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[Tyi]

Il y a des charniers organiques
dans les drames d’un je.
il y a ces berges ravagées
où l’on crève retroussé
aux sens.

Et l’on cherche au point de peau
la conscience blanche
mais l’on n’y voit rien
que nos dérèglements monoméres
et en détours de mensonges,

L'autre soi,

La Lune fracassée

Une production.

*

L'eau est un piège.

[belvis]

J'aime surtout la 1ère strophe...

[Tyi]

~wldp~, belvis,

Ce texte comme 'l'instant' fait partie d'écrits datant de janvier à mars 06.
A cette époque j'étais dans un promenoir et je scrutais l'anatomie
Tant que je n'y vois plus rien que des points de vues, des ombres et ma propre atomisation.

Bises et merci à tous deux

Juliette

[Pampi]

Il faut vraiment que tu arrêtes les champis...

[Tyi]

Il faut vraiment que tu arrêtes les champis...

Bonsoir cher(e) Bambi,

Je t'assure, tu devrais essayer, tu te sentirais un peu plus délié(e).
Oui, je sais.

Affection.

juju.

[jkounine]

ouais je kiffe aussi

[.ds.]

"Que se brise le mur du silence
Aux brumes livides sonnant le glas
En dépit de résumer quelques chapitres

J'écrirai ton ombre vascillante le jour
Abdiquant la nuit dans un élan
Aux tons d'Orient

Des berges de nuits meurtrières
Les -coûts- de pioches exténuées
La terre rendue se plie à nos corps fatigués

S'achève une page en automne vers les frontières
Soulevée par le vent et peuplée de longs fossés

A l'aube

Agenouillée sur la parure du temps
Je porte au lavoir
Les traces souriantes de ton sang

Seul
Miroir radieux du bonheur d'avoir
Blanc
Se balance
Dans ma chambre
Hors du cadre
L'émergence d'un deux-mains"

[Tyi]

"Que se brise le mur du silence
Aux brumes livides sonnant le glas
En dépit de résumer quelques chapitres

J'écrirai ton ombre vascillante le jour
Abdiquant la nuit dans un élan
Aux tons d'Orient

Des berges de nuits meurtrières
Les -coûts- de pioches exténuées
La terre rendue se plie à nos corps fatigués

S'achève une page en automne vers les frontières
Soulevée par le vent et peuplée de longs fossés

A l'aube

Agenouillée sur la parure du temps
Je porte au lavoir
Les traces souriantes de ton sang

Seul
Miroir radieux du bonheur d'avoir
Blanc
Se balance
Dans ma chambre
Hors du cadre
L'émergence d'un deux-mains"

Tu as ce regard hors de...
Et toujours cette promesse de ce qui a déjà commencé, cette douceur que toi seule sait donner,
Je te l'ai déjà écrit il y a quelque temps...
Ce regard hors de... c'est aussi ce qui transpire dans les tableaux (oh, je n'en ai vu que un ou deux), je me souviens de cette mère africaine et de son enfant...
Merci .ds.

Juliette