11 replies to this topic

[Nobody's perfect]

Voyez-vous mon amour,
Je ne sûs jamais qui choisir,
Le temps, ne m'a jamais semblé compter,
Ce sablier, que vous voyez,
En suspends est toujours resté.
Voyez-vous mon tendre amour,
Ces rideaux que vous zyeutez,
N'ont jamais vus le jour,
Ne sourcillez point, je vous l'assure.

Voyez-vous mon bel amour,
Vos mains ne savent où se poser,
Vos yeux cherchent mes paroles,
Votre dos est courbé,
Et moi, je caracole;
Mon pauvre amour.
Je respire votre peur, elle se glisse sur mes murs,
Je respire votre coeur, posé sur ma bouche.

Voyez-vous mon amour,
Vous étiez si confiant et heureux,
Mais je ne peux que choisir,
Il est arrivé voici trois cent deux jours,
M'annonçant la folie, éclairs de lucidité,
Alors, je vous l'avoue, je ne peux rien face à eux,
Vous devez partir, me fuir,
M'enfermer haut dans une tour,
A tout jamais condamnée.

Mais, voyez-vous mon bel amour,
Je ne saurai vous oublier,
Vous, qui me fûtes délices et mots sucrés,
Oui, prenez cette larme qui s'est échappée,
Regardez, gardez-là, elle est sacrée.
Ils vont venir me chercher,
Cueillons un dernier baiser,
A notre amour sacré.

[ATYA.SYRS]

une belle histoire, dans un style auquel, je ne t'avais encore jamais lu, plutôt sage et doux, avec moin de noirceur apparente....
j'ai beaucoup aimé, même dans sa folie l'être humain garde sa liberté lorsqu'il aime, et les murs des prisons n'y feront rien
amitiés à toi Elysa
je suis content j'ai enfin pu me connecter à ton site...
Thierry

[Nobody's perfect]

une belle histoire, dans un style auquel, je ne t'avais encore jamais lu, plutôt sage et doux, avec moin de noirceur apparente....
j'ai beaucoup aimé, même dans sa folie l'être humain garde sa liberté lorsqu'il aime, et les murs des prisons n'y feront rien
amitiés à toi Elysa
je suis content j'ai enfin pu me connecter à ton site...
Thierry

Merci Atya, savoir se diversifier, c'est assez exaltant en fait, et, ma foi, j'essaie, j'essaie...
Bises à toi

A très bientôt alors!!! "je suis content j'ai enfin pu me connecter à ton site..."

[ATYA.SYRS]

Merci Atya, savoir se diversifier, c'est assez exaltant en fait, et, ma foi, j'essaie, j'essaie...
Bises à toi

A très bientôt alors!!! "je suis content j'ai enfin pu me connecter à ton site..."

avec plaisir, je languissais, ton écriture m'interpelle et m'attire....
je t'embrasse
Thierry

avec plaisir Elysa que je te retrouverai sur ton site, .... ton écriture me fascine....
je t'embrasse
Thierry

[Olivannecy]

Thierry a raison, ce style est plus doux mais tout aussi charmeur....

Bises Oliv.

[Nobody's perfect]

Merci Atya

[ATYA.SYRS]

clair

[Nobody's perfect]

Ben, je sais plus quoi dire, alors, merci Oliv et Atya, et bises à vous deux

[Chenier1]

une belle histoire, dans un style auquel, je ne t'avais encore jamais lu, plutôt sage et doux, avec moin de noirceur apparente....
j'ai beaucoup aimé, même dans sa folie l'être humain garde sa liberté lorsqu'il aime, et les murs des prisons n'y feront rien
amitiés à toi Elysa
je suis content j'ai enfin pu me connecter à ton site...
Thierry

« a notre amour sacré », oui Elysa magnifique poème chargé d'une très grande pureté de style , un thème
poètique que je prise énormément , bravo !
Bise à toi , Elysa

[Nobody's perfect]

merci Ronsard, mais sincérement, je n'arrive pas à la cheville de certains d'entre vous, toi y compris. Bises à toi aussi

[lacape]

Voyez-vous mon amour,
Je ne sûs jamais qui choisir,
Le temps, ne m'a jamais semblé compter,
Ce sablier, que vous voyez,
En suspends est toujours resté.
Voyez-vous mon tendre amour,
Ces rideaux que vous zyeutez,
N'ont jamais vus le jour,
Ne sourcillez point, je vous l'assure.

Voyez-vous mon bel amour,
Vos mains ne savent où se poser,
Vos yeux cherchent mes paroles,
Votre dos est courbé,
Et moi, je caracole;
Mon pauvre amour.
Je respire votre peur, elle se glisse sur mes murs,
Je respire votre coeur, posé sur ma bouche.

Voyez-vous mon amour,
Vous étiez si confiant et heureux,
Mais je ne peux que choisir,
Il est arrivé voici trois cent deux jours,
M'annonçant la folie, éclairs de lucidité,
Alors, je vous l'avoue, je ne peux rien face à eux,
Vous devez partir, me fuir,
M'enfermer haut dans une tour,
A tout jamais condamnée.

Mais, voyez-vous mon bel amour,
Je ne saurai vous oublier,
Vous, qui me fûtes délices et mots sucrés,
Oui, prenez cette larme qui s'est échappée,
Regardez, gardez-là, elle est sacrée.
Ils vont venir me chercher,
Cueillons un dernier baiser,
A notre amour sacré.

c'est beau élysa ! ouais c'est chouette
bisous sur l'oreille gauche

[Nobody's perfect]

Lacape, je dois te dire qqchose

tu vois, quand tu reponds aux textes, tu descends, et tu cliques sur repondre, le premier, sauf, que tu devrais descendre un peu plus bas (........ ........) et c'est le deuxieme, cela évite de reprendre les textes à chaque fois.
Bisous