J’en avais à l’œil l’estampe qui brillait pâle
Derrière les horizontales flammes du soir
Couinant vain tout autour des étalons noirs,
Les douleurs creuses du temps perdu vénal.
J’en prenais au cœur la délicatesse hiémale
Qui étouffait le courroux du moment avare
Ronronnant hilarant derrière le doux regard
Du jour qu’il conduisait souvent vide au bal.
Le printemps, l’été, l'arrière-saison et l’hiver ;
Les fleurs, les chaleurs et les vents, prolifère,
Je les avais repris aussi pour en obéir à la loi,
Mais indifférent, au chemin, l’amour cillant
A fermé son œil pour dormir comme un Roi
Où j’ai laissé mourir mon regard, inconstant.
farid khenat et dorothée.
et non massi daniel, akli, rabah, mohamed, said, sebastien, kamel et mathieu.
Wed, 27 Sep 2006 23:25:32 +0200
À: farid_khenat@yahoo.fr
Objet: L'indifférence.sonnet néoclassique.
De: webmaster@abcpoesie.net Ajouter au carnet d'adresses
Bonjour Farid Khenat,
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L'indifférence .
Started by vent, Nov 05 2006 09:40 PM
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