Ta main frêle se pose
Apaise la fièvre nocturne
Clôt l’oeil lunaire des rapaces
Ta main ou la mienne
Dans le vent et la terre
Sous le plumage sublime des eaux
Cherchant l’or fin du verbe
Mais la page est déjà poème
Dans le coeur des arbres
Alors dans la buée écris
Un cri comme un envol
Pour nos mots éphémères
Edited by La Distillatrice, 14 November 2005 - 07:35 AM.