yazid

Le pluriel de Un,
C'est deux.

Pas les Zins,puis,
Les Zotres.
Les Zins,versus,
Les Zotres.

Purée de choux,
Blanc-de-carte,
Trop blanche(Blanche- neige floconne,sur les plaines et les monts,un manteau tu leurs donne,ç'est pourquoi nous t'aimons.)

Alors que les zondes,elles, dans Leurs pseudo-espaçe-de vas-y -si tu meurs,t'iras pas plus loin,
Qu'elkavaud'famille.
Disent:aimez-vous,
Les Zins les Zotres

Pas les Zins,puis,
Les Zotres.
Les Zins,versus,
Les Zotres

Purée de poix
Weiss ist zo weiss.
Wissen sie dass?
Zu weiss(Blanche-neige en l'espaçe ,tourbillonne gaiement,sans jamais etre lasse de choir du Firmament.

Des Zins et desZotres,
Naquirent les" Autres"
Et çe par la graçe,
Des Zondes

Cartes rouges,cartes jaunes,
Cartes blanches(Blanche-neige en déluge.......Pour donner à nos luges des chemins bien Glaçé.

Puis vinrent les Zinzins,
Avec les Zotres,les Zins
Et les' Autres' que vous
Nous sommes . Je suis
Un Zonde
Dans la zone avec ZiZi
Sur Gedi-Prime


God save our gracious Zondes
God save our noble Zondes

GOD SAVE THE ZONDES!!!!!!!!!!!!!!

Viens plus près,
De mon quinquet
Je veux toucher,
Tes yeux.

Ton corps trop,
Brulant,
Ne m'éclaire pas,
Mais me combure,
Trop lentement.

Viens plus près,
De mon quinquet
Je veux toucher
Tes yeux.

J'ai l'oeil fou,
De l'Amour.
De çelui que l'on craint,
Et Qu'on attend
Sans jamais(le )vouloir,
Le reçevoir,
Un Jour.

En Islande,rien
Ne raidit

Au sud les radis
finissent

Les rats ratissent
Les souriçeaux,
Les souris rient
Sous les raids,
Raides

Bah,ç'est Walt
Dissnes .
Et les rats,
Sont là -bas,
Nourris- par- nous.
Pars- nous-par-nous

On se penchent,
On s'epanchent ,
Sur des mots,dame;
UR

Penchez-vous,
Mon amour,sur
Ur

Uri mourra,sur
de Salomon.toi-
Meme

La mémé d'Inanna,
La voluptueuse,tue
David a chaque
Seconde

On se penchent,
On s'épanchent,
Sur des mots,dame Ur


Perché sur le gui qu'a
La meche, alors kenki
est doux.

Tout en sachant,
Tes épanchements.
Satche et tire.

Va à ton vava.
Satche sur ta Belga;
Sailor mourant

La mer est au père.
Le père a sa mère.
Et l'ennui nait.