Caché dans les plis du béton
Je reste assis dans mes fumées
Où se brisent les mers de sons
Venues des veillées avinées
Les vapeurs sourdes, vives, folles
Empestent lourdes ma retraite
Où j'empile les formes molles
Echouées des marais de ma tête
N'y tenant plus je sors : je glisse
Au bord des faces de la masse
Et je contemple avec délice
[list](Elles ne sont pas pour ta race
O Solitaire plein de vice !)[/i][list]
Les joies naïves de la place
Eternellement subreptices
Futilités tachées de grâce
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Le pénitent impénitent (sonnet)
11 October 2005 - 04:57 AM
O Nue ! Eaux ! Lune ! Tout !
18 September 2005 - 12:03 AM
Le sel et le lointain parfume la baie nue
Ou le vent s'est leve avec des formes d'eaux
Ectoplasmiques ou vient se fondre la lune
Au jour de sa lumiere elle nous donne tout
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Ardent j'ai desire qu'on mette enfin a nu
Nos corps si dangeureux qu'on en cachait les eaux
Odorantes sucrees : la souriante lune
M'avait autorisee a le lui montrer tout
M'executant sauvage avec mon sexe nu
Virile je percai a jour ses grandes eaux
Vainqueur' je penetrais au coeur de sa plein' lune
Je croyais triompher en y devastant tout
Me baignant dans ses mers ou j'etais seule et nue
Fondue dans les reflets que souleve les eaux
(le monde etait plus loin que la lointaine lune)
J'augurais ma future immersion au grand Tout
Mais j'en sortis clochard : le ver n'est pas plus nu
Que l'avide ruine dans les saumatres eaux
D'apres, ou ne veut pas -- meme briller la lune
Ni le sage ou le fou, la ou on jette tout...
Puis sur ces souvenirs passerent les deserts nus
Des jours, des ans, rapid's comme les vives eaux
Des oceans ou vient plonger la changeant' lune
Mais ils fossilisaient, nichant au marais tout
Au fond de mon coeur vert dont la plaie meme est nue
Ce jour ou s'ecoulent enfin les libres eaux
De la chanson muett' -- comme un chant de la lune
Discrete mais tenace ell' s'epanche sur tout
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Ou le vent s'est leve avec des formes d'eaux
Ectoplasmiques ou vient se fondre la lune
Au jour de sa lumiere elle nous donne tout
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Ardent j'ai desire qu'on mette enfin a nu
Nos corps si dangeureux qu'on en cachait les eaux
Odorantes sucrees : la souriante lune
M'avait autorisee a le lui montrer tout
M'executant sauvage avec mon sexe nu
Virile je percai a jour ses grandes eaux
Vainqueur' je penetrais au coeur de sa plein' lune
Je croyais triompher en y devastant tout
Me baignant dans ses mers ou j'etais seule et nue
Fondue dans les reflets que souleve les eaux
(le monde etait plus loin que la lointaine lune)
J'augurais ma future immersion au grand Tout
Mais j'en sortis clochard : le ver n'est pas plus nu
Que l'avide ruine dans les saumatres eaux
D'apres, ou ne veut pas -- meme briller la lune
Ni le sage ou le fou, la ou on jette tout...
Puis sur ces souvenirs passerent les deserts nus
Des jours, des ans, rapid's comme les vives eaux
Des oceans ou vient plonger la changeant' lune
Mais ils fossilisaient, nichant au marais tout
Au fond de mon coeur vert dont la plaie meme est nue
Ce jour ou s'ecoulent enfin les libres eaux
De la chanson muett' -- comme un chant de la lune
Discrete mais tenace ell' s'epanche sur tout
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