bravo nico
christian
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In Topic: POEME
02 October 2005 - 04:22 PM
In Topic: l'espace s'est disloqué
02 October 2005 - 12:27 PM
l'espace s'est disloqué
lacéré par nos bras trop souvent
tendus vers le ciel
nous errons tête basse
nos poings chargés de haine
ont martelé tant de portes closes
fait si souvent buisson creux
la face douloureuse de l'homme
n'est plus que boue et crachats
sous l 'ongle il y a du sang caillé
et de l'amertume on a tué aussi
la vie ne va plus danser elle a oublié
valse et rires bastringue et guinguettes
le bord de l'eau est veuf
la rivière emporte les filles mortes
nous sommes des enfants tristes
qui vont â la fête encore boire du vin
mais ce n'est pas le sang du christ
le cépage s'est fait trop noueux
le ciel est devenu trop grand
on n' y trouve ni sang ni messie
ciel espace trop petits ou grands qui le dira
l' espoir s'épuise tout fuit et disparaît
des portière claquent dans le noir on part
tout est allé trop vite nous n'avions pas
thésaurisé notre temps il a flambé
nous avions cru au bonheur et attendu
mais ce n'est pas lui ce soir que j'entends
descendre le boulevard au pas cadencé
le temps fuit nous buvons notre vin
mangeons notre pain séchons nos larmes
lacéré par nos bras trop souvent
tendus vers le ciel
nous errons tête basse
nos poings chargés de haine
ont martelé tant de portes closes
fait si souvent buisson creux
la face douloureuse de l'homme
n'est plus que boue et crachats
sous l 'ongle il y a du sang caillé
et de l'amertume on a tué aussi
la vie ne va plus danser elle a oublié
valse et rires bastringue et guinguettes
le bord de l'eau est veuf
la rivière emporte les filles mortes
nous sommes des enfants tristes
qui vont â la fête encore boire du vin
mais ce n'est pas le sang du christ
le cépage s'est fait trop noueux
le ciel est devenu trop grand
on n' y trouve ni sang ni messie
ciel espace trop petits ou grands qui le dira
l' espoir s'épuise tout fuit et disparaît
des portière claquent dans le noir on part
tout est allé trop vite nous n'avions pas
thésaurisé notre temps il a flambé
nous avions cru au bonheur et attendu
mais ce n'est pas lui ce soir que j'entends
descendre le boulevard au pas cadencé
le temps fuit nous buvons notre vin
mangeons notre pain séchons nos larmes
In Topic: Quand les squares ferment pour toujours
26 September 2005 - 10:56 PM
Tu les écrases tous hélo, tous ...
chris
chris
In Topic: La pénultième saison
19 September 2005 - 10:49 AM
[size=18]chère Héloïse,
il faut bien que je te le dise, je trouve ce texte très confus et il tient beaucoup du kaléidoscope... trop de visions différentes s'y heurtent et on se croirait dans un joyeux caravansérail ... je suis chameau hein !
Mais je serais tenté de dire que ce texte a été écrit à 4 pattes, par derrière, en d'autres termes et Dieu sait ... ce qu'il n'aime pas savoir : tu n'aimes pas ça.
amitiés chr.
il faut bien que je te le dise, je trouve ce texte très confus et il tient beaucoup du kaléidoscope... trop de visions différentes s'y heurtent et on se croirait dans un joyeux caravansérail ... je suis chameau hein !
Mais je serais tenté de dire que ce texte a été écrit à 4 pattes, par derrière, en d'autres termes et Dieu sait ... ce qu'il n'aime pas savoir : tu n'aimes pas ça.
amitiés chr.
In Topic: il n'y a rien
17 September 2005 - 11:57 AM
[size=18]Il n’y a rien en moi
sinon cette cinglante inanité d’être
moi et rien que moi
un long sanglot cruel fait de fer et de silex
s’affrontant pour le feu
des traîneaux tirés par les chiens fatigués
une longue approche des pôles
rien à part cet horizon d’avis de recherche
rien hormis cette absence nouée à mon cou
pas de gouffres pas de nuit pas de fantômes
pas d’anges de saints de dieu pas de lumière
il n’y a rien que ces lignes et le silence dû
sinon cette cinglante inanité d’être
moi et rien que moi
un long sanglot cruel fait de fer et de silex
s’affrontant pour le feu
des traîneaux tirés par les chiens fatigués
une longue approche des pôles
rien à part cet horizon d’avis de recherche
rien hormis cette absence nouée à mon cou
pas de gouffres pas de nuit pas de fantômes
pas d’anges de saints de dieu pas de lumière
il n’y a rien que ces lignes et le silence dû
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