roca claude

LETTRE A MON PERE .







Après des années d’indifférence, voilà que tu reviens.
Toi père, que j’ai jugé à tort ou avec raison,
Je ne peu oublier mon passé, d’un enfant mal aimé.
Le passé ne peu s’effacer comme l’ardoise de l’école.
Malgré cela, tu es mon père, que j’ai hait.
Mon caractère, ton caractère sont différent,
Mais il doit y avoir une partie de toi en moi, ça je ne peu l’oublier.
C’est bien toi et ma mère, qui par le fruit de votre amour,
Mon fait naître dans un monde d’incertitude.
Vous m’avez laissé m’envoler comme l’oiseau,
Mais je n’avais pas encore mes ailes ;
Vous ne m’aviez jamais apprit à voler.
Je suis toujours cet oiseau qui a toujours une difficulté de s’envoler seul.
La vie ma fait souvent trébucher ,mais je ne me suis jamais cassé les ailes.
Je suis un oiseau volage ,peu importe ;
Je suis sur mon nuage ,je te contemple.
Te sent tu bien dans ta peau, il est peu être un peu tard d’y penser.
Tu na pas compris qu’il y avait dans la vie ,
Une place d’amour pour nous.
Malgré tout ça ,ni toi ni moi ,pouvais décider de nous juger.
Je rêve parfois ,je suis heureux sur mon nuage, hors de ce monde ,
De ce monde de mensonges, de haines , et de racismes.
J’aime ma vie , mes proche, mais je hais ce monde d’ou tu ma fait naître père.
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Claude Roca