J’accuse… !
Je ne voudrais pas être
Oiseau de vil augure,
Mais la France est mal être
Elle brûle, comme les voitures ;
Et pendant ce temps là,
Les hommes du sérail,
Avec des blablabla
Se livrent autre bataille…
Voici tous nos élus
Qui, dans leurs dictionnaires,
Cherchent le mot pointu
Qu’aurait choisi Voltaire :
« Sont ils des sauvageons
Ou encore des racailles
Ces bandes de petits cons
Qui jouent aux feux de paille… »
Ils est bien tard, Messieurs
Pour choisir les bons mots,
De ces merdeux haineux
Nous avons les photos ;
Quand des pierres sont jetées,
Vous dites Intifada,
Mais l’enjeu des citées
Se place bien au delà…
Il y a, je le crains,
Un cheveux dans la soupe,
Sauf à agir demain
Il vous faudra la troupe,
Le ver est dans le fruit,
Mais serais-je entendu,
Il faut, à mon avis,
Des coups de pied au cul… !
KERFON LE CELTE
