Parmi ces utopies que l’on éventre
Parmi ces maux dont point on ne se passe
En ces voies divines, traîtres impasses
Le dégoût à la main, l’Amertume entre
Fusille les jeunes espoirs, doux chantres
Qui alors gisent, réminiscants de grâce
Giclés en astres rumeurs, en soupirs crasse
Leurs parfums dansant liquéfiés dans l’antre
Ainsi, en un geste d'une vie le coeur vieillit…
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Les âges
29 July 2006 - 10:31 PM
C.l-s.
21 February 2006 - 03:31 AM
suite à la phrase récente d'un philosophe de son genre qui a déclaré : "ce n'est pas un monde où il fait bon de mourir"
Sage comme s’il avait vu Rome naître
Pâtre d’un troupeau de mille peut-être
Prêtre devant Dieu, point dans la lettre
Philosophe pieux, savant de son maître
Qui peut mieux partir
Et en un souffle bas, dire :
« Finir en ce monde là
Est plus douloureux que de mourir deux fois »
Sage comme s’il avait vu Rome naître
Pâtre d’un troupeau de mille peut-être
Prêtre devant Dieu, point dans la lettre
Philosophe pieux, savant de son maître
Qui peut mieux partir
Et en un souffle bas, dire :
« Finir en ce monde là
Est plus douloureux que de mourir deux fois »
de l'avoir
15 December 2005 - 09:14 PM
Labourer dans la vacuité des lendemains
Sans jamais dire mot sur le mal qui nous ronge
Faibles tels l’aurore grisâtre d’un mauvais songe
Quand le désir ébruité nous brûle les mains.
Enfants d’un père sans nom et sans visage
Nos rêves sont claires et fait de mille biens
« Qui peut vraiment être s’il n’a rien de rien ? »
La question vaut chère pour nos cœurs si peu sages.
Les factures du bonheur écrasent la raison
Il faut avoir plus pour fuir de nos prisons
Plus de bordel, moins de significations
Se gaver comme des porcs de nos émotions
S’adonner âmes et corps et en toutes saisons
Au combat contre la mort de nos passions.
Sans jamais dire mot sur le mal qui nous ronge
Faibles tels l’aurore grisâtre d’un mauvais songe
Quand le désir ébruité nous brûle les mains.
Enfants d’un père sans nom et sans visage
Nos rêves sont claires et fait de mille biens
« Qui peut vraiment être s’il n’a rien de rien ? »
La question vaut chère pour nos cœurs si peu sages.
Les factures du bonheur écrasent la raison
Il faut avoir plus pour fuir de nos prisons
Plus de bordel, moins de significations
Se gaver comme des porcs de nos émotions
S’adonner âmes et corps et en toutes saisons
Au combat contre la mort de nos passions.
L'espace neutre
14 December 2005 - 05:23 PM
Dédalles de bétons...
edit, edit, je pense et dis
"dois-je l'y laisser?"
lasse la raison induis
"pourquoi continuer?
édite, précise qu'il
retourne à l'inédit"
voilà, c'est dit
mon poème est repris....
edit, edit, je pense et dis
"dois-je l'y laisser?"
lasse la raison induis
"pourquoi continuer?
édite, précise qu'il
retourne à l'inédit"
voilà, c'est dit
mon poème est repris....
la haine du chêne
12 December 2005 - 12:37 AM
Complainte du vieux chêne
L'écorce sè...
Nous voici devant un problème
Mais où est passé ce poème?
A ce moment quelque peu gênant
Voici son message que je vous lis
"Lecteurs, auteur, je me suis enfuis
Fort heureux où je suis maintenant
Allons poète ne pleure tout ton sang
Tu n'as rien perdu j'étais trop dissonnant"
Que penser? Que croire? Que dire?
songez vous comme moi au pire?...
L'écorce sè...
Nous voici devant un problème
Mais où est passé ce poème?
A ce moment quelque peu gênant
Voici son message que je vous lis
"Lecteurs, auteur, je me suis enfuis
Fort heureux où je suis maintenant
Allons poète ne pleure tout ton sang
Tu n'as rien perdu j'étais trop dissonnant"
Que penser? Que croire? Que dire?
songez vous comme moi au pire?...
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