Venez dans notre linceul commun.
Je trouve ça trés bien, même si parfois, il ya un manque de fluidité...un peu comme si la structure trop tournée et détournée faisait obsatcle à la bonne lecture... Enfin ce n'est qu'une remarque sur un poème assez beau!
#360139 Fa, Sol, La, Et Si...?
Posted by
on 28 November 2006 - 07:16 PM
in
Salon de publication principal
Mon monde est gris,
Son sol ne soutient pas.
Mon monde est si petit,
Son sol suscite mon trépas.
Dehors le ciel est bleu,
Les murs sont tombés.
Des musiciens cadencés
Donnent le La. Si peu…
Une fille sourit là-bas,
Félicité transcendante de la Vie.
Un souffle, un mouvement, elle m’accorde le Fa.
Envolée lyrique. Un fil d’or à la main. Et si… ?
Le monde est gris, rouge.
Le liquide de vie coule,
Bat dans ses veines, il en est saoul.
Une mélodie, un sursaut. Il bouge.
Fa, Sol, La. Et si … ?
Son sol ne soutient pas.
Mon monde est si petit,
Son sol suscite mon trépas.
Dehors le ciel est bleu,
Les murs sont tombés.
Des musiciens cadencés
Donnent le La. Si peu…
Une fille sourit là-bas,
Félicité transcendante de la Vie.
Un souffle, un mouvement, elle m’accorde le Fa.
Envolée lyrique. Un fil d’or à la main. Et si… ?
Le monde est gris, rouge.
Le liquide de vie coule,
Bat dans ses veines, il en est saoul.
Une mélodie, un sursaut. Il bouge.
Fa, Sol, La. Et si … ?
#359526 Art ô Art
Posted by
on 26 November 2006 - 11:19 PM
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Salon de publication principal
Citation (belvis @ Nov 26 2006, 11:17 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Hommage,
Homage,
Omage.
Et les mains moites ?
Homage,
Omage.
Et les mains moites ?
Etrannge le fait que je ne te comprenne pas
#359520 Art ô Art
Posted by
on 26 November 2006 - 11:12 PM
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Salon de publication principal
Citation (belvis @ Nov 26 2006, 11:11 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce n'est qu'une crise d'adolescence...
Mon "flasque homage"?
#359513 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 11:04 PM
in
Salon de publication principal
Citation (belvis @ Nov 26 2006, 11:02 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il y a de belles charognes par ici.....
Je sais pas si j'en fais partie d'aprés toi, ms oui je suis de ton avis.
#359508 Art ô Art
Posted by
on 26 November 2006 - 10:58 PM
in
Salon de publication principal
Citation (aZoRth @ Nov 26 2006, 10:52 PM) <{POST_SNAPBACK}>
'Art, O art', C'est flasque comme hommage.
Kiss
Kiss
Désolé que ça ne te plaise pas, moi si...
#359495 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 10:32 PM
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Salon de publication principal
Citation (Maisonnier Serge @ Nov 26 2006, 10:30 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ben oui! C'est commeça! Il y en a que l'art fuit
et d'autres la grammaire.
Allez bises mon Gaston
et d'autres la grammaire.
Allez bises mon Gaston
Sympa les amis de Gaston
#359489 Art ô Art
Posted by
on 26 November 2006 - 10:24 PM
in
Salon de publication principal
Art, ô Art.
Je te donne mon âme
Je me délaisse à ton pouvoir,
Tu es ma trame.
Le sang ne coule plus dans mes veines
L’encre a pris les rênes.
Je coule sur le papier,
Déverse le flot de mes pensées.
Hémorragie littéraire.
J’ai perdu le pair, l’impair ;
Je me répands sur ces carreaux
Je meurs chaque jour passé,
A chaque page tournée.
Je perds ma vie sur le recto, le verso.
Je laisse sécher mes pensées
Que je faisais taire.
Avec des mots je dessine des chimères,
Je mène une vie insensée,
Je conçois les maux les plus forts,
Les bonheurs les plus doux.
Je te donne mon âme
Je me délaisse à ton pouvoir,
Tu es ma trame.
Le sang ne coule plus dans mes veines
L’encre a pris les rênes.
Je coule sur le papier,
Déverse le flot de mes pensées.
Hémorragie littéraire.
J’ai perdu le pair, l’impair ;
Je me répands sur ces carreaux
Je meurs chaque jour passé,
A chaque page tournée.
Je perds ma vie sur le recto, le verso.
Je laisse sécher mes pensées
Que je faisais taire.
Avec des mots je dessine des chimères,
Je mène une vie insensée,
Je conçois les maux les plus forts,
Les bonheurs les plus doux.
#359488 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 10:23 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Remo @ Nov 26 2006, 10:18 PM) <{POST_SNAPBACK}>
ils ont tous copier ou bien , on dirait qu'ils se sont filé les règles du "c'est çui qui dit qu'y est" !!
et Gaston est tout à fait capable de reconnaitre ce qu'il y a de bien chez les autres d'abord !! (bordel de petit impertinent ) La preuve, il a reconnu que Mounette faisait très bien les pompons ... alors ! c'est pas une preuve de sa très grande ouverture d'esprit ça ?
Non ?
tant pis pour vous alors, moi je vais vérifier cela sur l'heure.
et Gaston est tout à fait capable de reconnaitre ce qu'il y a de bien chez les autres d'abord !! (bordel de petit impertinent ) La preuve, il a reconnu que Mounette faisait très bien les pompons ... alors ! c'est pas une preuve de sa très grande ouverture d'esprit ça ?
Non ?
tant pis pour vous alors, moi je vais vérifier cela sur l'heure.
Si tu le trouves sympatique ce cher Gaston, c'est dommage pr lui, ça lui fera une personne de moins à faire chier... (dsl je n'ai pas une grande répartie)
#359482 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 10:09 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Nov 26 2006, 10:06 PM) <{POST_SNAPBACK}>
oui enfin, sors le déjà !
Non j'en suis pas capable, comme toi tu n'es pas capable de reconnaître ce qu'il y a de bien chez quelqu'un d'autre que toi... ça me ferait plaisir de lire qqc d'acceptable de toi. Enfin si ce genre d'écrits peuvent sortir de toi
#359479 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 10:05 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Nov 26 2006, 10:00 PM) <{POST_SNAPBACK}>
(c'est économique de discuter avec toi)
On ne discute pas avec les gens comme toi, on parle dans le vent, j'pourrais te sortir le plus beau des vers tu ne saurais pas l'apprécier!
#359471 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 09:46 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Nov 26 2006, 09:45 PM) <{POST_SNAPBACK}>
parce que tu es tout le monde sur ce site ?
non ! et crois moi je m'en réjouis
non ! et crois moi je m'en réjouis
Ne t'inquiètes pas je ne suis pas nombriliste à ce point! Non mais les seuls commentaires que j'ai pu lire de toi n'étaient pas forcèment enthousiastes, ce qui me fait assez rire, c'est de lire ce que tu as écris, et je dois dire que ça me rassures que tu n'aimes pas ce que j'écris!
#359469 Parfois Des Bûches
Posted by
on 26 November 2006 - 09:44 PM
in
Salon de publication principal
Nous avons effectivement une notion trés trés différente de l'art, à croire qu'on parle de choses opposées...
#359467 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 09:42 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Nov 26 2006, 09:39 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Holà ! voilà deux questions qui ont le mérite de décliner tout et leur contraire quand on y pense un temps soit peu ; c'est à dire ? 2 secondes.
définir la poésie, je n'entends rien. Je ne m'occupe point de chirurgie.
quant à ce qui me gène, ma foi, tu dis vouloir fuir l'art, peut être t'as t'il lui même devancé.
définir la poésie, je n'entends rien. Je ne m'occupe point de chirurgie.
quant à ce qui me gène, ma foi, tu dis vouloir fuir l'art, peut être t'as t'il lui même devancé.
T'es mignon mon p'tit Gaston, mais je vois pas l'intérêt dans ce que tu dis... Je suppose que tu n'en vois pas plus dans ce que j'écris! Enfin, je ne vois pas ce que tu viens faire sur ce site, puisque tu n'apprécies rien...
#359459 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 09:28 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Nov 26 2006, 09:25 PM) <{POST_SNAPBACK}>
objectif atteint
Qu'est ce que c'est selon toi la poèsie? Qu'est ce qui te gênes dans mon écriture?
#359456 Les Coquettes
Posted by
on 26 November 2006 - 09:27 PM
in
Salon de publication principal
Mis à part tout ce qui a été dit suite à cette publication, j'aime ça le Vieux!
#359452 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 09:23 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Gaston Kwizera @ Nov 26 2006, 08:53 PM) <{POST_SNAPBACK}>
je me suis dit "le titre est plaisant, allons voir !"
bon...
tout de même ces rimes, je me demande : est ce tout ce que vous avez retenu de vos lectures en poésie ?
bon...
tout de même ces rimes, je me demande : est ce tout ce que vous avez retenu de vos lectures en poésie ?
On a tous nos notions de poèsie, la mienne c'est de traduire ce que je ressens, ce que je fais en essayant de m'asstreindre à faire rimer le tout! Et si les lectures de poèsies m'ont influencé, c'est plutôt pour essayer de m'enfuir de l'art!
#359398 Echappatoire (avec Un Grand A)
Posted by
on 26 November 2006 - 06:40 PM
in
Salon de publication principal
Tu la sens ?
La blessure du temps ?
Chaque minute écoulée
Elargit la blessure du passé.
Ne te retournes pas,
Regarde droit devant toi.
Tu es vulnérable
Ton passé t’accables,
S’abat sur toi.
Chaque jour il accroît.
C’est un combat contre soi
Une chance d’en sortir,
De s’extraire du pire.
Sauves ton cas :
Aimes la.
Chéris la.
Adores la.
La blessure du temps ?
Chaque minute écoulée
Elargit la blessure du passé.
Ne te retournes pas,
Regarde droit devant toi.
Tu es vulnérable
Ton passé t’accables,
S’abat sur toi.
Chaque jour il accroît.
C’est un combat contre soi
Une chance d’en sortir,
De s’extraire du pire.
Sauves ton cas :
Aimes la.
Chéris la.
Adores la.
