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[Augus]

Orange! dont le jus est saisi par l'infant
Pâle, qui, quadrupède, a la terre outragé
Je, souvent, te dédie, au son de l'olifant
Tard les troubles témoins de l'utérin trajet.

Dans le brumeux décor que la pudeur défend
Une peau se méprend par l'heure encouragée
Etanche, lutte envers des démons gris biffant
La clairsemée peur bleue sur la feuille étagée.

Après, noir instant, bulle en qui s'incarne, idoine,
Telle un condor manqué, retenu à la douane,
La salive salie de ces parleurs de pierre;

Maculée de pure encre autour la faite coenne
Soleil encor chauffé sur le dos des iguanes
Qui lézardent, lascifs, le mur parmi le lierre.

[Félice]

Je lis et j'apprends.

J'aime.

Félice.

[Augus]

En fait j'aurais dû préciser que c'est un pastiche....mais merci bien !

[Félice]

J'aime quand même. Parce que j'apprends.

Un pastiche d'Alban Berg, tu vois, j'aime pas.

Alors ton texte est pédagogique.

Félice.

[Gaston Kwizera]

j'apprend aussi !

[heloise]

UP
Tardif
Mais le titre ne m'inspirait pas
(pas le poète)

UP veut dire que j'ai aimé bien sûr
Beaucoup même

[Carla.]

Ca fait du bien, même un pastiche. Juste à l'oreille un problème entre "outragé", son [é] et "projet", son[ai], mais je chipote...

[belvis]

Un Pastiche...et du p'tit lait....Et remettez, s'il vous plait !

En plus, j'aime Mallarmé...