Biensûr que s'élève le monde,
Biensûr que le peuple gronde ;
Biensûr que nous ne sommes plus sûr
De toutes ces idées pures
- Ou plutôt purement hypocrites -
De nos Hommes politiques
Qui évitent ce qui les irritent,
Nos sois-disant grands Hommes d'éthique.
Mais cela en vaut-il la peine?
Serrions-nous esclave de la haine?
Le feu destructeur que nous propageons
N'est que le reflet d'esprits de déraisons :
Ce feu enfume les yeux de l'âme,
Et en fait couler des actes infâmes.
"Réagir à l'échec par la violence"...
Mais quel est donc cet ouragan d'inconscience
Qui vient souffler dans nos pensées meurtries?
Chassant toute nos valeurs et encourageant le mépris,
A saccager, ruiner nos écoles - pourtant salvatrices
De l'ignorance, de la souffrance de l'exclusion -,
Cette tempête porteuse de remise en question
Est bien trop agressive pour être génératrice
D'un élan de renouveau, de paix et d'espoir...
Entendez comme ces mots sont dérisoires ;
Dans la bouche de ces centaines de gens,
Un seul cri ardent s'exprime :
"France ne vois-tu pas ton crime?
France, tu as délaissée nos enfants!"

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