Un Petit Tour Et Puis ...
Started by Vasavoirsi, Aug 16 2006 08:21 PM
11 replies to this topic
#1
Posted 16 August 2006 - 08:21 PM
C’était l’été. Le soleil brunissait à nouveau les peaux. Les chapeaux se montraient avec indécence. Bouquet de couleurs chatoyantes. Rouge. Vert pomme. En paille. Où simple visière de casquette retournée. La foule avait pris d’assaut les rues. Les terrasses des cafés. On entendait les cris des enfants dévalés sur les vieilles pierres du sol, deux fois centenaires. Des cris de joie. Des petites remontrances. Des appels à aller plus vite. Plus vite, maman ! Regarde ! Il est déjà là. On est en retard. Une forme mouvante et fugitive en ombre sur le coin de la dernière maison. Encore un peu trop loin. À portée de regard. Bientôt le plaisir de le toucher. Juste un petit effort. Quelques pas. Mais la mère, elle, prenait son temps. Elle discutait avec son amie. Elle avançait doucement. S’arrêtant parfois pour dire bonjour aux nombreuses femmes dans la rue. Assises sur des bancs. Des connaissances. Quelle agréable journée ! Il fait un peu moins chaud qu’hier. Vous ne trouvez pas ? Elles trouvèrent. Elles argumentèrent.
Cela impatientait les gamins. Les énervaient. Ils tiraient la mauvaise mère par le coin de la jupe. Arrête un peu avec ça ! Il ne va pas s’en aller ! Va jouer un peu plus loin ! Les enfants faisaient alors la grimace. Une moue boudeuse. Un étirement de la langue. Cela faisait un petit bruit d’automobile qui ne veut pas démarrer. Un petit truc qui clochait. Un moteur un peu grippé. Et puis ça repartait dans tous les sens. Cela vous tournait autour. Incessamment. Avec de grands gestes. De grands cris. Jusqu’à ce que la mère n’en puisse plus. La main qui attrapait le col de l’enfant en vol. Et vous le ramenez séance tenante au point d’arrivée. La prochaine fois, je te préviens ! On rentre à la maison ! Et ce sera la fessée ! Jusqu’à ce que les nombreuses voisines soupirent et se plaignent. Et il est toujours comme cela ? Oh oui ! Ne m’en parlez pas. La discussion reprenant sur l’éducation des enfants. Les enfants punis sur le banc. En pénitence. Un petit moment de tranquillité. Si peu. Retenus à peine le temps d’échapper à la vigilance discrète de leurs mères. S’enfuyant promptement. Petites silhouettes accrochées au coin de la maison. Regards gourmands devant l’objet de toutes leurs convoitises. À espérer bientôt l’atteindre. Faire comme tous ces autres enfants qui avaient pu le faire avant eux. Et qui riaient. Hurlaient. Chantaient à tue-tête. Ceux qui si proches du but. Attendaient leurs tours dans une file d’attente monstrueuse. Un vrai serpent multicolore. Un serpent de carnaval. Ondulant et se brisant au moindre souffle des passants. Se reformant. Avançant sûrement vers le but. Les deux petits garçons se regardaient. Ils pensaient tous les deux la même chose. Ils en avaient marre. Cela n’allait pas assez vite à leur goût. Ils trépignaient d’impatience. Ils voulaient être là-bas. Là bas, où la musique entraînait les corps vers des danses turbulentes. Où les autres se chamaillaient, se tiraient le bout du nez, riaient aux éclats et se sauvaient. Envie d’être le prince d’un conte de fées. Chevaucher un blanc destrier. Voler dans le triplan d’un aviateur oublié. Emmener deux ou trois passagers dans un bus magique multicolore. Essayer d’attraper la forme volante qui donnait droit à un autre tour au paradis. Paradis des enfants. Raté. Peut-être encore une autre chance. Tourner en rond et ne pouvoir rien faire. Attendre. Dévisager les petites filles qui pleuraient. Qui n’avaient même pas essayé. Trop petites pour rêver. Entraînées de leurs mauvais grés, par des parents nostalgiques, sur un vieux manège dépassé.
Cela impatientait les gamins. Les énervaient. Ils tiraient la mauvaise mère par le coin de la jupe. Arrête un peu avec ça ! Il ne va pas s’en aller ! Va jouer un peu plus loin ! Les enfants faisaient alors la grimace. Une moue boudeuse. Un étirement de la langue. Cela faisait un petit bruit d’automobile qui ne veut pas démarrer. Un petit truc qui clochait. Un moteur un peu grippé. Et puis ça repartait dans tous les sens. Cela vous tournait autour. Incessamment. Avec de grands gestes. De grands cris. Jusqu’à ce que la mère n’en puisse plus. La main qui attrapait le col de l’enfant en vol. Et vous le ramenez séance tenante au point d’arrivée. La prochaine fois, je te préviens ! On rentre à la maison ! Et ce sera la fessée ! Jusqu’à ce que les nombreuses voisines soupirent et se plaignent. Et il est toujours comme cela ? Oh oui ! Ne m’en parlez pas. La discussion reprenant sur l’éducation des enfants. Les enfants punis sur le banc. En pénitence. Un petit moment de tranquillité. Si peu. Retenus à peine le temps d’échapper à la vigilance discrète de leurs mères. S’enfuyant promptement. Petites silhouettes accrochées au coin de la maison. Regards gourmands devant l’objet de toutes leurs convoitises. À espérer bientôt l’atteindre. Faire comme tous ces autres enfants qui avaient pu le faire avant eux. Et qui riaient. Hurlaient. Chantaient à tue-tête. Ceux qui si proches du but. Attendaient leurs tours dans une file d’attente monstrueuse. Un vrai serpent multicolore. Un serpent de carnaval. Ondulant et se brisant au moindre souffle des passants. Se reformant. Avançant sûrement vers le but. Les deux petits garçons se regardaient. Ils pensaient tous les deux la même chose. Ils en avaient marre. Cela n’allait pas assez vite à leur goût. Ils trépignaient d’impatience. Ils voulaient être là-bas. Là bas, où la musique entraînait les corps vers des danses turbulentes. Où les autres se chamaillaient, se tiraient le bout du nez, riaient aux éclats et se sauvaient. Envie d’être le prince d’un conte de fées. Chevaucher un blanc destrier. Voler dans le triplan d’un aviateur oublié. Emmener deux ou trois passagers dans un bus magique multicolore. Essayer d’attraper la forme volante qui donnait droit à un autre tour au paradis. Paradis des enfants. Raté. Peut-être encore une autre chance. Tourner en rond et ne pouvoir rien faire. Attendre. Dévisager les petites filles qui pleuraient. Qui n’avaient même pas essayé. Trop petites pour rêver. Entraînées de leurs mauvais grés, par des parents nostalgiques, sur un vieux manège dépassé.
#2
Posted 16 August 2006 - 09:54 PM
.
si je peux me permettre,
je ferais quelques petites modifs de présentation, sans rien changer au texte….
Comme ça…………..
en fait je trouve le texte très agréable à lire, fort bien écrit et imagé, et il suffit de fermer légèrement les yeux pour être planté dans le décor.
Mais je pense ( je dis bien « je pense » ) sans obliger à rien, que le texte gagne en lisibilité à être un peu découpé et aéré……..sinon cela risque de rebuter un peu le lecteur…..
Buchmann
( Où leSlovène en beaucoup moins bien )
.
si je peux me permettre,
je ferais quelques petites modifs de présentation, sans rien changer au texte….
Comme ça…………..
Citation (Vasavoirsi @ Aug 16 2006, 07:21 AM) <{POST_SNAPBACK}>
.
Un petit tour et puis......
C’était l’été. Le soleil brunissait à nouveau les peaux. Les chapeaux se montraient avec indécence. Bouquet de couleurs chatoyantes. Rouge. Vert pomme. En paille. Où simple visière de casquette retournée. La foule avait pris d’assaut les rues. Les terrasses des cafés.
On entendait les cris des enfants dévalés sur les vieilles pierres du sol, deux fois centenaires. Des cris de joie. Des petites remontrances. Des appels à aller plus vite:
- Plus vite, maman ! Regarde ! Il est déjà là. On est en retard.
Une forme mouvante et fugitive en ombre sur le coin de la dernière maison. Encore un peu trop loin. À portée de regard. Bientôt le plaisir de le toucher. Juste un petit effort. Quelques pas. Mais la mère, elle, prenait son temps. Elle discutait avec son amie. Elle avançait doucement. S’arrêtant parfois pour dire bonjour aux nombreuses femmes dans la rue. Assises sur des bancs. Des connaissances:
- Quelle agréable journée ! Il fait un peu moins chaud qu’hier. Vous ne trouvez pas ?
Elles trouvèrent. Elles argumentèrent.
Cela impatientait les gamins. Les énervaient. Ils tiraient la mauvaise mère par le coin de la jupe:
- Arrête un peu avec ça ! Il ne va pas s’en aller ! Va jouer un peu plus loin !
Les enfants faisaient alors la grimace. Une moue boudeuse. Un étirement de la langue. Cela faisait un petit bruit d’automobile qui ne veut pas démarrer. Un petit truc qui clochait. Un moteur un peu grippé. Et puis ça repartait dans tous les sens. Cela vous tournait autour. Incessamment. Avec de grands gestes. De grands cris. Jusqu’à ce que la mère n’en puisse plus. La main qui attrapait le col de l’enfant en vol:
- Et vous le ramenez séance tenante au point d’arrivée.
- La prochaine fois, je te préviens ! On rentre à la maison ! Et ce sera la fessée !
Jusqu’à ce que les nombreuses voisines soupirent et se plaignent:
- Et il est toujours comme cela ?
- Oh oui ! Ne m’en parlez pas.
La discussion reprenant sur l’éducation des enfants. Les enfants punis sur le banc. En pénitence. Un petit moment de tranquillité. Si peu. Retenus à peine le temps d’échapper à la vigilance discrète de leurs mères. S’enfuyant promptement. Petites silhouettes accrochées au coin de la maison. Regards gourmands devant l’objet de toutes leurs convoitises. À espérer bientôt l’atteindre. Faire comme tous ces autres enfants qui avaient pu le faire avant eux. Et qui riaient. Hurlaient. Chantaient à tue-tête. Ceux qui si proches du but. Attendaient leurs tours dans une file d’attente monstrueuse. Un vrai serpent multicolore. Un serpent de carnaval. Ondulant et se brisant au moindre souffle des passants. Se reformant. Avançant sûrement vers le but.
Les deux petits garçons se regardaient. Ils pensaient tous les deux la même chose. Ils en avaient marre. Cela n’allait pas assez vite à leur goût. Ils trépignaient d’impatience. Ils voulaient être là-bas. Là bas, où la musique entraînait les corps vers des danses turbulentes. Où les autres se chamaillaient, se tiraient le bout du nez, riaient aux éclats et se sauvaient. Envie d’être le prince d’un conte de fées. Chevaucher un blanc destrier. Voler dans le triplan d’un aviateur oublié. Emmener deux ou trois passagers dans un bus magique multicolore. Essayer d’attraper la forme volante qui donnait droit à un autre tour au paradis. Paradis des enfants. Raté. Peut-être encore une autre chance. Tourner en rond et ne pouvoir rien faire. Attendre. Dévisager les petites filles qui pleuraient. Qui n’avaient même pas essayé. Trop petites pour rêver. Entraînées de leurs mauvais grés, par des parents nostalgiques, sur un vieux manège dépassé.
.
Un petit tour et puis......
C’était l’été. Le soleil brunissait à nouveau les peaux. Les chapeaux se montraient avec indécence. Bouquet de couleurs chatoyantes. Rouge. Vert pomme. En paille. Où simple visière de casquette retournée. La foule avait pris d’assaut les rues. Les terrasses des cafés.
On entendait les cris des enfants dévalés sur les vieilles pierres du sol, deux fois centenaires. Des cris de joie. Des petites remontrances. Des appels à aller plus vite:
- Plus vite, maman ! Regarde ! Il est déjà là. On est en retard.
Une forme mouvante et fugitive en ombre sur le coin de la dernière maison. Encore un peu trop loin. À portée de regard. Bientôt le plaisir de le toucher. Juste un petit effort. Quelques pas. Mais la mère, elle, prenait son temps. Elle discutait avec son amie. Elle avançait doucement. S’arrêtant parfois pour dire bonjour aux nombreuses femmes dans la rue. Assises sur des bancs. Des connaissances:
- Quelle agréable journée ! Il fait un peu moins chaud qu’hier. Vous ne trouvez pas ?
Elles trouvèrent. Elles argumentèrent.
Cela impatientait les gamins. Les énervaient. Ils tiraient la mauvaise mère par le coin de la jupe:
- Arrête un peu avec ça ! Il ne va pas s’en aller ! Va jouer un peu plus loin !
Les enfants faisaient alors la grimace. Une moue boudeuse. Un étirement de la langue. Cela faisait un petit bruit d’automobile qui ne veut pas démarrer. Un petit truc qui clochait. Un moteur un peu grippé. Et puis ça repartait dans tous les sens. Cela vous tournait autour. Incessamment. Avec de grands gestes. De grands cris. Jusqu’à ce que la mère n’en puisse plus. La main qui attrapait le col de l’enfant en vol:
- Et vous le ramenez séance tenante au point d’arrivée.
- La prochaine fois, je te préviens ! On rentre à la maison ! Et ce sera la fessée !
Jusqu’à ce que les nombreuses voisines soupirent et se plaignent:
- Et il est toujours comme cela ?
- Oh oui ! Ne m’en parlez pas.
La discussion reprenant sur l’éducation des enfants. Les enfants punis sur le banc. En pénitence. Un petit moment de tranquillité. Si peu. Retenus à peine le temps d’échapper à la vigilance discrète de leurs mères. S’enfuyant promptement. Petites silhouettes accrochées au coin de la maison. Regards gourmands devant l’objet de toutes leurs convoitises. À espérer bientôt l’atteindre. Faire comme tous ces autres enfants qui avaient pu le faire avant eux. Et qui riaient. Hurlaient. Chantaient à tue-tête. Ceux qui si proches du but. Attendaient leurs tours dans une file d’attente monstrueuse. Un vrai serpent multicolore. Un serpent de carnaval. Ondulant et se brisant au moindre souffle des passants. Se reformant. Avançant sûrement vers le but.
Les deux petits garçons se regardaient. Ils pensaient tous les deux la même chose. Ils en avaient marre. Cela n’allait pas assez vite à leur goût. Ils trépignaient d’impatience. Ils voulaient être là-bas. Là bas, où la musique entraînait les corps vers des danses turbulentes. Où les autres se chamaillaient, se tiraient le bout du nez, riaient aux éclats et se sauvaient. Envie d’être le prince d’un conte de fées. Chevaucher un blanc destrier. Voler dans le triplan d’un aviateur oublié. Emmener deux ou trois passagers dans un bus magique multicolore. Essayer d’attraper la forme volante qui donnait droit à un autre tour au paradis. Paradis des enfants. Raté. Peut-être encore une autre chance. Tourner en rond et ne pouvoir rien faire. Attendre. Dévisager les petites filles qui pleuraient. Qui n’avaient même pas essayé. Trop petites pour rêver. Entraînées de leurs mauvais grés, par des parents nostalgiques, sur un vieux manège dépassé.
.
en fait je trouve le texte très agréable à lire, fort bien écrit et imagé, et il suffit de fermer légèrement les yeux pour être planté dans le décor.
Mais je pense ( je dis bien « je pense » ) sans obliger à rien, que le texte gagne en lisibilité à être un peu découpé et aéré……..sinon cela risque de rebuter un peu le lecteur…..
Buchmann
( Où leSlovène en beaucoup moins bien )
.
#3
Posted 17 August 2006 - 12:27 AM
Complètement d'accord avec Buchmann
Bien aimé le texte, les images défilent agréablement.
Bien aimé le texte, les images défilent agréablement.
#4
Posted 17 August 2006 - 06:01 AM
Ah qu'il est loin le temps jadis ou nous étions enfants...
Très agréable ton petit texte le matin avant de partir au bureau, une sorte
de petit soleil absent au dehors...
Bonne journée,
Sébastien.
Très agréable ton petit texte le matin avant de partir au bureau, une sorte
de petit soleil absent au dehors...
Bonne journée,
Sébastien.
#5
Posted 17 August 2006 - 10:02 AM
Citation (buchmann @ Aug 16 2006, 10:54 PM) <{POST_SNAPBACK}>
si je peux me permettre,
je ferais quelques petites modifs de présentation, sans rien changer au texte….
Comme ça…………..
...
Merci de ta remarque. J'ai modifié la structure de mon texte. J'ai mis moins d'espace que toi mais j'ai ouvert quand même l'espace. Tu as raison cela aère mon texte. Donne un peu d'oxygène aux lecteurs.
Je t'embrasse
Corinne
Citation (Sebastian1980 @ Aug 17 2006, 07:01 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Ah qu'il est loin le temps jadis ou nous étions enfants...
Très agréable ton petit texte le matin avant de partir au bureau, une sorte
de petit soleil absent au dehors...
Très agréable ton petit texte le matin avant de partir au bureau, une sorte
de petit soleil absent au dehors...
Bonjour sébastien,
Alors tu es revenu des bords de la Loire ? Heureuse que tu ais aimé mon texte. C'est mon nouveau roman qui commence. Je viens de terminer l'autre.
Je t'embrasse
corinne
#6
Posted 17 August 2006 - 11:19 AM
Et oui il fallait bien rentrer et retrouver Paris. Je suis revenu avec une dizaine de chansons
dans ma valise et des idées nouvelles. Je viens de terminer mon recueil de textes et je
commence moi aussi autre chose. A vrai dire j'ai trois romans qui sommeillent dans mes tiroirs
et je pense m'attacher à les faire sortir de là-dedans au plus vite.
Je t'embrasse,
Bonne journée,
Sébastien.
dans ma valise et des idées nouvelles. Je viens de terminer mon recueil de textes et je
commence moi aussi autre chose. A vrai dire j'ai trois romans qui sommeillent dans mes tiroirs
et je pense m'attacher à les faire sortir de là-dedans au plus vite.
Je t'embrasse,
Bonne journée,
Sébastien.
#7
Posted 17 August 2006 - 11:39 AM
Citation (Sebastian1980 @ Aug 16 2006, 10:19 PM) <{POST_SNAPBACK}>
........ Je suis revenu avec une dizaine de chansons
dans ma valise et des idées nouvelles. Je viens de terminer mon recueil de textes et je
commence moi aussi autre chose. A vrai dire j'ai trois romans qui sommeillent dans mes tiroirset je pense m'attacher à les faire sortir de là-dedans au plus vite.
.......
Sébastien.
. ...Seb pourrais tu nous en dire un peu plus , .....chansons , textes, genre, où écouter, où voir , où lire etc etc etc etc etc dans ma valise et des idées nouvelles. Je viens de terminer mon recueil de textes et je
commence moi aussi autre chose. A vrai dire j'ai trois romans qui sommeillent dans mes tiroirset je pense m'attacher à les faire sortir de là-dedans au plus vite.
.......
Sébastien.
.
#8
Posted 17 August 2006 - 12:32 PM
buchmann ! je t'adore ! Je viens de mettre un peu d'air dans la struture de mon roman. C'est nettement mieux !
Je t'embrasse !
Je t'embrasse !
#9
Posted 17 August 2006 - 01:03 PM
.......je cours prévenir ton éditeur
que tes romans avancent nickel ...... grâce à moi !!!! ......ha ha ha !!!
.
#10
Posted 17 August 2006 - 03:28 PM
Je préfèrerais que tu cours me chercher un bon éditeur. Ou alors des adresses d'imprimeur pas cher pour mon roman. Rires
#11
Posted 17 August 2006 - 04:58 PM
Citation (buchmann @ Aug 17 2006, 12:39 PM) <{POST_SNAPBACK}>
. ...Seb pourrais tu nous en dire un peu plus , .....chansons , textes, genre, où écouter, où voir , où lire etc etc etc etc etc
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.
Alors à lire pour l'instant sur TLP puisque j'ai publié les paroles, pour les écouter
je n'ai pas encore trouvé de moyen de mettre mes chansons entières en ligne.
Le genre je ne sais pas, je dirais du Seb
Citation (Vasavoirsi @ Aug 17 2006, 04:28 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je préfèrerais que tu cours me chercher un bon éditeur. Ou alors des adresses d'imprimeur pas cher pour mon roman. Rires
Buchmann, je t'engage comme agent si tu nous trouves tout ça !!!
#12
Posted 17 August 2006 - 07:13 PM
Citation (Sebastian1980 @ Aug 17 2006, 03:58 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Buchmann, je t'engage comme agent si tu nous trouves tout ça !!!
Woouaaouuuuuu !!!!!
agent !?!.....puréee la crise !!!!
(Buch pète un cable...!!)
.
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