Toujours j’aimai cette profondeur du ciel déserte.
Horizon insondable aux étoiles lointaines, du firmament,
Qui cachait, à mon regard, cette vaste plaine de rêves,
Mais je demeurais là, contemplant un univers que j’invente.
Dans des espaces interminables. Au-delà même, du surhumain,
J’étais seul, dans ce silence profond, immobile comme la pierre,
Qui pour un peu, cette tranquillité me troublerait
Le cœur et l’esprit, en le percevant de la sorte,
Et le vent qui passe, caresse ces feuilles,
Silence dans une nature infinie, où je vais comparant,
À cet appel, et je me souviendrai encor, de l’éternité
Des saisons, qui seront mortes avec notre civilisation,
Et de celles, qui survivront encor dans leurs propres rumeurs,
Ainsi nous verrons dans cette immensité humaine, des
Pensées sombres, qui s’abîmeront, dans la douleur,
D’une mer colorée en rouge, alors je pourrai dire
Qu’il me sera doux, de plonger ainsi dans une mer éternelle.
Profondeur, du ciel déserte ...
Started by Chenier1, Nov 13 2005 09:43 PM
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