Le rêve
Cette rivière comme elle est belle
On dirait le chant des sirènes
J’en ais l’esprit enseveli
De toute ces rêveries
Mon cœur est abandonné
Dans cette splendide forêt
Où l’on fait qu’entendre
Le chant de l’oiseau tendre
J’ai écouté jusqu’à à dormir
J’ai fermé les yeux
Je suis partis vivre
Dans un monde plus merveilleux
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Le Rêve
05 March 2006 - 06:32 PM
Souvenir
24 December 2005 - 02:12 AM
J’aime ce parfum d’été
Ce vent frais, qui vous caresse
Ces fruits qu’on ne cesse
De dévoré
Mais quand vient la pluie
Le paysage n’est plus aussi beau
Que les jours on l’on vies !
Bien près de l’eau
Pouvons nous dire
Que le temps viendra
Qu’on écrira
Qu’oublier tout ceci est pire
Moi je ne veux oublier
Que tout mes regrets
De ne pas lui avoir dit
A quel point ma vie
Est triste loin de lui
Et pourtant je vie sans lui
Il est bien parti
Très loin de moi
Je me rappel encore
De ses grands yeux
Ils étaient si bleus
Que même tout l’or
Ne satisferais ma peine
Et mes pleures
Mais je ne dois avoir de haine
Quand vers moi-même
Ce vent frais, qui vous caresse
Ces fruits qu’on ne cesse
De dévoré
Mais quand vient la pluie
Le paysage n’est plus aussi beau
Que les jours on l’on vies !
Bien près de l’eau
Pouvons nous dire
Que le temps viendra
Qu’on écrira
Qu’oublier tout ceci est pire
Moi je ne veux oublier
Que tout mes regrets
De ne pas lui avoir dit
A quel point ma vie
Est triste loin de lui
Et pourtant je vie sans lui
Il est bien parti
Très loin de moi
Je me rappel encore
De ses grands yeux
Ils étaient si bleus
Que même tout l’or
Ne satisferais ma peine
Et mes pleures
Mais je ne dois avoir de haine
Quand vers moi-même
de la vie à la mort
24 December 2005 - 02:02 AM
De la vie à la mort
Ils étaient empilés
Ces pauvres humains
Ne ressemblant plus à rien
Qui n’étaient pas encore enterré
Acharner à travailler pour ne pas tomber
Se battre pour ne pas finir exterminer
Vivre ou seulement continuer
A ne plus se ressembler
Déambuler de salle en salle
N’être plus qu’un cadavre
Qui ne fait que marcher
Tout au long de la journée
Il n’y a plus de famille composer
Ils sont partis pour un temps indéterminé
Peut être l’ont il oublier
Le laisser là terroriser
Il savait qu’il n’en avait plus pour longtemps
On lui avait dit mon enfant
Tu n’est pas assez grand
Pour comprendre se monde de tyrans
Ils étaient empilés
Ces pauvres humains
Ne ressemblant plus à rien
Qui n’étaient pas encore enterré
Acharner à travailler pour ne pas tomber
Se battre pour ne pas finir exterminer
Vivre ou seulement continuer
A ne plus se ressembler
Déambuler de salle en salle
N’être plus qu’un cadavre
Qui ne fait que marcher
Tout au long de la journée
Il n’y a plus de famille composer
Ils sont partis pour un temps indéterminé
Peut être l’ont il oublier
Le laisser là terroriser
Il savait qu’il n’en avait plus pour longtemps
On lui avait dit mon enfant
Tu n’est pas assez grand
Pour comprendre se monde de tyrans
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