mathieu labelle

dans ce monde de consomation
nous ne sommes que des pions
sur ce grand échecquier
qu'est la société

le gouvernement nous vide les poche
afin de remplir celles de leurs proches
il subventionne les étrangers
afin qu'ils viennent tout exploiter

il serait temp de ce lever
pour stopper l'injustice
car c'est nos forets coupées
qui servent encore aux riches

on peu toujours rever
c'est pas demain que sa va arreter
car dans quelques années
c'est pas nous qui vons asphixier

commencons notre deuil
et admetton nos tords
et peut-être que quelques part
il restera des feuilles

Nous baignons dans une mare d’indifférence
Un monde dépendant à la consommation
Le Capitalisme, porte ouverte à la déchéance
Le piedestal de l’exploitation

La vie humaine se compte maintenant en profits
D’une population née dans l’inertie
Dans l’illusion de la complaisance
Nous devenons des épaves de l’ignorance

J’espère un jour me réveiller
Sans cette profonde humiliation
Face a cette humanité
Totalement dépourvue d’émotions

Les hommes sont hypnotiser par l’argent
Il ne se préoccupent même plus de leurs enfants
Ils démontrent autant d’empathie qu’un porc
Et lorsqu’ils réaliseront, ils seront déja mort

Le rêve d’un raisonnement global
D’une prise de conscience mondiale
Le médicament pour mon abjection
Ainsi qu’un espoir de progression