Dans le vent de ses yeux
Dans le vert de ses yeux
Il y avait d’autre terre
Dans l’immense clairière
Des châteaux fabuleux
Et rien n’était chimère
Dans le vert de ses yeux
Dans le vert de ses yeux
Il avait l’espérance
Un jour je m’en souviens
Elle me dit a s’en méfiance
Au pays qui est le sien
Au pays de ses yeux
Elle marchait devant moi
Elle sautillait légère
Sur le sentier étroit
Que bordait la bruyère
Mais chacun de mes pas
Faisait crouler la terre
Un abîme s’est creuser
Dans le vert de ses yeux
Et sans même un adieu
Je l’a vis s’éloigner
Et plus je l’appelais
Et plus je l’a perdais
J’ai perdus mon amour
Dans un pays d’amour
Et j’ai chercher en vain
Pour retrouver le chemin
Qui mène sous d’autre cieux
Au pays de ses yeux

brisa roché

dédicacé à moderateur
et tous les connards qui repousent la franchise.

chochottes
fils de pute

ô il faut être polie
fils de pute

ne pas blesser surtout les âmes purs
fils de pute

ô ces lâches
fils de pute...

je me considère comme quelqu’un d’intelligent
de sensible
mais affublé d’une âme de clown…
( james douglas morrisson)

En cinq sec

ma rime reste
à droite
sans jamais polir ses angles
adroite
elle est l’émirat

après sept en de malheur
le miroir s’est fissuré
... puis émietté

... poètes
... philosophes

s’agenouillent et recollent
sa dépouille atomisée...

le reflet ensuite se veut violent…

après sept autre années de malheur
mêlées d'espoir d’enfin se voir

... poètes
... philosophes

brisent le miroir

D'un sourire de sa cuisse

Rafistoler
Méphistophélès

puis
mépris trop laid
contrôlé

permis de port d'aile

elle
si belle dans sa tenue nuptial
nue

elle éveille les fièvres frugales
féeries initiales

Ah les frivoles décibels
douce à soupirer

les déclins de cils
les sous rires puérils

soupir et ...