Hello
_____
Tic tac
Oh toi ma montre ! Qui rythme les instants
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.
Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.
Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.
Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Tic Tac
22 December 2006 - 08:23 PM
Solitude
22 December 2006 - 07:26 PM
La clé tourne
Déjà chez moi
Lumière éteinte
Comme hier
Le silence
Pour m’accueillir
Le frigo
Presque vide
De la musique
Meubler un peu
Petit dîner
Faire comme si…
Un bouquin
Passer le temps
S’endormir
Oublier ! Enfin.
Déjà chez moi
Lumière éteinte
Comme hier
Le silence
Pour m’accueillir
Le frigo
Presque vide
De la musique
Meubler un peu
Petit dîner
Faire comme si…
Un bouquin
Passer le temps
S’endormir
Oublier ! Enfin.
Le Rêveur
21 December 2006 - 10:16 PM
Souvent dans les nuages
Rarement les pieds sur terre
Les pensées vers le large
Le rêve est son repère.
L’esprit toujours en marge
Et le regard parfois en l’air,
Il fait sauter tous les barrages
Pour parcourir son univers.
Un monde créé par lui
Au plus profond de sa tête,
Où il s’envole où il s’enfuit
Espérant combler son mal d’être.
Comment décrire ce Paradis
Où le temps coule ou bien s’arrête.
Ici le cœur n’est plus meurtri
Ici le chagrin devient fête.
Ici le monde est idéal
Et change avec facilité.
On y séjourne pour une escale,
Refaire sa vie par la pensée.
Et dans ce lieu sacerdotal
Où nul ne pourrait pénétrer
S’unissent dans un même festival
Le rêve et la réalité.
Ce lieu divin il s’y laisse choir
Pour échapper a son destin
En recréant sa propre histoire
Et se construire un monde humain.
Ne soyez pas blasphématoire
Et laisser le dans son jardin.
Le faire descendre, tentative illusoire.
Laisser le suivre son seul chemin.
Rarement les pieds sur terre
Les pensées vers le large
Le rêve est son repère.
L’esprit toujours en marge
Et le regard parfois en l’air,
Il fait sauter tous les barrages
Pour parcourir son univers.
Un monde créé par lui
Au plus profond de sa tête,
Où il s’envole où il s’enfuit
Espérant combler son mal d’être.
Comment décrire ce Paradis
Où le temps coule ou bien s’arrête.
Ici le cœur n’est plus meurtri
Ici le chagrin devient fête.
Ici le monde est idéal
Et change avec facilité.
On y séjourne pour une escale,
Refaire sa vie par la pensée.
Et dans ce lieu sacerdotal
Où nul ne pourrait pénétrer
S’unissent dans un même festival
Le rêve et la réalité.
Ce lieu divin il s’y laisse choir
Pour échapper a son destin
En recréant sa propre histoire
Et se construire un monde humain.
Ne soyez pas blasphématoire
Et laisser le dans son jardin.
Le faire descendre, tentative illusoire.
Laisser le suivre son seul chemin.
L’arbre Déchu
21 December 2006 - 10:13 PM
Bonjour
Avant toute chose je tiens à te remercier pour l'aide que tu apportes. Moi qui ait des lacunnes en orthographe c'est vraiment une aide précieuse.
Encore merci.
_____________
L’automne a vieilli le costume vert
Qui habillait l’arbre du printemps
Et laisse, le couturier de l’hiver,
Le revêtir de la tenue d’Adam.
Pourtant si droit pourtant si fier
Lorsque l’été en faisait un galant,
Ses ramées, squelettiques et vulgaires,
Ont perdu leur panache verdoyant.
Nu, laid, il semble en perpétuelle prière,
Misérable d’être ainsi indécent
Il est là, dépouillé, solitaire,
Comme un prince transformé en manant.
Attendris par autant de misère
Le ciel déverse ses cristaux d’argent
Qui volent, vers ce prisonnier de la terre
Et le recouvre d’un épais manteau blanc.
Avant toute chose je tiens à te remercier pour l'aide que tu apportes. Moi qui ait des lacunnes en orthographe c'est vraiment une aide précieuse.
Encore merci.
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L’automne a vieilli le costume vert
Qui habillait l’arbre du printemps
Et laisse, le couturier de l’hiver,
Le revêtir de la tenue d’Adam.
Pourtant si droit pourtant si fier
Lorsque l’été en faisait un galant,
Ses ramées, squelettiques et vulgaires,
Ont perdu leur panache verdoyant.
Nu, laid, il semble en perpétuelle prière,
Misérable d’être ainsi indécent
Il est là, dépouillé, solitaire,
Comme un prince transformé en manant.
Attendris par autant de misère
Le ciel déverse ses cristaux d’argent
Qui volent, vers ce prisonnier de la terre
Et le recouvre d’un épais manteau blanc.
L'oubli
18 December 2006 - 01:41 PM
Bonjour à tous.
Ce n'est que mon 4ième poème. Mais j'avoue avoir encore du mal à bien formuler des tournures poètiques. Alors n'hésitez pas à me faire tous les commentaires qui pourraient me faire progresser.
Merci pour votre aide.
______
L’oubli
Ce sable chaud où je me suis assis
A contempler cette vaste étendue d’eau
Fait naître en moi une nostalgie
Dans la mélodie des rouleaux.
Je regarde cette vague venue de loin.
Guider par le hasard ou le destin
Est-ce qu’elle achève ici sont long voyage ?
Est-ce qu’il commence ici sur ce rivage ?
Amante au corps pure et transparent,
Dans un cri semblable aux gémissements
Sa courbe pure se brise et puis s’étend
Pour mieux s’unir au sable blanc.
Elle s’en va comme elle est apparue
Loin de s’achever son voyage continu.
Est-ce donc le sable que j’entends
La retenir dans un cri déchirant.
Comme une amie, une amante,
Comme cette vague tu es venue
Tu as stoppée ma vie errante
Lui donnant un nouveau salut.
Telle une onde pure sur un étang
Ta vie a parcouru la mienne.
J’ai savouré tous les instants,
Instants de joie, instants de peine.
Nos corps et nos esprits ont fusionné,
J’ai voulu caresser la quintessence.
Entre mes doigts elle a glissé
S’est brisée comme de la Faïence.
Tu es partie comme tu es apparue,
Loin de s’achever ton voyage continu.
Est-ce donc mon coeur que j’entends
Te retenir dans un cri déchirant.
Dans l’immensité de cet océan
Les vagues se succèdent au gré du vent
Et dans la mélodie des rouleaux
Le sable aimera à nouveau.
Ce n'est que mon 4ième poème. Mais j'avoue avoir encore du mal à bien formuler des tournures poètiques. Alors n'hésitez pas à me faire tous les commentaires qui pourraient me faire progresser.
Merci pour votre aide.
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L’oubli
Ce sable chaud où je me suis assis
A contempler cette vaste étendue d’eau
Fait naître en moi une nostalgie
Dans la mélodie des rouleaux.
Je regarde cette vague venue de loin.
Guider par le hasard ou le destin
Est-ce qu’elle achève ici sont long voyage ?
Est-ce qu’il commence ici sur ce rivage ?
Amante au corps pure et transparent,
Dans un cri semblable aux gémissements
Sa courbe pure se brise et puis s’étend
Pour mieux s’unir au sable blanc.
Elle s’en va comme elle est apparue
Loin de s’achever son voyage continu.
Est-ce donc le sable que j’entends
La retenir dans un cri déchirant.
Comme une amie, une amante,
Comme cette vague tu es venue
Tu as stoppée ma vie errante
Lui donnant un nouveau salut.
Telle une onde pure sur un étang
Ta vie a parcouru la mienne.
J’ai savouré tous les instants,
Instants de joie, instants de peine.
Nos corps et nos esprits ont fusionné,
J’ai voulu caresser la quintessence.
Entre mes doigts elle a glissé
S’est brisée comme de la Faïence.
Tu es partie comme tu es apparue,
Loin de s’achever ton voyage continu.
Est-ce donc mon coeur que j’entends
Te retenir dans un cri déchirant.
Dans l’immensité de cet océan
Les vagues se succèdent au gré du vent
Et dans la mélodie des rouleaux
Le sable aimera à nouveau.
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