2 replies to this topic

[Unknown]

Je ne peux pas prétendre aller bien,
Si c’est le cas, ne me crois pas.
On préfère toujours cacher ses maux, crois moi.
Si tu me connais, alors viens.
Mon côté obscur a été plus fort.
Même si on n’avait pas tort.
J’ai été heureux, puis peureux.
Toujours ce besoin de sombre.
Cette part de moi qui t’as fait de l’ombre :
Mal intérieur qui nous fait penser au pire.
Graver sur ma peau, sur ma chance que je déchire.
Evidemment ça vient de moi,
Mon bonheur majoré par mon mal.
Toujours plus vicieux. Chaque fois
Plus profond, il est le râle
De mon âme en péril.
Autodestruction. Nihil.
Envie démente de souffrance.
Se rappeler que si le soleil est là,
La nuit pâle reste mon trépas.
L’Amour ne me libérera plus.
Je ne crois en rien, sinon à la fin.
La vie se trouve au dessus,
De mon esprit manichéen,
De mon subconscient et de sa faux.
Plus rien ne bat sous ma peau.
Si ce n’est la solitude,
Que la compagnie n’assouvit plus,
Qui n’a que mon mal en vue.

[Buse]

J'aime beaucoup. Sombre, simple et vrai.
Je ne te souhaiterai pas bon courage, je sais que ça me déprime encore plus quand on me le dit.
Très beau.

[Salam]

Lourde ponctuation.
Je ne suis pas allée au bout.
A reprendre peut-être?
Bien à toi.