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[serioscal]

Putain j'ai des cauchemars homère a piqué ma tête de cochon

Vous êtes seule, mademoiselle ?
Puis-je vous tenir compagnie ? Connaissez-vous Pierre Boulez ?

[homere]

Fragment (22)

Vissé au clocher par l'oreille!
Le coq du 20èmes dimensions
Étreint la gibbosité du vide!!
Sa gorge royale aspire à l'éther!
Mais, la vastitude s'y oppose!
L'instant fortuit s'offre à l'espace!
Les mélodies blanches s'installent
Aux côtés de l'espoir et de la béatitude!
Mes grains de beauté sont dégustés !
Tes caresses m'aiguillent le cou !
L'étincelle émeraude quitte son palais!
De ce côté les nuées s'accouplent !
Le bec sort de sa coquille fanée,
Pioche dans l'eau salée.
A ce que je vois !
À ce qu'on dit !!
Fières sont donc tes ailes !
A ce que je vois !
Ce soir le seigneur des fantassins !
Exécutera la parade de l'empereur
Et déjà enrobé comme une fleur
Le plumage duveteux de la fourmi !
À ce qu'on dit !!
De l'étoile meublée à ici,
Sur la colline de ta crête
Devant la mascarade de ton cocorico
Le néant absorbe l'océan !

[Pampi]

Je trouve ces fragments bien ternes...Ils sont tout ce que j'exècre dans le pseudo poésie contemporaine: des bouts de n'importe quoi qui sentent le cliché, des odeurs insipides qui se mordent la queue, des chants sans triomphe qui ne vibrent en rien...Les pères et impairs peuvent bien se sourire, les sensibles bonhommes rire aux éclats, la musique des mots ne s'improvise pas...Et c'est très bien comme ça.

[Pampi]

Je reconnais l'ami Fragment avoir eu un jugement on ne peut plus hâtif...Je viens de relire tes extraits. C'est bon, très bon. Mille excuses.

[Tyi]

Fragment (20)

C'est sans doute, comme pour jamais
Mais, au moins on vantera pour lui
Le miel de vos yeux d'impératrice !
Le sucre caramel noyé à jamais
C'est votre beauté.

Et vos grains perliers
Sont la géode de l'essence florale!


Blanc est ce donc ou noir !
Né du lait des vents et des nuages!
Ce poème!


La Bévue du prince dans son lit
Succède à son trône.
« Demain c'est votre l'univers»
Murmure l'enfant de l'hêtre.
Et déjà le zoolâtre cherche
À immoler votre pervenche !

Il était temps que la corrida commence !

Il était une fois
L'intention à jamais !!!

Une marche pure, c'est dit.
Les discours d'excellence ne sont pas ailleurs, n'en déplaise aux brailleurs étroits...
Bienvenue Lola!
J

[riz(remo)mot]

Bienvenue Lola!
J

MERCI

fragment (23)

Le coq au clocher
Regard néantisé
Ce soir on mange quoi!
Les roses veulent une fleur.
Moi, je veux autre chose!
La plume humecte son encre
Les mots soulignent rudement la ligne
Toi et tes yeux en cristal
Le feu s’adapte!
Je compte à trois
Et on se jette.
Trois
Un
rien.

Fragment (24)

En allant à sa partie de chasse
La reine toxine à piétiné une fée !
C’était orchidée, l'orpheline des bois !
Cela dit, amis pholades,
Vous allez être contents
Votre part du butin,
Est une belle grimace trompée
Dans un océan de mazoute.
Farcie amis pholades
Farcie mon halène balsamique!
Chacun pourra en être embaumé!
Et voici pour vous aussi 5pilules
cueillies de ma pensée céleste.

En rentrant de sa partie de chasse,
La reine toxine à poignardé une fleure!
Par ailleurs, la légende nous apprend
Qu’elle estime la gloutonnerie!
Alors préparez vos potions d’arsenic
Et buvez vos gouttelette de philtre
Accueilliez là amis pholades!
Si possible en ayez l’antidote
Contre l'agnosticisme de vos jacobines.


Fragment 25


Vois- tu le nectar de l'ion que je t’offre
Le vois-tu et ce mirage allaitant ton parfume!!
Vois-tu le miel salé de ce baiser que je t’offre,
C’est le bijou rare des mille et une nielle.

T’appartient aussi mon corps chic
Épuisé comme le laurier de ton boudin,
Mon âme pliée et vidée de son fric,
Outre la perle duveteuse de mes affres.

Et l’arôme des vagues que je t’offre
Le vois-tu et cette poussière aux cents ailes
Vois tu aussi cette rivière où coule l'étincelle
Cet étang de lumière est dans mon coffre!
Cette rivière est l’eau de l’intime raison!

Vois tu l’or opalin de mon sourire
Eh bien, c’est tout ce que je t’offre
Toi, qui endure tant d’être mon hêtre!

[riz(remo)mot]

Fragment (26)

Lorsque de mon séricigène
J’ai paré de soie ton torse
Tu ne fus plus indigène !
Mais depuis les grandes averses,
Je suis redevenu ourse.

Non ! Tu n’es plus aborigène!
Car, vérité dis-je
Le poireau qui nous avait adopté en rit
Il sait que ma chitine est sous tes mamelles !

Je vois ! Je vois ! Gogo chéri,
Ton sexe est distrait,
Et cela bien qu’il soit parfait
Tout comme toi, ton ombre soleil
Porte la cyphose de la chamelle.

[riz(remo)mot]

Fragment27

Pour être honnête!
Juste et loyale.
Pour être beau et féal,
J’ai répertorié la somme de mes plaies,
déposée au mont de nos baisers.
Vidé de mon sang rouge !
L’eau traverse mes veines.
Vidé de son parfume lumineux,
Qui se promenait dans l'éther!
Mes aubades se lamentent!
Mes souvenirs et trous de mémoires
Les aient noyé dans la palette de tes couleurs,
Alors que le cierge nocturne
Se calcine dans le secret de la lumière!
Mon âme noircie par la nuit se désagrège!
Dans l’océan des péchés,
Un ou deux baisers!
C’est tout. C’est peu intime !
Évanouie la fidélité par la suite,
Évanouie l’espoir aussi!
Qu’ai-je vraiment à regretter !
Je entends toujours mon amour
Quelqu’un voile le soleil!
Alors que les continents retrouvent le passé
les yeux murés. Mon amour, je repars!
L’inconnue a trahie!

[riz(remo)mot]

Fragment (28)

Le lundi 49 de l'an 4256 de l’ère extraterrestre


Notre amie la blatte vous propose
La vente immédiate de 100 oothèques!
Deux vierges noire
une poire
Une adorable rose
Le secret de l’alose
1 gramme de cellulose
Et la paume du métèque

[riz(remo)mot]

Fragment 29

Après la fleur de son sourire
Vint la noyade de mon sourire.
Après l’agonie de l’étincelle,
Toujours aube sur son visage
Vint ensuite la fleur noire, et le regret
Qui fissura de rides mon visage
Depuis, je fus de nouveau gosse pour maman !
Si bien qu’elle ne voulut plus jouer à maman
Ce que fut Laila ne partit jamais de mon regard !
C’est l’étrange influx prit de son regard!
Fée est sans doute aussi cauchemar,
laila, pour qui, moi, je devins cauchemar.
Laila, lune lune que je vis de tout part!

[homere]

fragment (30)

A vrai dire, je suis unique à Rome
Seul à savoir maquiller les atomes
Et à pouvoir coiffer les chromosomes

Moi le Homère des forums
Le traqueur des jerôme
L’exterminateur des hommes
J’ai brisé la bite u nuage
Et ai arraché les dents à l’orage

Moi, j’ai léché à quatorze ans
Ai téter le nez des enfants
Et ai fait de mon pet une chanson.
Oui, c’est moi qui ai violé la vieille reine
Et ai volé les œufs des sirènes.

[homere]

fragment (31)

Paris la ville
La si jolie petite île
Paris la tour Eiffel
Paris la bastille

Paris la prostituée
Paris la déprimée
Paris la millésimée

Paris la femme
Paris la fortune
l'or sans âme!

La si jolie petite île
La si seule dans ma chambre
Paris reflet de mon ambre
Paris l’isolée,
La désolée.
L'île de mon arbre

Paris pareille à la terre de mon âme
Est la digne opaline,
La blonde au voix de notre dame
Paris la cristalline est un paradis d’exile
La plus jolie ville.

[Tyi]

Fragment (26)

Lorsque de mon séricigène
J’ai paré de soie ton torse
Tu ne fus plus indigène !
Mais depuis les grandes averses,
Je suis redevenu ourse.

Non ! Tu n’es plus aborigène!
Car, vérité dis-je
Le poireau qui nous avait adopté en rit
Il sait que ma chitine est sous tes mamelles !

Je vois ! Je vois ! Gogo chéri,
Ton sexe est distrait,
Et cela bien qu’il soit parfait
Tout comme toi, ton ombre soleil
Porte la cyphose de la chamelle.

J'aime ce texte pour ce qu'il suggère en transformations, mais lesquelles?
Que pourraient transporter les bosses de la chamelle sinon l'origine?
On dit aussi rejeton parait-il !

[homere]

Fragment (32)

Flageller de colère l’empreinte fugitive,
Ou parer mon âme avec la peau d'une zibeline,
C’est déjà faire semblant de piller l’effluve de ton sang !!
« Ce n’est pas assez grave » dira tendrement la fée!
Pas autant cruel, pas suffisamment sanguinaire!
Que de faucher l’olivâtre bave de la comète,
Eprise par rêve regretté de l’épine!

L’avenir c’est après demain
Il faut donc tout négliger un instant,
et souffler le noir néantisé de nos mémoires!
Dans mon aveugle mémoire!
L’avenir donne accès au passé!
Ce présent abandonné,
Ce futur ruiné,
par les secrets dépouillés de tes yeux.

Tendre sourire d'enfant !
Pourquoi abuses tu comme ça?
Pourquoi boire le lait de mon âme !!
Pourquoi se vêture de mon ombre chétive!
À qui appartient au juste
La raison de nos amants gringalets!

Demain le futur mon beau diamant!
Le destin dévoilera aux judas
les prodiges que ton âme boisait pour les étoiles!
Demain l'avenir! Le retour de ton amant
Enfin, je suis fleure! Voix des vents boréaux,
et je resterais l’onction d’une larme
Que l’on glissera sur ton halène minérales.

[homere]

Fragment 33

installer son filet sous le nid des déesses,
Et pêcher la logique du soleil
N’est pas considéré comme une transgression théorique.
Mais, il est écrit, sous l’emprise de ma paume de fanatique.
Que tes lèvres s’étoufferont un jour!
En l’an 2012 au septième soir
De la troisième génération.
L’amour sera star!
Mais c’est aujourd’hui la célébration des noix volantes !
On dit d’ailleurs aussi qu’au nom du saint renard,
Le dauphin devra abdiquer pour le bonheur du tsar !
Le sourire pourra donc reprendre mon trône sur ton visage !
La mort abdiquera, et les noix tu pétriras!
Pêcher le soleil d'une mélodie
Sera alors telle une effarante révolution!
Mais quand on est dévêtue du sens
Le sens n'est alors que son propre rien
Et quand on est vêtue du sens
Plus rien n'est, et on est magicien!

[homere]

Fragment34

Ne sachant plus vraiment quoi manger
Mon aile droite ou l'inégalité de mes cuisses !!
J'ai réfléchis attentivement et ai envisagé
De découper un petit bout de mon aile gauche.
Cela sans oublier que je dois couper notamment
Deux kilogrammes de chaire rouge,
Récupérés sur mon museau !
Ce soir je veux que mes invitées aient un dîner réussi
et, j'espère être du goût de mon amie la chouette.

[homere]

Fragment 35

Cela ne me gêne guère de le dire haut et fort :
«Les handicapés sont autant fous que mon chimpanzé,
Et pour ma part on devrait leur infliger la peine de mort »
Ainsi, sur ce sujet, je rejoins les xénophobes et autres nazis.
Et déclare sans aucun scrupule mes lazzis.

Un handicapé mental est un automate social…
Consommateur inutile de produits acquis avec nos thunes
L'handicapé physique est une énorme bévue raciale
Qui nuit et importune la raison commune.

Ce qui est moins drôle, c'est qu'on pas le droit d'en abuser
Ni non plus de profaner son corps à coup de bites.
Et le plus triste est encore de refuser
D'admettre que c'est un hypocrite.




fragment (37)

Mes thérapeutes demandent à m’examiner
Un informateur l’aura apprit que j’ai deux vagins
Un qui sert à faire déguerpir les prisonniers
Et l’autre à abriter le pasteur des bovins
L’un d’entre eux me dit
« Celui de droite parle t’il le français »
« Oui monsieur dis-je, mais une vieille et ridicule,
guêpe, l’a piqué dans un combat contre un pénis anglais»
Aujourd’hui dis –je avec un peu de gratte-cul,
Son état est stabilisé et je vais enfin me moucher !

[homere]

Fragment (38)

Ton visage, c'est la lune !

Couleur cannelle des dunes

Ton visage, c'est la lumière

Ombre noyée à ton sourire

Étincelle voilée, tu es d'or d'âme

Perle fleurie, tu es femme

Rêve balsamique pour demain

Aujourd'hui, le lendemain

Ton visage tel l'eau de la terre

Vagues des ailes et de la mer

Ton visage, lait des nuages

Musc envoûtant ou sel solaire !

Ton visage, ce diamant d'Eden

A qui je rends cet hommage.

[Eden]

Le dernier laisse à désirer.

[homere]

Fragment 39

Là ou tout a commencé,
Négliger les milles millions d'étincelles
parant les lointaines dunes sur ton visage,
C'est dérober les merveilles de ton sourire.
Mais dans le secret des vœux,
Point ne cesseront de conter,
Les chants étoilés,
L'odyssée de ton souffle.

La vie du passé, tu t'en souviendras

La mort du futur tu ne retrouveras point
Et les perles d'or

Et pluie de fleurs,
Seront le trophée de nos ascensions.
La féerie est le testament du

« Tout à commencé par »!

L'aveuglante lumière de ton âme
Tu n'étreindras guère!
Et tant que le peuple des émois
N'aura pas oublié!
Il faudra oublier tes larmes!

Oublier qu'elles seront à jamais suspendues au néant!
Et le miel salé de nos entrailles que voilà

Finira seul ton voyage,
Là ou tout a commencé.

[riz(remo)mot]

fragment 40

Dans le monde des crétins
Il y a ceux qui violent des chiens!
Les oppriment de caresses et de câlins
D'autres, en pique-nique dans leur jardin
Les dégustent avec un bout pain.

Dans le monde des chagrins
Les garçon sont entretenus avec des knouts
Et les filles vendues aux marabouts
les handicapés y tous des babouins
Ces païens infirmes ne servent à rien
Or, plus on croit qu’ils sont dans le besoin
Plus on leur tend la main,
Et en retour, nous, on ne reçoit rien!
Et parfois on donne et on donne
Jusqu'à vouloir en assassiner un!

Le dernier laisse à désirer.

[riz(remo)mot]

fragment (41)

Dévorez la dépouille de cet androïde !
Et vous ne vous égarerez point.
Dans les lisières de mon esprit!
Faites ce que je vous dis
Et soyez digne de votre
Ipséité de princesse!


À partir de l’orée de ma dépouille !
L’ordre univoque est toujours extraordinaire !
L’allumette y a le baiser muet.
Libérée de son devenir, tel l’automate
Qui avance vers l’inconnu !

Sciez le chemin que la corde
Esquisse vers mon destin !
Et cet autre être de regret
Que vos soupirs ont soufflés
Que vos idées ont isolé
Sur le front de ma dépouille !

Ensuite,
Devra être l’offrande l’automate!
La déesse du dénuement !
S’en sustentera pour soigner son appétit !

Alors guère vous ne reculerez
Devant l’arbre des ténèbres
Et point vous n’effacerez
Les commandements du peuple lapins
Jamais vous n’aurez à purifier
La corrosion des îles mouches!
Et pour toujours, l’essentiel
vous sera guide dans l’éther compressé !
Le troupeau des atomes bleus,
vous pourrez sacrifier pour traire
Les mamelles de l’étoile.

[riz(remo)mot]

fragment 42

Savoir, c’est décrypter le qualificatif
Des six sillions solaires !
Savoir c’est être pendu sous le vide de l’étang
L'étang vide de l’absurdité !
Savoir c’est traire le nectar de six collets!
Six collets jonchés là
Ou ici sur l’épave corporelle du babiroussa !!
Savoir c’est oublier les livides fractions
Les six bissectassions niées.
Manifestation inutile du sens saccadé,
Du non sens casé
Du sens dans la pénombre du doute !
Savoir c’est l’infernale huronne,
Qui sculpte et peint la raison
Aux six couleurs de regrets !
Savoir!
Le sentiment, c’est savoir et ne plus rien voir !
Savoir!
Etat sombre du délaissement
Enterré dans le grain de la connaissance !

[riz(remo)mot]

Fragment 43

Votre bave bouillonnante est un prodige,
Emanant de l’intimité des absences !
Aussi, avec votre coiffure d’épine
L’univers s’en réjouira.
Et l'orchidée n'enfantera plus guère
La lune de vos yeux!

Pour mon cheval céleste!
à cause de vos pommettes en pierre
L’essence restera une barbarie objective !

Votre opium monsieur est pourri
Tout comme votre ivresse ancestrale !
L’offrande reste donc impossible !
Le silence ne vous écoutera point
Il est sourd vous savez,
Tout comme vous amies fées !
L’effluve de l’iceberg est aveugle
Et n’envahira point vos frissons.

Votre bave bouillonnante est un prodige
Posée là, pour mon cheval !
Soyez honnête monsieur!
Et ne touchez plus aux lueurs des songes
Avalez donc une mélodie ou deux
Puis buvez le noir de la nuit
Soyez propre l’ami, soyez bon!
Et lavez vous les mains
Avec le sang des fleurs endormies.

[Pampi]

Dissous de la mort
Et à jamais être purifié ![/size][/font]
[/quote]

Dissout de la mort? Mais c'est elle qui va te dissoudre grand oracle. Pauvre con.

[Tyi]

Fragment (20)

C'est sans doute, comme pour jamais
Mais, au moins on vantera pour lui
Le miel de vos yeux d'impératrice !
Le sucre caramel noyé à jamais
C'est votre beauté.

Et vos grains perliers
Sont la géode de l'essence florale!


Blanc est ce donc ou noir !
Né du lait des vents et des nuages!
Ce poème!


La Bévue du prince dans son lit
Succède à son trône.
« Demain c'est votre l'univers»
Murmure l'enfant de l'hêtre.
Et déjà le zoolâtre cherche
À immoler votre pervenche !

Il était temps que la corrida commence !

Il était une fois
L'intention à jamais !!!

Juste comme ça, m'enfin...

[Tyi]

Fragment34

Ne sachant plus vraiment quoi manger
Mon aile droite ou l'inégalité de mes cuisses !!
J'ai réfléchis attentivement et ai envisagé
De découper un petit bout de mon aile gauche.
Cela sans oublier que je dois couper notamment
Deux kilogrammes de chaire rouge,
Récupérés sur mon museau !
Ce soir je veux que mes invitées aient un dîner réussi
et, j'espère être du goût de mon amie la chouette.

Pour déjeuner et pour le texte