jalalri

En attendant

Comme le vinaigre sur la bouche du jésus…
Un espoir de lumière apparaît dans l’horizon
Puis il disparaît comme une gazelle blessée
Dans une forêt où l’écho ne revient pas
Je reste solitaire dans ta nuit….
En attendant que la rosée me mouille
En attendant que mon apogée revienne de sa mort
Et crie …pour toi
Comme les fleurs dans le silence du tombeau
La mort ne tue pas le mort….
Comme un oiseau qui immigre dans le mirage
Pénétré par la couleur du soleil couchant
Il ne ressemble qu’au brouillard….
Il reste solitaire dans ta nuit
En attendant que ton soleil lui rende visite
En attendant que tes oiseaux construisent ses nids
Et crient …pour moi
Comme la joie dans la danse de l’égorgé
Mes yeux pleurent de la gaieté !!!!
Comme le blâme en forme d’éloge…..
Je respire ton odeur pour faire entendre
Toutes les mélodies du bruit…
Et je remue ton feu en espérant que….
Ta neige allume la cendre
En attendant que notre cendre revienne à son origine
Et crie… pour nous
Je t’aime…
Dans le fond d’une caverne en sombre…
Je vis solitaire comme les fleuves orphelins…
Je ne maîtrise pas l’art de parole…
Je ne maîtrise que les défaites
Dans le fond de ma caverne en sombre…
Un espoir de lumière apparaît dans l’horizon
Puis il disparaît comme une gazelle blessée
Je t’aime…En attendant que mon apogée revienne de sa mort
Et crie …pour nous

J’ai vu quelque chose…
Plus belle que la couleur de l’aube…
Qui embrasse une goutte de rosée…
Sur les joues d’un blé…
Pour laurier la beauté de printemps…
Pour faire fondre la couleur du soleil couchant avec l’aube…
Dans tes cheveux…
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus pure que l’ennui de l’océan….
Qui contemple le visage du ciel…
Après le passage d’un orage…
Pour donner une voix au silence…
Pour refléter la couleur de ciel sur l’océan…
Dans tes yeux…
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus délicieuse que la timidité de tulipe
Qui palpite en lumière et en feu….
Pour séduire les papillons…
De mourir dans sa lumière…
Pour mélanger la couleur de fleurs avec les papillons…
Sur tes joues
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus haute que toutes les étoiles…
Plus chère que l’or…
Sourit comme la journée…
S’attriste comme la lune…
Pour colorer l’arc en ciel par des milliers de couleurs
De tes couleurs
Je t’aime

J’ai vu quelque chose…


J’ai vu quelque chose…
Plus belle que la couleur de l’aube…
Qui embrasse une goutte de rosée…
Sur les joues d’un blé…
Pour laurier la beauté de printemps…
Pour faire fondre la couleur du soleil couchant avec l’aube…
Dans tes cheveux…
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus pure que l’ennui de l’océan….
Qui contemple le visage du ciel…
Après le passage d’un orage…
Pour donner une voix au silence…
Pour refléter la couleur de ciel sur l’océan…
Dans tes yeux…
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus délicieuse que la timidité de tulipe
Qui palpite en lumière et en feu….
Pour séduire les papillons…
De mourir dans sa lumière…
Pour mélanger la couleur de fleurs avec les papillons…
Sur tes joues
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus haute que toutes les étoiles…
Plus chère que l’or…
Sourit comme la journée…
S’attriste comme la lune…
Pour colorer l’arc en ciel par des milliers de couleurs
De tes couleurs
Je t’aime

J’ai vu quelque chose…
Plus belle que la couleur de l’aube…
Qui embrasse une goutte de rosée…
Sur les joues d’un blé…
Pour laurier la beauté de printemps…
Pour faire fondre la couleur du soleil couchant avec l’aube…
Dans tes cheveux…
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus pure que l’ennui de l’océan….
Qui contemple le visage du ciel…
Après le passage d’un orage…
Pour donner une voix au silence…
Pour refléter la couleur de ciel sur l’océan…
Dans tes yeux…
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus délicieuse que la timidité de tulipe
Qui palpite en lumière et en feu….
Pour séduire les papillons…
De mourir dans sa lumière…
Pour mélanger la couleur de fleurs avec les papillons…
Sur tes joues
Je t’aime
J’ai vu quelque chose…
Plus haute que toutes les étoiles…
Plus chère que l’or…
Sourit comme la journée…
S’attriste comme la lune…
Pour colorer l’arc en ciel par des milliers de couleurs
De tes couleurs
Je t’aime

En attendant

Comme le vinaigre sur la bouche du jésus…
Un espoir de lumière apparaît dans l’horizon
Puis il disparaît comme une gazelle blessée
Dans une forêt où l’écho ne revient pas
Je reste solitaire dans ta nuit….
En attendant que la rosée me mouille
En attendant que mon apogée revienne de sa mort
Et crie …pour toi
Comme les fleurs dans le silence du tombeau
La mort ne tue pas le mort….
Comme un oiseau qui immigre dans le mirage
Pénétré par la couleur du soleil couchant
Il ne ressemble qu’au brouillard….
Il reste solitaire dans ta nuit
En attendant que ton soleil lui rende visite
En attendant que tes oiseaux construisent ses nids
Et crient …pour moi
Comme la joie dans la danse de l’égorgé
Mes yeux pleurent de la gaieté !!!!
Comme le blâme en forme d’éloge…..
Je respire ton odeur pour faire entendre
Toutes les mélodies du bruit…
Et je remue ton feu en espérant que….
Ta neige allume la cendre
En attendant que notre cendre revienne à son origine
Et crie… pour nous
Je t’aime…
Dans le fond d’une caverne en sombre…
Je vis solitaire comme les fleuves orphelins…
Je ne maîtrise pas l’art de parole…
Je ne maîtrise que les défaites
Dans le fond de ma caverne en sombre…
Un espoir de lumière apparaît dans l’horizon
Puis il disparaît comme une gazelle blessée
Je t’aime…En attendant que mon apogée revienne de sa mort
Et crie …pour nous