faim
-----------------------------
fin
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
- → Viewing Profile: Topics: Mojo
Community Stats
- Group TLPsien
- Active Posts 484
- Profile Views 8,547
- Member Title .............................
- Age Age Unknown
- Birthday Birthday Unknown
-
Gender
Not Telling
-
Location
BANGKOK
-
Interests
azzzzzziiiiiie!
Previous Fields
-
Publications
ca va venir, on y bosse, fin 2006 si tout va bien
0
Neutral
User Tools
Topics I've Started
Bon Appétit !
20 December 2006 - 10:49 AM
Chutes Libres
19 December 2006 - 05:38 AM
Une cataracte
une catastrophe
Une strophe patraque
Right on track.
Un oubli
Un ebouli
Une glissade
Palissade.
Un coquard
Un car
Un hopital
Sur la route la pluie joue avec le soleil.
une catastrophe
Une strophe patraque
Right on track.
Un oubli
Un ebouli
Une glissade
Palissade.
Un coquard
Un car
Un hopital
Sur la route la pluie joue avec le soleil.
L'automne M'etonne
12 December 2006 - 10:06 AM
La carapace bleue
D’un automne abyssal
Passe sous l’ombre horizontale des aulnes silencieux.
Le jardin timide miaule doucement
Le ruisseau balbutie d’antiques métaphores
Et je doute, soudain, de ce monde de craie.
D’un automne abyssal
Passe sous l’ombre horizontale des aulnes silencieux.
Le jardin timide miaule doucement
Le ruisseau balbutie d’antiques métaphores
Et je doute, soudain, de ce monde de craie.
Nuit Marabou
06 December 2006 - 10:51 AM
Sous la nuit marabou
Les étoilent bouent
Et débordent de leur bourse noire
Et emplissent l'air d'un parfum ivoire.
Ah ! Respirer leur poussière immobile
Jouer d'un doigt turbulent
Autour de leur âme atrabile
Et partir au fond de la campagne d'un pas chancelant,
Pas un témoin, ce soir, ne m'aura vu t'aimer.
Les étoilent bouent
Et débordent de leur bourse noire
Et emplissent l'air d'un parfum ivoire.
Ah ! Respirer leur poussière immobile
Jouer d'un doigt turbulent
Autour de leur âme atrabile
Et partir au fond de la campagne d'un pas chancelant,
Pas un témoin, ce soir, ne m'aura vu t'aimer.
Vioque Paradise
29 November 2006 - 10:42 AM
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi ce drôle de nom ?
Toi qui n'est qu'un vieux bonhomme fondant,
Toi qui crache par terre comme un paysan chinois
Toi qui jure par les Dieux les plus improbables
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi passes-tu chaque matin
Devant cette vieille maison de pierres,
Abandonnée en bord de route ?
Qu'as tu perdu dans ses couloirs gris ?
Ton enfance ou un grigri de rebouteux ?
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi ai-je le coeur en vrille
Quand j'aperçois titubante
Ta silhouette en cuir abyssin
précédant de peu tes regards indéfinitifs ?
Paradis, vieille branche, serais-tu moi ?
Pourquoi ce drôle de nom ?
Toi qui n'est qu'un vieux bonhomme fondant,
Toi qui crache par terre comme un paysan chinois
Toi qui jure par les Dieux les plus improbables
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi passes-tu chaque matin
Devant cette vieille maison de pierres,
Abandonnée en bord de route ?
Qu'as tu perdu dans ses couloirs gris ?
Ton enfance ou un grigri de rebouteux ?
Paradis, dis-moi, Paradis,
Pourquoi ai-je le coeur en vrille
Quand j'aperçois titubante
Ta silhouette en cuir abyssin
précédant de peu tes regards indéfinitifs ?
Paradis, vieille branche, serais-tu moi ?
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
- → Viewing Profile: Topics: Mojo
- Privacy Policy
- Poésie française ·