Le balbe
Balbuchier, balbuciment
bala, bala, bala
rien quoi
que du
blabla
du
blabla
au
caca
fécal
calcul
de caca est
blabla
manger des blattes
puis
les balbuchier
dans le balbuciment
avec le plâtre et le caca
ou le
croâ croâ
grenouille pour
rire pourrir fois deux

Le Balbe
Started by serioscal, Oct 09 2006 06:31 AM
8 replies to this topic
#1
Posted 09 October 2006 - 06:31 AM
#2
Posted 09 October 2006 - 08:19 AM
Il n'y a pas forcément à dire grand chose (ça m'arrange sûrement) sinon que c'est sombre. Il faut aller chercher loin ce qui est devant/dans soi, peut-être.
#3
Posted 09 October 2006 - 08:23 AM
Je suis d'accord de dire qu'il n'y a pas grand-chose à dire, tu es prudente : tu n'as pas dit rien.
Pour la peine :
Black Sabbath, Snowblind
Pour la peine :
Black Sabbath, Snowblind
#4
Posted 09 October 2006 - 08:30 AM
La prudence n'est pas mon arc, mais la clarté est dans mes cordes.
Je mens.

Je mens.
#5
Posted 09 October 2006 - 08:37 AM
balbiller sur le pot en somme?
#6
Posted 09 October 2006 - 09:08 AM
En somme, non : le caca a une fonction intégratrice, son signe est donc la multiplication.
La zone est sensible, très fragile. Je ne sais pas si cela se remarque à la première lecture, mais ce poème est épouvantablement délicat, il me semble.
La zone est sensible, très fragile. Je ne sais pas si cela se remarque à la première lecture, mais ce poème est épouvantablement délicat, il me semble.
#7
Posted 09 October 2006 - 09:30 AM
je ne conteste pas sa délit/cacatesse.
#8
Posted 09 October 2006 - 09:43 AM
Fèce qu'il te plait !
#9
Posted 10 October 2006 - 07:42 PM
C'est d'une beauté primitive. Le balbe, est-ce un nouveau style poétique qui dure depuis des années ? Et ces imbéciles indignés ne s'indignent-il pas devant l'odeur de leur propre merde ?
Voilà de la beauté pulmonaire ! Ils semble qu'à creuser sous terre jusqu'à ce que le rien remplace tout, ou trouve ce qu'ont s'acharne à découvrir dans le ciel, le tout touche à tout. Comprise je pense la cassure du vers. La douceur du style, tout de même, assonancé, aliteré, néologisme comme s'il avait toujours été là. La dernière strophe ne se lave pas dans mon sang. Qu'elle est-elle ?
Citation
bala, bala, bala
rien quoi
que du
blabla
rien quoi
que du
blabla
Voilà de la beauté pulmonaire ! Ils semble qu'à creuser sous terre jusqu'à ce que le rien remplace tout, ou trouve ce qu'ont s'acharne à découvrir dans le ciel, le tout touche à tout. Comprise je pense la cassure du vers. La douceur du style, tout de même, assonancé, aliteré, néologisme comme s'il avait toujours été là. La dernière strophe ne se lave pas dans mon sang. Qu'elle est-elle ?
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