Sous moi je te ferais cris des plaisirs ou mains s’attachent et ce lient
Dans tes yeux je laisserais l’émotion devenir voile d’arc en ciel
Des profondeurs de ton corps je chercherais les chemins de l’infini
En toi je serais pourvoyeur des larmes qui t’inonderont de miel
Ta peau tremblera sous les amants déchainés en passion d’aimer
Lorsque tu seras au paroxysme de l’envie mes baisers seront morsures
Tes reins deviendront tempêtes, ta bouche cherchera juste la criée
Ensemble nous lèverons les tempêtes et les besoins forceront l’allure
De soldats nous deviendrons guerriers menant le combat des géants
Tu t’ouvriras en écrin sous la demande empressée de mes mains
En toi je donnerais les cris des jouissances ou l’homme devient néant
D’amante tu deviendras femme par cette union au gout certain
Dps
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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DÉchainement
09 December 2006 - 04:47 PM
MÉmoire De La Pierre
03 December 2006 - 12:52 PM
Des entrailles de la terre surgissent les contours des abbayes
Effluves des pierres taillées par l’homme en offrandes données
De la blancheur révélée les formes deviennent témoins inouïs
Du tuffeau extrait en larmes de l’histoire en dessins du passé
Dans le ventre de la terre nourricière murs et gargouilles sont
Le travail de l’orfèvre a attrapé les fragments aux dédales forés
De l’imaginaire nait la vérité, la connaissance est seule raison
L’artiste a pris au sein de la glaise les parures de la nature cédée
Sous la gangue surgissent tel des joyaux les modèles exposés
Mère nature a rendue formes des enroulements pris en partage
Le spectacle est grandeur de la dimension de ce chemin creusé
La force est pénétrante en l’âme devenue silencieuse et sage
Que dire de ce spectacle ou émergent volutes enchâssées dans l’écrin
La douceur des formes révèle la force de ce cadeau de dame nature
Héritage des millénaires mis a jour sous le marteau du dieux des mains
Artiste laissant sur les murailles la mémoire gravée dans la pierre dure
Alors moi passant d’un jour en ce lieu majestueux je laisse hommage
A ce travail ou se mêle la beauté des formes et le talent du créateur
Promenade qui a gravée ne mon esprit le besoin de mesurer les âges
Sur un tempo de musique ou l’instant devint moment de seul bonheur
En mes yeux ils ont gravés a jamais l’éclat des siècles révélés en splendeur
Cathédrale engloutie sous la gaine des temps donnant aux âmes absolution
Chaland prend le temps de lire à travers l’espace spirituel cela est honneur
Tu repartiras avec en toi la force de ce lieu ou amour du temps est passion
Dps
Effluves des pierres taillées par l’homme en offrandes données
De la blancheur révélée les formes deviennent témoins inouïs
Du tuffeau extrait en larmes de l’histoire en dessins du passé
Dans le ventre de la terre nourricière murs et gargouilles sont
Le travail de l’orfèvre a attrapé les fragments aux dédales forés
De l’imaginaire nait la vérité, la connaissance est seule raison
L’artiste a pris au sein de la glaise les parures de la nature cédée
Sous la gangue surgissent tel des joyaux les modèles exposés
Mère nature a rendue formes des enroulements pris en partage
Le spectacle est grandeur de la dimension de ce chemin creusé
La force est pénétrante en l’âme devenue silencieuse et sage
Que dire de ce spectacle ou émergent volutes enchâssées dans l’écrin
La douceur des formes révèle la force de ce cadeau de dame nature
Héritage des millénaires mis a jour sous le marteau du dieux des mains
Artiste laissant sur les murailles la mémoire gravée dans la pierre dure
Alors moi passant d’un jour en ce lieu majestueux je laisse hommage
A ce travail ou se mêle la beauté des formes et le talent du créateur
Promenade qui a gravée ne mon esprit le besoin de mesurer les âges
Sur un tempo de musique ou l’instant devint moment de seul bonheur
En mes yeux ils ont gravés a jamais l’éclat des siècles révélés en splendeur
Cathédrale engloutie sous la gaine des temps donnant aux âmes absolution
Chaland prend le temps de lire à travers l’espace spirituel cela est honneur
Tu repartiras avec en toi la force de ce lieu ou amour du temps est passion
Dps
Sans Retour
03 December 2006 - 12:50 PM
Je t’ai donné mes mots chaque jour en partage
As-tu compris les valeurs de ces lettres de sang
Moi simple troubadour, j’étais devenu un sage
Laissant mon âme devenir émois sur le temps
Du non existence je deviens fou par les larmes
De joie, ma vision est devenue ombre sur moi
Je reste dans l’incertitude, abandonné au drame
De ne pas comprendre la déchéance de l’émoi
Les peurs sont devenues terreurs, le repos est absent
Des soifs de la source de mes mains devenues inutiles
Reste le gravier qui donne l’instant au sablier du temps
Seul je resterais a jamais hors de ce monde qui mutile
Crier aux cieux serait vain, les dieux sont sans audiences
Pleurer sur le passé ou les rires chantaient a mon cœur
Puéril besoin de ce don partagé sur le chemin d’absence
Alors sans comprendre je laisse la ma vie sans rancœur
Inutile parcours ou l’impossible était la vérité des âges
Déposant mes armes je jette aux flots mes mots accessoires
Que les vents portent en missive tendre ce seul message
Ou je suis devenu errance tel un damné ou aimer est surseoir
Dps
As-tu compris les valeurs de ces lettres de sang
Moi simple troubadour, j’étais devenu un sage
Laissant mon âme devenir émois sur le temps
Du non existence je deviens fou par les larmes
De joie, ma vision est devenue ombre sur moi
Je reste dans l’incertitude, abandonné au drame
De ne pas comprendre la déchéance de l’émoi
Les peurs sont devenues terreurs, le repos est absent
Des soifs de la source de mes mains devenues inutiles
Reste le gravier qui donne l’instant au sablier du temps
Seul je resterais a jamais hors de ce monde qui mutile
Crier aux cieux serait vain, les dieux sont sans audiences
Pleurer sur le passé ou les rires chantaient a mon cœur
Puéril besoin de ce don partagé sur le chemin d’absence
Alors sans comprendre je laisse la ma vie sans rancœur
Inutile parcours ou l’impossible était la vérité des âges
Déposant mes armes je jette aux flots mes mots accessoires
Que les vents portent en missive tendre ce seul message
Ou je suis devenu errance tel un damné ou aimer est surseoir
Dps
Je Ne Veux Plus Donner
17 November 2006 - 07:01 AM
JE NE VEUX PLUS DONNER
J’aime offrir les mots de l’amour en chant sur les âmes
Parfois ils tombent en silence sur les yeux des peines
Laissant stigmates des bonheurs passés devenus diffame
Jamais ils ne sont pleurs sur nos maux devenus haine
Je préfère garder en mon cœur ces griffonnés de tendresse
Je ne sais pas les livrer autrement qu’en mélange d’amour
Ils sont mes étonnements, jetées la parfois avec maladresse
Laisser traces de mes pensées en calligraphies de troubadour
Saurais-je un jour offrir ces termes en véritable valeurs
Ou bien dois je taire ma passion de ce plaisir de mots
Qu’ils restent apaisement de mon âme déchirée par peurs
Enfouis au fond de mon esprit calmant mes seuls maux
Laissant mes pensées en catalepsies sur la terre brulée
Des tourmentes passées sur ce monde de non retour
Par la mise à sang de mes paroles misent en camouflet
Sur les profondeurs de ma passion d’aimer toujours
Dps
J’aime offrir les mots de l’amour en chant sur les âmes
Parfois ils tombent en silence sur les yeux des peines
Laissant stigmates des bonheurs passés devenus diffame
Jamais ils ne sont pleurs sur nos maux devenus haine
Je préfère garder en mon cœur ces griffonnés de tendresse
Je ne sais pas les livrer autrement qu’en mélange d’amour
Ils sont mes étonnements, jetées la parfois avec maladresse
Laisser traces de mes pensées en calligraphies de troubadour
Saurais-je un jour offrir ces termes en véritable valeurs
Ou bien dois je taire ma passion de ce plaisir de mots
Qu’ils restent apaisement de mon âme déchirée par peurs
Enfouis au fond de mon esprit calmant mes seuls maux
Laissant mes pensées en catalepsies sur la terre brulée
Des tourmentes passées sur ce monde de non retour
Par la mise à sang de mes paroles misent en camouflet
Sur les profondeurs de ma passion d’aimer toujours
Dps
Ombres De Nos Tourments
17 November 2006 - 06:59 AM
OMBRES DE NOS TOURMENTS
Elles rodent sur la lumière des vies déchirées en silence
Déposant l’affreuse morsure du glacial en l’âme déchirée
Mutant en brulures par ténacité des conditions d’absences
Rien ne calme cette malédiction ou le cœur est si blessé
Les yeux sont sépulcres des lumières comme finalité ordonnée
Reste les larmes jetées sur la chair de sang par la souffrance
Mise en épave de l’être devenu charnier des sentiments lacérés
Levant devant la dépouille les capharnaüms de la déchéance
Sans gout la route est mortification des moments d’errances
La douleur est si forte que le corps en rejette toute pénitence
Pourquoi faut-il être massacré par les sentiments en sentence
Sommes nous damnés par les défaites menant a la décadence
Combat ou nous sommes perdants sur les chants de la défaite
Frêle guerrier de ces luttes ou les tripes deviennent déjection
Par les nausées accordées à nos ventres devenus troubles fête
Sur cette souffrance ou hurlements sont vains en désaffection
Devenir vivant en étant spectre de cette terre par les regards
Solitude glacée des errants en quêtent des paroles d’amour
Laissant les cendres au fond des bouches ou mort est retard
Déposant sur les martyrs la question du pourquoi toujours
Dps
Elles rodent sur la lumière des vies déchirées en silence
Déposant l’affreuse morsure du glacial en l’âme déchirée
Mutant en brulures par ténacité des conditions d’absences
Rien ne calme cette malédiction ou le cœur est si blessé
Les yeux sont sépulcres des lumières comme finalité ordonnée
Reste les larmes jetées sur la chair de sang par la souffrance
Mise en épave de l’être devenu charnier des sentiments lacérés
Levant devant la dépouille les capharnaüms de la déchéance
Sans gout la route est mortification des moments d’errances
La douleur est si forte que le corps en rejette toute pénitence
Pourquoi faut-il être massacré par les sentiments en sentence
Sommes nous damnés par les défaites menant a la décadence
Combat ou nous sommes perdants sur les chants de la défaite
Frêle guerrier de ces luttes ou les tripes deviennent déjection
Par les nausées accordées à nos ventres devenus troubles fête
Sur cette souffrance ou hurlements sont vains en désaffection
Devenir vivant en étant spectre de cette terre par les regards
Solitude glacée des errants en quêtent des paroles d’amour
Laissant les cendres au fond des bouches ou mort est retard
Déposant sur les martyrs la question du pourquoi toujours
Dps
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