Biensûr que s'élève le monde,
Biensûr que le peuple gronde ;
Biensûr que nous ne sommes plus sûr
De toutes ces idées pures
- Ou plutôt purement hypocrites -
De nos Hommes politiques
Qui évitent ce qui les irritent,
Nos sois-disant grands Hommes d'éthique.
Mais cela en vaut-il la peine?
Serrions-nous esclave de la haine?
Le feu destructeur que nous propageons
N'est que le reflet d'esprits de déraisons :
Ce feu enfume les yeux de l'âme,
Et en fait couler des actes infâmes.
"Réagir à l'échec par la violence"...
Mais quel est donc cet ouragan d'inconscience
Qui vient souffler dans nos pensées meurtries?
Chassant toute nos valeurs et encourageant le mépris,
A saccager, ruiner nos écoles - pourtant salvatrices
De l'ignorance, de la souffrance de l'exclusion -,
Cette tempête porteuse de remise en question
Est bien trop agressive pour être génératrice
D'un élan de renouveau, de paix et d'espoir...
Entendez comme ces mots sont dérisoires ;
Dans la bouche de ces centaines de gens,
Un seul cri ardent s'exprime :
"France ne vois-tu pas ton crime?
France, tu as délaissée nos enfants!"
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France...le peuple gronde!
12 November 2005 - 04:47 PM
Poeme en italien
03 November 2005 - 09:37 PM
Quando il buio viene nella mia vita,
Quando il buio mi fa tremare di paura,
Penso alora forte a te
E tutto si fa più chiaro ;
Penso alle tue dolce mani
Che mi carezzano piano, piano.
In questo momento non c'é più niente ;
Solo te, solo te,
Mio cuore e pieno d'amore ;
Solo per te, solo per te.
Tu che sei mio sole,
L'unico pensiero per sempre,
Prendemi nell tuoi braccia
E bacciami ancora...
(traduction en français)
Quand l'obscurité vient dans ma vie,
Quand l'obscurité me fait trembler de peur,
Je pense alors fort à toi
Et tout se fait plus claire ;
Je pense à tes douces mains,
Qui me caressent doucement, doucement.
A ce moment il n'y a plus rien ;
Seulement toi, seulement toi.
Mon coeur est plein d'amour ;
Seulement pour toi, seulement pour toi.
Toi qui est mon soleil,
Mon unique pensée pour toujours,
Prends-moi dans tes bras,
Et embrasse-moi encore...
Quando il buio mi fa tremare di paura,
Penso alora forte a te
E tutto si fa più chiaro ;
Penso alle tue dolce mani
Che mi carezzano piano, piano.
In questo momento non c'é più niente ;
Solo te, solo te,
Mio cuore e pieno d'amore ;
Solo per te, solo per te.
Tu che sei mio sole,
L'unico pensiero per sempre,
Prendemi nell tuoi braccia
E bacciami ancora...
(traduction en français)
Quand l'obscurité vient dans ma vie,
Quand l'obscurité me fait trembler de peur,
Je pense alors fort à toi
Et tout se fait plus claire ;
Je pense à tes douces mains,
Qui me caressent doucement, doucement.
A ce moment il n'y a plus rien ;
Seulement toi, seulement toi.
Mon coeur est plein d'amour ;
Seulement pour toi, seulement pour toi.
Toi qui est mon soleil,
Mon unique pensée pour toujours,
Prends-moi dans tes bras,
Et embrasse-moi encore...
Homme à la peau chocolat
24 October 2005 - 06:18 PM
J'ai vu le sang rouge couler
Sur sa peau couleur café
J'ai vu la souffrance cachée
Dans ses yeux baissés
Et la haine gronder dans son esprit
Face à tant d'injuste mépris.
Il était là, au sol, recroquevillé,
Encaissant les coups pleuvant
Sans pouvoir les éviter,
Sans pouvoir, juste un instant,
Reprendre son souffle éssouflé,
Il était là, au sol, recroquevillé,
Mais personne n'a bouger.
J'ai vu, alors dans son coeur
La réalité poignante du malheur
La vérité déchirante de la vie
Pour ceux qui se résigne à la misére
Face aux hommes au coeur de pierre.
En mon âme le gouffre s'est agrandi
Sur mes joues les larmes ont couler :
Elle me dépasse cette horreur
Ca me dépasse tant de malheur!
Homme à la peau chocolat
J'aurais tant aimé
Rien qu'une fois
Etre à tes côtés
Et dire que que plus jamais,
Jamais rien ne t'atteindra...
Sur sa peau couleur café
J'ai vu la souffrance cachée
Dans ses yeux baissés
Et la haine gronder dans son esprit
Face à tant d'injuste mépris.
Il était là, au sol, recroquevillé,
Encaissant les coups pleuvant
Sans pouvoir les éviter,
Sans pouvoir, juste un instant,
Reprendre son souffle éssouflé,
Il était là, au sol, recroquevillé,
Mais personne n'a bouger.
J'ai vu, alors dans son coeur
La réalité poignante du malheur
La vérité déchirante de la vie
Pour ceux qui se résigne à la misére
Face aux hommes au coeur de pierre.
En mon âme le gouffre s'est agrandi
Sur mes joues les larmes ont couler :
Elle me dépasse cette horreur
Ca me dépasse tant de malheur!
Homme à la peau chocolat
J'aurais tant aimé
Rien qu'une fois
Etre à tes côtés
Et dire que que plus jamais,
Jamais rien ne t'atteindra...
Aime-moi!...puisque la vie n'est qu'un passage
08 October 2005 - 11:34 AM
Aime-moi, encore et plus fort
Aime-moi jusqu'à la mort
Et même au delà :
Puisque la vie n'est qu'un passage
Moi je veux garder ton visage
Pour toujours auprès de moi.
Ah! mon ange, console-moi
De tous ces tracas
De toutes ces peines amères
Qui navigue sur les mers
De mon coeur trop fragile ,
Aime-moi, c'est si facile!
Aime-moi et protège-moi
De tous mes désarrois,
Dis-moi à l'infinie
Que belle serra notre vie.
Parle-moi toujours
De chaque futur jours
Où je me réveillerrais dans tes bras
Et je pourrais savourer ta simple présence
Puisqu'on ne sait jamais quand survient l'absence
Moi je veux t'aimer, t'aimer et vivre pour toi.
Aime-moi jusqu'à la mort
Et même au delà :
Puisque la vie n'est qu'un passage
Moi je veux garder ton visage
Pour toujours auprès de moi.
Ah! mon ange, console-moi
De tous ces tracas
De toutes ces peines amères
Qui navigue sur les mers
De mon coeur trop fragile ,
Aime-moi, c'est si facile!
Aime-moi et protège-moi
De tous mes désarrois,
Dis-moi à l'infinie
Que belle serra notre vie.
Parle-moi toujours
De chaque futur jours
Où je me réveillerrais dans tes bras
Et je pourrais savourer ta simple présence
Puisqu'on ne sait jamais quand survient l'absence
Moi je veux t'aimer, t'aimer et vivre pour toi.
Certaines choses ne se disent pas
07 October 2005 - 08:02 PM
Certaines choses ne se disent pas,
Certains mots ne se prononcent pas,
Et ces choses restent alors en moi,
Et ces mots s'étouffent alors en moi.
Pourtant, je voudrais tant,
Vous dire ma douleur,
Vous dire mon bonheur...
Et pourtant, pourtant,
Les mots de souffrance
Ne riment étrangement jamais,
Et Font un accord mauvais
Avec ceux d'innocence.
Mais dite-moi qui comprend,
Cet imprononcable sentiment
D'avoir en soi la tristesse des jours gris
D'avoir en soi la gaité de la vie ;
Les deux en même temps
L'un à l'autre se raccrochant
Bien que faux amants,
Bien que si différents.
Certaines choses ne se disent pas,
Certains mots ne se prononcent pas,
Mais le silence, ces choses vous les renvoit,
Mais le silence, vous lit ces mots en moi.
Certains mots ne se prononcent pas,
Et ces choses restent alors en moi,
Et ces mots s'étouffent alors en moi.
Pourtant, je voudrais tant,
Vous dire ma douleur,
Vous dire mon bonheur...
Et pourtant, pourtant,
Les mots de souffrance
Ne riment étrangement jamais,
Et Font un accord mauvais
Avec ceux d'innocence.
Mais dite-moi qui comprend,
Cet imprononcable sentiment
D'avoir en soi la tristesse des jours gris
D'avoir en soi la gaité de la vie ;
Les deux en même temps
L'un à l'autre se raccrochant
Bien que faux amants,
Bien que si différents.
Certaines choses ne se disent pas,
Certains mots ne se prononcent pas,
Mais le silence, ces choses vous les renvoit,
Mais le silence, vous lit ces mots en moi.
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